lundi 28 mars 2016

TG Switzerland II



Quelle belle soirée!





Aussi catastrophique fut-elle en 2015, aussi réussie en 2016.
Je pense que je n'ai pas été la seule à me plaindre de la piètre prestation de leurs première. Les organisateurs ont bien redressé la barre et nous ont fourni une belle performance. 

Cette année les vestiaires étaient situés avant la caisse et l'entrée. Les portiers ont correctement fait leur travail, et ont même renvoyé ceux qui ne suivaient pas le dress code chez eux. 

Ce qui fait qu'à l'intérieur il y avait vraiment un joli choix de fétichistes. Des tenues sublimes au plus extravagantes. Des classiques, mais néanmoins dans le code, et des plus recherchés avec des heures de travail derrière elles.

Nous avons aussi eu le plaisir de pouvoir voir tous les shows cette fois-ci. Il y a un an, on se piétinait les uns les autres, on mourraient de chaud, et on ne voyaient rien de rien. Sans parler de la faune de petit curieux qui était entrée sans aucun dress code et qui fichait en l'air toute l'ambiance de la soirée.
En 2015, il y avait hélas seulement un 20% de personnes qui ont joué le jeu en s'habillant total look. Cette année, moins de 10% ne suivait pas vraiment le fetish code. 

Ce samedi, j'y suis allée sans rien en attendre, mais je ne regrette pas. Et je me réjouis même d'y retourner en 2017. Car si nous n'étions pas encore à une vraie Torture Garden Londonnienne, c'était quand même une nuit qui n'a rien à envier aux fetish events en général. 

Merci à l'Electron Festival qui nous permet d'en profiter à deux pas de chez nous. 







samedi 26 mars 2016

Vendredi saint, c'est le jour des crucifixions





Ces crucifixions ont lieu toute la journée dans des champs poussiéreux de ces villages de l'archipel à 80% catholique, sous les yeux de milliers de curieux également attirés par le spectacle de pénitents se flagellant jusqu'au sang.

A l'aube, de jeunes hommes déguisés en soldats romains ont ainsi enfoncé de longs clous dans les mains et les pieds de Willy Salvador, un pêcheur de 59 ans qui, étendu sur une croix en bois, a grimacé de douleur, mais en silence. «Je sais que vous ne me croirez pas, mais Dieu m'a aidé à me remettre d'une dépression», avait auparavant déclaré à l'AFP Salvador, alors qu'il se préparait à défiler pieds nus dans les rues du village de San Juan, au nord de Manille. «C'est ma façon à moi de le remercier de m'avoir guéri», poursuit celui qui joue Jésus Christ chaque Vendredi saint depuis 2006.

Ces reconstitutions d'un des moments les plus emblématiques de la Passion de Jésus Christ sont la forme la plus extrême de la piété dans certains petits villages de l'archipel. Les clous traversent chaque main et les deux pieds mais ce n'est pas sur eux que repose le poids des pénitents, dont les bras sont également attachés à la croix. Ils ne passent que quelques minutes ainsi suspendus, avant d'être redescendus et de recevoir des soins.

«Les blessures cicatrisent vite»

Après Salvador, c'était au tour d'un vendeur ambulant, Alex Daranang, de passer sur la croix à la veille de son 60e anniversaire. «Les blessures cicatrisent vite», explique le grand-père édenté dont c'est le 20e crucifiement. «En deux jours, elles sont presque guéries». Réprouvés par l'Eglise, ces rituels sont devenus une attraction touristique majeure.

Des milliers de personnes -parmi lesquelles des dizaines de touristes occidentaux- avaient ainsi fait le voyage vers le village voisin de San Pedro pour assister à une quinzaine de crucifiements et à d'autres rituels sanguinolents. «Il y a là quelque chose de symbolique. Ma foi s'en trouve renforcée», explique Benjie Pazcoguin. «Je reviendrai l'an prochain.»
Autour du tertre servant de Golgotha à San Pedro, des vendeurs ambulants tentent de refourguer souvenirs, chapeaux, boissons fraîches et nourriture. Des écrans géants sont installés pour ceux arrivés trop tard pour être aux premiers rangs. Sur les pavés brûlés par le soleil, des centaines d'hommes pieds et torse nus, le visage dissimulé sous un linge, avancent dans une lente procession, en se flagellant le dos avec des morceaux de bambou noués par des cordes.

Un pénitent vomit

A l'unisson, tous s'arrêtent et s'allongent face contre terre. Des assistants se chargent d'effectuer pour eux la besogne. Du sang gicle sur le public. Un pénitent vomit. «Vous vous sentez bien parce que vous savez que certains de vos péchés ont été pardonnés», explique après son calvaire Joel Yutoc, un ouvrier de 23 ans, cigarette au bec. «L'Eglise déconseille ce genre d'actions car Jésus Christ a déjà vécu ces moments pour nous et il n'y a aucune raison de les répéter», a déclaré à l'AFP le père Douglas Badong, recteur de la paroisse de Quiapo, dans le centre de la capitale.

Reste que pour les fidèles de ces régions rurales, il ne s'agit là que d'actes de pénitence un peu plus radicaux que ceux prescrits par l'Eglise le Vendredi saint, comme le fait de ne pas travailler ou de ne pas manger de viande. Pour Claro Tolentino, responsable du village de San Juan, crucifiements et flagellations sont en revanche une partie intégrante de la culture et des traditions des Philippines, archipel qui a été converti au catholicisme lors de sa conquête par l'Espagne au 16e siècle. «C'est notre culture. Tout le monde doit respecter la culture et les croyances de notre population», demande-t-il.

mercredi 23 mars 2016

Wouafff



Petit lox au garde-à-vous, prêt à subir tous mes sévices.










Merci à Dame Succub pour son sublime Donjon.

mercredi 16 mars 2016

Une fabuleuse combinaison explosive





Merci saturne pour ce très bon moment PIQUANT

5 sutures
20 aiguilles
du piment extrafort











Voici le ressenti de saturne

encore mieux que l expérience précédente

Après l épisode du nœud de cravate suturé que vous pouvez voire sur ma photo de profil nous avions décidé Lady Dragonne et moi suite au grand plaisir que nous avons partagé ensemble de revivre notre passion commune la suture
il y a quinze jours que nous avions fixé ce rendez vous car ce genre de séance se prépare a l avance il faut savoir ce que l on veut faire et préparer le matériel et je dois dire que l attente met un petit plus a l exitation du moment on y pense  4 a 5 fois par jour dans des moments libre sans en etre omnubilé mais en ce posant des questions est ce que ca va aller?on imagine !! l un de nous aura t il un impératif qui repousserais encore ce rendez vous ?

la veille je me suis bien appliqué a raser mon sexe pour qu il soit impécable  et enfin le  jour J venu; en joie toute la journée , je frappe à l heure précise( car je sais que Vous n aimez pas attendre Lady Dragonne) a la porte de l endroit convenu

et Vous m ouvrez vétue dans un ensemble noir très chique et élégant qui met en évidence Votre beauté et Votre prestance naturelle et j admire une fois de plus Vos magnifiques cheveux longs et bien soignés nous partageons un café en toute convivialité
lorsque Vous donnez le départ m ordonnez de monter sur la table de travail je suis bien je suis tranquille plus de stress, plus de pensées parasites,; plus de temps je me sens en totale sécurité comme dans une bulle protectrice, mon corps est a Votre totale disposition pour exprimer Votre  art, j ai une confiance totale en Vous tel un chien qui suit aveuglément sa maitresse
Vous me dites de déplacer ma main de 10 centimètre j obeit sans refflechir un sentiment de plénitude second.
lorsque Vous transpercez le premier point de peau j éprouve une grande satisfaction je me dit voila ca commence  la piqure est vite transformée  une sensation de construire une oeuvre vivante un projet qui se réalise  et comme Vous êtes perfecctionniste Vous faites bien trois points par attachement afin d éviter que la peau se déchire
point après point on passe un très bon moment c est si beau de Vous voir sourire en ferment chaque point ou en prenant chaque photos
soudain au millieu de la suture on frappe a la porte; en temps normale j aurais flipper a mort le scrotum cousu , nu sur la table si on me voit comme ça !!!! c est quand même embarassant!!!! mais la non j etait  tranquille me sentant  en toute sécurité ;Vous Vous êtes donc levée pour ouvrir à Votre soumis Peegy. quelle surprise!!!! merci de m avoir fait l honneur de le connaître car je sais qu il Vous est très cher il dut donc aller se mettre en tenue latex
les points dans le ventre pour tenir le haut de la verge étaient plus piquants mais apportaient toujours grande satisfaction lorsque soudain je Vous ait vu arriver avec votre cuillèrere  et la verser dans la poche du gland et sur le bout de l uretre en m expliquant que c était un piment puissant je me suis dit aie sur les points ouvert ca va piquer; après deux minute calme plat,  je  me suis dit ah ben là s est ratté !!!pas d effet trois minutes ca commence a chauffer quatre minute ca brulle hum   hum mais j avais beau souffler dessus ca continuait a bruller je ne m attendais pas a cela merci pour la surprise l effet a bien duré plus d une heure

et vint les aiguilles posée avec grace et allignement j adore cette sensation la piquure est différente ; et ca a emblli Votre naperon de broderie, si je peux dire  et encore surprise! lorsque Vous avez enffiler  l aiguille dans la muqueuse du gland hummm!!! merci ca a fait du bien a mon coté maso;cette  sensation plus forte. je n aurias pas penssé une fois en avoir une plantée a cet endroit merci de m avoir fait depasser mes limtes connues et quel plaisir de sentir la douleur pour Vous et prodiguée par Vous

puis vint le moment de s occuper de Peegy qui agenouillé en position de soumission Vous regardais évoluer  dans l excellence de votre art  ,Vous lui ordonner de ce poster debout devant nous d enffiler un préservatif  et m ordonnez de m agenouiller face a lui et de le prendre en bouche
je ne peux que m exécuter  admiratif devant ce sexe si dur et si gros qui remplissait toute ma bouche; je me mit donc au travail!! a chaque aller retour de mon buste ca tirais sur les trois points, ce qui n était par pour me déplaire
concentré sur cet enorme sexe et appliqué a le faire jouir, la bouche empalée m empêchant de lever la tête je ne pouvais qu imaginer en entendant les différences  de cri et de gémissements de Peegy ; ce que Vous lui faisiez en même temps
dans ma tête les idées se bousculaient lui pince t Elle les seins  ?est ce Quelle les tord ou les mords ?ne fait elle rien que de le regarder de son regard perçant ?
puis vint sa jouissance je fut presque soulagé car tellement son sexe est gros je commençais a avoir des crampes à la machoire, mais à l arrivée de cette jouissance mon petit coté provocateur me dit allait applique toi!! et je continuais a sucer un court instant après sa jouissance, au moment ou le gland est très sensible  je crois que Peegy a apprécié
une fois de plus un formidable moment passé en votre compagnie agrémenté de belles surprises je me réjouit déjà de notre prochaine rencontre
avec mes respect saturne






mardi 15 mars 2016

Marquages







À plusieurs occasions déjà, j'ai eu l'opportunité de m'exprimer sur les marques d'appartenance que l'on pourrait faire à son soumis.

Il en existe beaucoup, et les plus répandues sont les marques qui ne durent que quelques heures, comme les griffures, la peinture ou le stylo feutre.
Celles qui dureront quelques semaines à quelques mois, comme le henné, le tatouage non permanent, la scarification superficielle ou le fer rouge qui ne cause qu'une brûlure externe des tissus par exemple.
Il y a ensuite le branding, la scarification et le tatouage, qui eux seront à vie gravé dans la chair.

À l'époque sasha m'avait proposé de se faire tatouer les environs de l'anus au henné. J'avais trouvé l'idée plus rigolote que véritablement sérieuse. Cette petite sissy si motivée, mais si peureuse de l'engagement, ne pouvait simplement pas, à son jeune âge, imaginer être marquée à vie. C'était évident pour moi aussi. Mais je ne l'ai pas fait au henné pour autant car les implications sont bien trop légères.

L'idée de l'éphémère est pour moi plus dans le cadre du "jeu instantané". Pendant quelques heures ou quelques jours, comme les hématomes, les stigmates des aiguilles ou les coups de canne.

Les marques qui ne durent que quelques mois ne m'intéressent pas plus que ça. Parce que c'est "juste-pour-faire-croire-que-c'est-un-engagement-durable-mais-que-si-des-fois-ça-part-en-sucette-la-marque-disparaîtra-quelques-temps-seulement-après-la-rupture-Oufff".

Avec moi, c'est tout ou rien. Cependant, je dois avouer que je n'ai pas encore eu l'envie de marquer définitivement quelqu'un, à part moi. Mais qu'en est-il des autres? Aussi motivés et sûrs d'eux un jour, aussi fuyants et volages le lendemain, je me refuse de prendre le risque d'imposer à qui que se soit ma marque définitive, pour éviter les regrets de l'un et l'autre.

Un jour peut-être, quand une relation se mesurera grâce au riche partage que nous auront l'un envers l'autre et la durée significative du-dit partage, alors seulement je pourrai envisager d'apposer ma marque sur sa peau.

Aujourd'hui, l'engagement d'une telle marque m'effrayerait presque au même titre qu'un mariage dans la vie vanille. Même si le divorce est accessible à tous, les séquelles sont permanentes. Et suite à cela, nous ne redevenons plus "célibataire", mais serons "divorcé" pour toujours.

Quand on se marie, c'est sensé être pour la vie. Pour le meilleur et pour le pire. Une ultime preuve d'amour et de confiance mutuelle. Les statistiques parlent d'elles mêmes. Un mariage sur deux sombre. Et donc les marques permanentes impliquent trop de répercussions à mon avis.
La nouvelle propriétaire aura sans doute un "pincement" plus ou moins fort à chaque fois qu'elle verra son sujet marqué de la marque d'une autre. Ce n'est pas comme une alliance que l'on enlève et remplace par une autre totalement différente nouvellement gravée du nom de la seconde femme.
Personnellement, je suis blessée de ne pas avoir été la première. C'est pour cela que je ne peux pas le faire à autrui. Et je ne me suis jamais mariée non plus.

Je suis sans doute un peu bizarre de penser à la suivante alors que je devrais simplement profiter du fait qu'en ce moment je suis la Seule et l'Unique. Que d'imposer ma marque est mon droit le plus légitime. Mais je ne peux pas enlever de mon esprit que quoi que se soit qui est fait implique des conséquences. J'aime à croire que c'est justement parce que je pense à ces éventuelles conséquences qui fait de moi une bonne Maitresse?

J'ai en tête deux exemples. Un soumis que je connais a été marqué du prénom de sa Maitresse sur son pubis. Et ça me fait un drôle d'effet de voir ces lettres tatouées alors qu'il appartient aujourd'hui à une autre. Je dois avouer que je n'ai jamais demandé à sa nouvelle propriétaire comment elle gérait cette marque. En ce qui me concerne, j'aurai beaucoup de peine à l'occulter.

Le deuxième exemple est tout autre. Un couple d'amis ont fait une cérémonie spéciale branding pour célébrer leur union en apposant l'initiale de la Maitresse sur la fesse droite du soumis. Il en est très fier et ne se retient pas de la montrer à qui veut la voir. Leur joie aux deux est palpable autant que sa fierté à porter sa marque. J'envie presque parfois ce genre d'affection profonde qu'un couple D/s peut avoir grâce à l'allégeance qu'ils partagent.

Cela dit, je sais combien l'appartenance est importante pour un soumis. Il a besoin de se sentir être la "propriété exclusive de". Et je suis terriblement fière que l'on veuille être à moi.
Être soumis est en soit un acte courageux. De se soumettre à la volonté physique ou mentale d'une autre personne demande déjà beaucoup de bravoure. Alors je n'en demande pas plus en parlant tatouage ou branding.

Une autre raison pour laquelle je ne suis pas pour apposer des marques indélébiles est que j'aime la peau brute. J'ai eu un soumis avec le dos intégralement tatoué. J'avais peur à chaque fois d'abîmer les fines lignes encrées sous son derme. Je ressens la même chose en fouettant les fesses latexées de la combi sur mesure et hors de prix du peegy. Je dois retenir mes coups, et je n'aime pas ça. Avec une peau vierge, je n'ai aucune crainte de déformer quoi que se soit. Et mon plaisir est intacte. Aiguilles, fouet, canne, cravache, j'y vais à fond, et c'est ça qui me rend vraiment heureuse.






jeudi 10 mars 2016

À ma botte









Oh MON Peegy 




mercredi 9 mars 2016

Et hop encore un




Un de plus pour ma collection!








mardi 8 mars 2016

Journée internationale des droits de la femme



Le 8 mars, comme vous le savez tous, c'est la journée internationale de la femme. 



Chaque année fleurissent des articles soit prônant le « sexe faible » soit dénonçant la rude vie de mes congénères sous le joug d’infâmes masochiste intégristes.

S'il y a un an, je me suis fendue d'un joli texte - à retrouver à la même date dans les archives de ce blog-, cette année je vais simplement vous dire ceci :



Aimez-moi, 
adulez-moi, 
couvrez-moi de cadeaux 
et ce, 
365 jours par an.


Et pis c'est tout!









lundi 7 mars 2016

3 ème FH



Ce week-end était la troisième rencontre spéciale Romandie à la FetishHalle.



La neige, les vacances de ski et le salon de l'auto à Genève n'ont pas effrayés les plus motivés à nous rejoindre dans le donjon de Oensingen.

Mais avant cela, nous, trois Dominas et nos soumis s'étions donnés rendez-vous au restaurant pour ne pas aller jouer ensuite le ventre vide.

La nuit fut belle. J'y ai rencontré un charmant soumis, venu spécialement pour moi depuis Lucerne. J'ai été bien contente de jouer avec ce bel homme. Un autre couple d'amis nous ont rejoint en début de soirée.

Soirée plutôt intimiste avec 10 personnes cette fois (sans compter l'autre bonne dizaine de personnes qui ne sont pas venues pour la soirée Romande), et j'espère bien plus pour la numéro 4. Guettez la sortie de juin.

Je profite de remercier mes amis de m'avoir encore une fois suivie dans cette aventure et permettre de remplir cet immense donjon de nos bruits de frappe et de gémissements.




vendredi 4 mars 2016

Mon Rêve!