dimanche 27 septembre 2020

Canne et paddle

 


Quand je vous dis que j’adore la frappe et que je donne volontiers de ma personne pour vous rougir les fesses. 

Voyez seulement. 




Mais après j’ai passé un temps fou à nettoyer le sang qui a giclé partout autour du banc de fessées. 

Ha mais ça valait le coup! 



samedi 26 septembre 2020

Uro / Pissing

 



Que vous évoque cette vidéo? 




lundi 21 septembre 2020

En cage?

 


« Cagez-moi Maitresse. Ainsi je vous appartiendrai corps et âme. »

Combien de fois ai-je entendu cette phrase... Sachez, que si le fantasme est louable, je ne suis pas dupe. Un homme arrivera toujours à ses fins. Cagé ou non. 

La preuve? Un peu de vibrations, un peu d’excitation et l’affaire est dans le sac.... ou si je puis me permettre, l’affaire jailli hors du sac. Tout ça sans mouvements de va-et-vient.

Alors le prochain qui me dit qu’il deviendra fou sans pouvoir éjaculer car il est en cage, je lui répondrai qu’il n’a pas encore trouvé la bonne technique. 


Peegy l’a trouvée, lui, la bonne technique 




dimanche 20 septembre 2020

Écrit par la Comtesse Élisabeth de Bathory

 



Bon je me dois de faire un post au sujet d’une amie dominatrice que j’affectionne particulièrement. 

On la sait bien encrée dans le needle play, le fouet, le sadisme à l’état pur ! 

Souvent j’entends et je lis qu’elle fait peur, qu’avec elle c’est surtout hard Etc ... 

Bah vous savez quoi ? Surtout vous les soums ... je viens de passer une semaine en sa compagnie, et bah clairement vous vous fourrez le doigt dans l’œil ! 

J’ai pour habitude de dire que je ne suis que paix et amour ... bah ... je suis loin derrière Clémentine, aka Lady Dragonne ... aussi connue sous les initiales LD. 

Le temps, la patience, la passion qu’elle investi dans sa Domination n’a pas d’égale ! 

D’une gentillesse à toute épreuve lorsqu’il s’agit de vous expliquer son fonctionnement ou même pire ... la place que vous fantasmez avoir ...

J’en suis restée béate devant tant de générosité tant avec moi qu’avec les pleutres que j’aurais déjà envoyés balader sans sommation, avec leurs questions basiques et merdiques sur comment se passe une séance 

Alors je fais pas souvent de pub hein ... mais quand j’entends qu’elle fait peur ... c’est que vous n’avez jamais tenté de la contacter ! 

Donc moi je vous le dit : n’hésitez plus, cette main de fer dans un gant de velours saura vous guider à la place que vous vous destinez ! 


Ôde à ma Dragonne de l’amour !



mercredi 16 septembre 2020

Scares

 




J'adore quand ma signature reste plusieurs jours gravée dans la peau de mes canevas



mardi 15 septembre 2020

Clovis Trouille



 

Clovis Trouille (1889-1975), un prénom royal et un nom aux antipodesdes combats d'un peintre qui ne craignait personne et surtout pas l'ordre établi. Anarchiste, antimilitariste et anticlérical, il pourfendit le drapeau, le sabre et le goupillon par des toiles d'un réalisme kitschissime. Celui qu'André Breton surnommait le Grand Maître du Tout est Permis devait bien croiser Sade sur sa palette. 



Que l’on retrouve en petit sur l’affiche au dessus de La Voyeuse. Ces deux tableaux montrent bien l’influence de Sade sur l’œuvre de Clovis Trouille.





Dolmancé et les fantômes de luxure

autres titres :

 

Adoration du bouc. « Dolmancé »

 

Dolmancé en son château de la Coste 1959

 

« Luxure »

 

« Luxure, ou les rêveries du Marquis de Sade »

 

Éducateur, Protagoniste mâle de la Philosophie dans le boudoir ; L’irréligion, l’impiété, l’inhumanité, le libertinage découlent de ses lèvres, comme autrefois l’onction mystique de celles du célèbre archevêque de Cambrai.

 

Un des peintres les plus étranges de sa génération. Georges Bataille nous a révélé qu’il a travaillé longtemps dans un atelier fournissant des mannequins de cire au Musée Grévin. Cela expliquerait en partie le sens plastique de Clovis Trouille qui donne à chaque être une véritable turgescence, ainsi que son goût manifeste du décoratif et du symbolique. Ce peintre fait penser à un Douanier Rousseau qui aurait su écarté toute timidité devant l’érotisme ; mais il n’est nullement un « primitif », ni un « naïf ». Il apporte à ses compositions une telle intensité soucieuse du moindre détail et d’exprimer définitivement chaque rêve éveillé, qu’il ne peut que rappeler les grands artistes catalogués par Han Prinzhorn et, plus récemment, par Robert Volmat, mais sans trace de névrose obsessionnelle. L’affirmation de la réalité interne au mépris du monde extérieur, l’abolition totale de la censure, l’onirisme divinisé sont d’ailleurs des traits communs entre le surréalisme et la psychopathie, sans cependant engendrer la moindre confusion entre les deux. La schizophrénie a pour syndrome essentiel la rupture du contact avec la réalité et entraîne le schizophrène à se désintéresser de tout ce qui n’est pas son rêve intérieur ! L’artiste se débat dans un monde semblable sans pour cela être, ou risque d’être, un aliéné. ( v. « Freud et l’Art »).

 

Clovis Trouille pourrait facilement être comparé à un peintre habile. Dimi, traité par un médecin Grec, le docteur N. N. Dracoulidès ; tous les deux savent condenser des cauchemars, mais tandis que Dimi n’utilise qu’une tendance artistique innée que pour exprimer des pulsions inconscientes, Clovis Trouille garde entièrement sa conscience et domine jusqu’au sarcasme ses thèmes qu’ils eut délirants. Les grandes collections d’art sont faites pour lui, au même tire que pour Bouchant ou Bombois.

 

S’il y a « délire » chez Trouille, il vient d’une authentique ivresse érotique : il a réussi à rendre tactile l’érotisme figuratif et l’orner des fruits inattendus de son imagination.

J.-M. Lo Duca

 

Dictionnaire de Sexologie (« Sexologie-Lexikon »). 1962

 

Texte du catalogue de la première exposition solennelle de Clovis Trouille à la Galerie Raymond Cordier. Mars 1963

 

 

Source : https://clovis-trouille.com/dolmance-et-ses-fantomes-de-luxure/

 

 


Merci à Jean pour le partage 






 

lundi 14 septembre 2020

Les Tchèques, ces coquins

 


 

À Pâques, les Tchèques peuvent fouetter leurs femmes avec des rameaux tressés. Mais cette tradition, surtout respectée en campagne, n’a rien à voir avec de la violence : les hommes se rendent de voisines en proches pour leur assener des coups de fouet sur les jambes, car les jeunes branches de saule tressées leur transmettent force et vitalité.


C’est du moins ce que dit la coutume – pas appréciée de toutes.


En République Tchèque, lors du week-end de Pâques, un essaim d’hommes grouille autour des saules. Qu’ils soient jeunes ou vieux, tous coupent des jeunes branches souples qu’ils ramènent chez eux en bottes. Dans la ville de Zlaté Hory au nord de la Moravie, Miroslav Adamek n’échappe pas à la règle et se met au travail. Aussi loin qu’il se souvienne, cet homme de 66 printemps n’a jamais connu Pâques sans les branches de saule tressées. Avec son fils Mirek (44 ans), il s’assied sur un banc devant sa maison et commence à entremêler 8 rameaux pour, 20 minutes plus tard, obtenir un fouet.


Le « lundi des fouets »


Ceux-ci seront utilisés le lundi de Pâques, connu en République Tchèque sous le nom de « lundi des fouets ». Ce jour-là, Miroslav Adamek, son fils Mirek et son frère Franta rendent visite aux proches, aux voisines et aux connaissances. On démarre de chez soi : les hommes pourchassent épouses et filles à travers la maison et le jardin. La fille de Mirek, Kamila, y a déjà laissé une robe, déchirée par un ami d’école qui voulait l’empêcher de lui échapper : « Pour la tradition et pour les enfants, j’y participe aussi », déclare-t-elle, aujourd’hui mère de deux enfants, « mais, personnellement, je ne trouve pas cette coutume particulièrement amusante. »







En Allemagne, sa tante Anna Pojezdalova ne tient pas le même discours. Chaque année après Pâques, son visage vieillit un peu plus, tout ça parce que personne n’accepte de lui administrer sa cure de jouvence annuelle. Les Allemands seraient à blâmer : « En tant qu’homme digne de ce nom, à Pâques, tu dois me fouetter. », supplie-t-elle chaque année son mari, d’origine allemande. Malheureusement, elle attend toujours les « coups» de son mari ! Roland est un pacifiste, il ne frappe pas les femmes – pas même pendant Pâques. Par sa requête, Anna Pojezdalova ne souhaite pas satisfaire une sorte de pulsion masochiste mais bien faire honneur à la tradition archaïque : « Je trouve ça drôle de se faire pourchasser avec un bâton. Cela fait tout simplement partie des fêtes de Pâques tchèques. »


« Le but n’est pas de rouer les femmes de coups », confirme Eva Rypalova, membre de l’Office nationale de la culture tchèque, à Straznice. « Les légers coups administrés sont censés transmettre la force et le vitalité des jeunes branches de saule à la personne atteinte », explique-t-elle. L’origine de cette coutume qui date d’avant l’ère chrétienne n’est pas vraiment claire. Par ailleurs, on peut rencontrer des variantes régionales : « En Moravie et en Slovaquie, les hommes aspergent ensuite les femmes de parfum et d’eau glacée », déclare Eva Rypalova. Toutefois, c’est essentiellement en campagne que l’on s’adonne à cette pratique pascale. « Ce jour là, dans les grandes villes, les familles se rendent visite, ajoute Rypalova. Parfois, les hommes viennent avec des fouets, mais la plupart du temps, ils ne les ont pas fabriqués eux-mêmes : ils les ont achetés. »


Après le fouet, le schnaps aux prunes


Miroslav Adamek ne peut pas concevoir Pâques sans son fouet tressé à la main : « Car ça rend femmes et jeunes filles plus belles et plus jeunes. » Bien sûr, il se garde bien de préciser que l’important pour les hommes n’est pas tant de ravigoter les bonnes femmes, mais plutôt de profiter de la récompense qui suit ! En effet, alors que les hommes « donnent un coup de jeune » aux femmes, ils récitent un chant de Pâques dans lequel ils demandent une récompense. Pour les coups de fouets assénés, les enfants reçoivent généralement des œufs de poule colorés ou des sucreries. Les jeunes reçoivent de l’argent, et les plus vieux un verre de Slivovitz, du schnaps aux prunes local, et tous peuvent manger des pains garnis ou des pâtisseries. Chez le voisin, il y aura de la liqueur au jaune d’œuf. Ou du vin. Ou un digestif. Et dans l’après-midi, on croisera les hommes titubant à travers tout le village.

Miroslav Adamek a déjà testé d’autres cures de jeunesse sur les femmes de sa famille : il y a quelques années, il a tiré sa femme, sa fille et sa nièce de leur sommeil pour les plonger dans une baignoire remplie d’eau glacée. « Ca purifie et rend belle », certifie Miroslav Adamek. Toutes les femmes ne sont pas convaincues pour autant : sa nièce ne s’est plus jamais montrée à Pâques – elle préfère rester en ville.





 

Source : https://cafebabel.com/fr/article/paques-version-tcheque-coups-de-fouet-et-coup-de-schnaps-5ae00c25f723b35a145e8460/

 

Merci à jean pour le partage 









dimanche 13 septembre 2020

Maintenant, vous saurez!

 

 

 

Comment en 2020 le mot «vanille» est presque devenu une insulte

 

De la sexualité à la personnalité, cet adjectif n'est jamais flatteur.

 

 


Ces dernières années, le terme «vanille» est devenu un qualificatif employé de manière souvent dépréciative, pour désigner quelque chose ou quelqu'un d'ennuyeux. Comment cet arôme venu originellement du Mexique en est-il arrivé là? Par l'entremise du colonialisme, répond Joseph Lamour, journaliste pour Mic.

 

Afin de démêler les origines de l'utilisation de la vanille dans notre langage courant, il faut faire un rapide retour en arrière. L'épice sucrée et parfumée a été découverte par les colons espagnols au Mexique au XVIIe siècle et était utilisée par les populations locales pour ses vertus médicales. Le pays fut le premier producteur de vanille jusqu'au milieu du XIXe, lorsqu'un esclave réunionnais, Edmund Albius, découvrit que l'on pouvait cultiver la plante grâce à la pollinisation.

Rapidement, durant la seconde moitié du même siècle, la vanille fut travaillée et des scientifiques ont réussi à en extraire l'arôme, la vanilline, pour la développer dans la cuisine occidentale, principalement en France. C'est à partir de là que le destin de cette pauvre épice bascula.

 

Un usage popularisé par l'argot

Dans les années 1950, la vanille était si développée et popularisée dans nos cuisines qu'elle en est devenue un parfum classique, voire banal. «Cela fait allusion principalement à la glace à la vanille qui est considérée comme le parfum le plus basique», explique John Kelly, chercheur au sein de Dictionnary.com. C'est de ce constat qu'est née l'habitude de désigner les gens ennuyeux par le terme «vanille». Plus tard, le même mot fut utilisé de cette façon dans le monde de l'informatique pour décrire des programmes informatiques inintéressants, explique John Kelly.

Le parfum devient si cruellement classique que, dans la communauté gay des années 1970, il est synonyme d'une «sexualité conventionnelle». Il désigne toute activité sexuelle ne relevant pas du sado-masochisme ou de l'éventail queer, alors en plein essort dans le milieu à l'époque. On note que le mot était déjà utilisé depuis les années 1940 aux États-Unis par les Afro-Américain·es pour désigner les personnes blanches.

Petit à petit, grâce aux échanges inter-communautaires, le qualificatf «vanille» s'est popularisé et son usage s'est élargi à toutes les personnes jeunes. L'épice reste quant à elle un parfum de prédilection dans la pâtisserie et la gastronomie, malgré sa réputation parfois peu flatteuse.

 

 

Source : http://www.slate.fr/story/194448/mot-vanille-presque-insulte-depreciatif-historique-sexualite-personnalite-ennuyeux

 

 

 

 



jeudi 10 septembre 2020

Ça pique?

 



Récolte d’orties du jour, merci à a pour la cueillette 



jeudi 3 septembre 2020

Fan club

 


Une chouette séance CBT avec m

Et une belle photo pour faire plaisir à mon fan No1 







mercredi 2 septembre 2020

Blue duck tape

 


Souvenir d’une session avec mon Peegy pendant le confinement