vendredi 29 décembre 2023

Des griffes Dragonnesques



Des griffes Dragonnesques


Qui veut les tester? 









jeudi 21 décembre 2023

Joyeuses fêtes!



JOYEUSES FÊTES !




dimanche 17 décembre 2023

Bleu


Ton charmant soumis qui ne sort jamais sans ses talons aiguilles de 15 cm... et qui malencontreusement t'écrase ton pauvre petit pied dans ton escarpin, ben ça fait un bel hématome.







Pour une fois que c'est la Maîtresse qui est marquée par son soumis, me direz-vous.







vendredi 15 décembre 2023

Wanted : soubrette



MISE AU CONCOURS D'UN POSTE DE SOUBRETTE 






J'offre un CDI dès janvier 2024, à quiconque (homme/femme/X) désireuse de servir ma personne pour une mission ménagère bi-mensuelle d'un appartement de 49m2 à Lausanne.


Seront demandés:


-Le nettoyage complet de la cuisine et de la salle de bains (cuisinière, four, frigo, micro-ondes, évier, baignoire, lavabo, w-c).


-La serpillère sur tous les sols (cuisine, sdb, salon, entrée et Donjon).


Le matériel nécessaire sera bien sûr mis à disposition. Pas d'aspirateur demandé, j'ai un robot. 


D'autres tâches pourront éventuellement être souhaitées selon les besoins et après discussion, telles que : 


chauffeur

faire les courses

major-d'homme/gouvernante lors de dîners ou sorties entre Ami(e)s

cuisiner (si l'envie et le niveau sont là)

faire des massages (idem)


Il n'y a pas de salaire à la clef, cela va de soit, mais la future soubrette n'aura pas à payer le temps passé en ma compagnie pendant ses missions.


Le ménage pourra se faire dans la tenue (ou pas) de votre choix.


Débutant bienvenu. 

Une seule place est à pourvoir.


Merci de faire une offre avec lettre de motivation à :  osezmecrire@hotmail.com






jeudi 14 décembre 2023

Une truie heureuse

Une truie heureuse





Il est important de bien s'occuper de sa basse-cour et d'avoir des animaux heureux et en bonne santé. 


C'est ce que j'ai fait avec ma truie, qui a reçu sa brossée et qui s'en portera beaucoup mieux les jours qui suivront.


La truffe brillante et le poil luisant! c'est ça qu'on veut! 









mercredi 13 décembre 2023

Succion

Mais quelle idée? une ventouse sur le gland... 

C'est rigolo... et apparemment un peu douloureux. 

Oups... tant mieux!!!




mardi 12 décembre 2023

Knife Dragon



Knife Dragon




Mon petit cellomis est venu aujourd'hui avec un super cadeau de fin d'année, en plus du don de son corps pour que je puisse m'amuser: 

Un magnifique couteau suisse Victorinox Dragon 

Quel beau cadeau! J'en suis folle 💜


La séance qui a suivit a été aussi très belle et très forte avec pour commencer un peu de frappe. Ouhhhh que j'aime la frappe! Surtout quand mon canevas est pris au piège dans le pilobite (rire sardonique).

Puis après l'avoir bien chauffé recto-verso au fouet et au martinet, je l'ai emballé dans son cellophane adoré. 

J'ai stratégiquement laissé une ouverture pour que je puisse user de mon sadisme connu et reconnu, et j'ai évidemment mis quelques pinces à cet endroit et un soupçon de wand, histoire de bien rigoler. 

Mais je n'ai pas pu m'empêcher de frapper ce petit cul bien tendu et tout emballé dans le plastique transparent. J'ai augmenté le volume de la musique et j'ai frappé fort avec la langue de dragon. 

Je n'ai arrêté que lorsque que j'ai entendu les suppliques désespérées de mon soumis. 

A contre-cœur, vous le devinerez sans peine. 









Surprise!


Texte écrit par cellomis:


L’hiver, le froid, rien de tel qu’un cocon de cellophane pour me réchauffer. Une proposition de date et mon rendez-vous chez Maîtresse Lady Dragonne est confirmé.


Le choix des jeux : cellophane évidemment, du pinçant et/ou du piquant. Je laisse à Maîtresse le choix de la posture, j’adore Ses surprises.


Aujourd’hui il pleut des cordes, j’ai froid et je suis très excité à l’idée de Vous retrouver. J’ai passé la journée à attendre cet instant, où je sonne à Votre porte, Vous m’ouvrez et m’accueillez les bras ouverts. Cette embrassade, j’en avais tellement envie, j’en avais tellement besoin.


En entrant dans Votre donjon, je remarque immédiatement le pilobite placé au centre de la pièce. Mon excitation augmente déjà, comme si Vous m’aviez entendu le souhaiter.


Je me déshabille, Vous me mettez Votre collier. C’est devenu un rituel maintenant, dès cet instant, je Vous appartiens et je m’en remets pleinement à Vous.


Je m’installe devant l’appareil de torture, réglage de la hauteur, mise en place de mes organes entre les deux barres et serrage … fort. Mes testicules et mon sexe sont emprisonnés. Par l’excitation, mon sexe bande déjà. Vous attachez mes mains aux bracelets de cuir et j’attends impatiemment le début des jeux.


Je Vous vois Vous diriger vers Vos fouets. Je suis soudainement pris de frayeur. Vous en choisissez un, tout neuf, du cuir tressé et des nœuds de ficelle au bout. Je connais Votre goût pour la frappe et je comprends alors ce qui m’attend. De petits coups d’abord sur tout le corps, comme des piqûres. La force augmente, les piqûres s’intensifient, la douleur persiste quelques instants après chaque coup. Par moments Vous cessez de frapper et me serrez contre Vous. Vous me caressez, cela apaise les brûlures du fouet et m’excite encore plus. Je regarde Vos mains parcourir mon torse, s’attarder sur mes tétons, les pincer. Cela me rend fou. Nos regards se croisent souvent, je me perds dans Vos yeux, y voit Votre plaisir aussi.


Puis Vous changez de fouets, les sensations sont très diverses, de piqûres à brûlures, de caresses à pincements, mais tous font très mal et déjà je me mets en transe. Certains coups portés sur mon sexe ou mes testicules me font crier de douleur. Mon corps se tord, mais bloqué par le pilobite, je ne peux pas esquiver le moindre coup. Mes fesses sont très sensibles, les coups font 10x plus mal que sur le reste du corps. Je tremble comme une feuille et seules Vos caresses me permettent de reprendre mon souffle.


Je ne l’ai pas vu venir, je ne l’ai pas anticipé, une gifle magistrale. Je me retrouve en suspension, le souffle coupé, ébahi par le choc. Une émotion intense me traverse et Vous me prenez dans vos bras. Il me faut quelques minutes pour m’apaiser et réaliser que ce geste m’a atteint très profondément, a remué des souvenirs très anciens.


Après deux vagues consécutives de fouets divers, Vous entamez mon emballage dans la cellophane. Je reste debout, emprisonné par le sexe et les testicules. Vous déroulez le plastique sur mon torse, mes bras, mes épaules, puis mes fesses et mes jambes. Vous terminez par la tête, en laissant un trou à hauteur de ma bouche pour que je puisse respirer et à la hauteur de mon sexe pour que Vous puissiez jouer.


Le jeu des pinces sur mes testicules et mon pénis commence alors, très vite la douleur me submerge et mon esprit décroche. Je ne compte plus les pinces. Seules les sensations importent, je les explore, Je ne résiste plus et les laisse m’envahir. De temps en temps Vous passez un puissant vibromasseur sur mon sexe, cela provoque des vagues de plaisir mélangées à la douleur des pinces. Les premiers spasmes orgasmiques arrivent et Vous stoppez les vibrations me laissant dans un état de vide absolu, de jouissance manquée.


Puis Vous rejouez du fouet sur mon corps. A travers le plastique, les sensations sont amplifiées, répercutées, 100x plus intenses et douloureuses. Les coups sur les fesses, de plus en plus forts, m’arrachent des cris, j’hurle de douleur, je vacille et je craque. Je demande grâce, mon corps est en ébullition et mon esprit s’effondre dans un tourbillon émotionnel.Vous cessez les coups, me prenez dans Vos bras et m’apaisez à nouveau. Il me faut du temps pour remonter des profondeurs où j’ai plongé.


J’en avais oublié les pinces … Il a bien fallu les retirer, une à une, avec une sensation de déchirure à chacune, m’arrachant des cris à chaque fois. Jamais je n’avais eu si mal à cette étape. Mais tout était plus intense aujourd’hui, plus profond, plus extrême.


Mais avant la libération, la masturbation, vos gestes sur mon sexe encore endolori, mélangés au vibromasseur et aux brûlures ressenties sur mes fesses, m’ont très vite amené à la jouissance volcanique. Un flux brûlant traversant mon sexe et secouant mon corps tout entier.


Le déballage, la sensation du froid sur mon corps humide et épuisé. Une très longue récupération, une descente d’adrénaline intense, mon esprit a mis du temps à remettre tous les morceaux en place.


Aujourd’hui, Maîtresse, nous m’avez permis de franchir une nouvelle étape, nous avons exploré des sensations et des émotions encore jamais atteintes. J’éprouve un tel bien-être, un tel bonheur et une si grande fierté à parcourir ce chemin en Votre compagnie, grâce à Vous.


Merci de tout mon cœur, de tout mon corps.

Votre cellomis.


dimanche 19 novembre 2023

Vilain Peegy

 


Moi entrain de réprimander (encooore) mon pitre de soumis, aux "deux ans" du Trafick Club 



samedi 18 novembre 2023

Pinces-fesses

 




vendredi 17 novembre 2023

jeudi 16 novembre 2023

Need a Domme?

 


mardi 14 novembre 2023

Encore!

 


Ouh que j’aime j’aime j’aime le CBT 

J’en voudrais tous les jours! 



Merci andré


lundi 13 novembre 2023

 

Il est toujours intéressant de s’instruire. Même si c’est juste pour se passer le temps 😛 Donc voici 20 records rigolos (mais débiles)




à visionner ici : https://photo.neonmag.fr/20-records-sexuels-les-plus-improbables-53509?utm_term=photo&utm_campaign=nonli&utm_content=lessavoirsinutilesneon&utm_source=instagram&utm_medium=social#-f0ltn



dimanche 12 novembre 2023

Pantalonnade

 

Au XIXe siècle, les femmes amatrices de pantalons étaient marquées à la culotte



Introduite sous Napoléon, la «permission de travestissement» est restée cachée dans les replis de la justice française jusqu'en 2013.




L'archéologue française Jane Dieulafoy (1851-1916), portant des vêtements pour homme. | Dornac via Wikimedia Commons

 



À bien des égards, le vêtement est un signe d'appartenance. Il est codifié selon des normes esthétiques et culturelles bien précises qui signalent une origine sociale, une profession, des valeurs, une idéologie.

Prenez le foulard rouge du mouvement ouvrier: il symbolise le sang versé par le prolétariat lors de sa lutte armée contre le grand capital. Le froc du moine, fait d'étoffe grossière, rappelle quant à lui son vœu de pauvreté. Tout y passe: la cravate, les boutons de manchette, le bleu de chauffe, le keffieh… Et le pantalon? Historiquement, il s'agit de l'habit des classes dominées.

 

La guerre des boutons

 

Lorsque les révolutionnaires prennent les armes en 1789, ils s'approprient un habit –le pantalon rayé– qui est la marque du peuple. Vêtement de travailleur, souvent élimé, il jure avec les «culottes» (qui s'arrêtent aux genoux et se prolongent par des bas de soie) habillant les aristocrates. C'est avec le plus grand mépris qu'on baptise «sans-culottes» ces insurgés débraillés… Loin de s'en offusquer, les révolutionnaires en font un symbole d'émancipation et de liberté, au même titre que le bonnet phrygien, cultivant l'uniformisation de l'habit comme vecteur de l'égalité entre les hommes.

 

Les revendications égalitaires des femmes, pourtant virulentes pendant la Révolution, ne sont en revanche pas entendues. Napoléon enfonce le clou en 1804 en les réduisant à l'état de mineures dans le code civil. En résulte une double conséquence textile. D'un côté, la montée en puissance du pantalon (masculin) à partir des années 1830, liée aux récentes évolutions sociales. De l'autre, l'interdiction faite aux femmes de porter une tenue susceptible de brouiller la frontière entre les sexes, sous peine d'amende voire d'un bref séjour en prison. Les relations de pouvoir et de soumission s'imposent sous toutes les coutures…

 

En effet, même si la garde-robe féminine de l'époque semble plus riche que le vestiaire des messieurs (souvent limité au complet, à la redingote et au chapeau melon), elle dissimule une forme d'asservissement. À la femme sont associés des vêtements délibérément ouverts, comme la jupe, ou au contraire restrictifs, comme le corset et les porte-jarretelles. Surexposition des attributs féminins d'un côté, carcan qui rappelle sa faiblesse physique de l'autre. Le message est clair: nulle femme ne doit porter la culotte, sous peine de bousculer un patriarcat bien établi.

 

En de rares occasions, toutefois, il est possible aux femmes de s'approprier cette pièce essentielle de l'accoutrement masculin. Le 7 novembre 1800, une ordonnance de la préfecture de police de Paris autorise les femmes à porter le pantalon pour des raisons professionnelles ou de santé. Auquel cas, on peut se faire délivrer une «permission de travestissement» à présenter aux autorités compétentes en cas de contrôle. «Toute femme trouvée travestie, qui ne se sera pas conformée aux dispositions des articles précédents, sera arrêtée et conduite à la préfecture de police», précise le texte.





La permission de travestissement accordée par le préfet de police à l'artiste Adèle Sidonie Louis le 28 octobre 1862. | Préfecture de Paris via Wikimedia Commons

 



Tissus de mensonges

 

Si le document semble ouvrir aux femmes les placards de leurs maris, dans les faits, rares sont les autorisations distribuées –notamment parce qu'elles sont conditionnées à un examen par un professionnel de santé et sa décision favorable. Du reste, la permission vient avec des restrictions. La peintre Rosa Bonheur, par exemple, est titulaire d'une telle autorisation «sans qu'elle puisse, sous ce travestissement, paraître aux spectacles, bals et autres lieux de réunion ouverts au public».

 

Celles qui en bénéficient sont d'abord des femmes d'influence (Marguerite Bellanger, maîtresse de Napoléon III), des artistes (George Sand, Gisèle d'Estoc) ou des savantes (l'exploratrice Jane Dieulafoy, la médecin Madeleine Pelletier). Étrangement, le port du pantalon est autorisé aux femmes à barbe qui font sensation dans les foires, comme si le poil justifiait la tenue. Allez savoir.

 

Au XXe siècle, l'ordonnance n'est plus délivrée –en tout cas, les archives de la préfecture de police de Paris n'en gardent pas la trace. Tombée en désuétude, la loi de 1800 est contestée par la démocratisation de certains sports dans les milieux féminins, notamment le cyclisme et l'équitation, qui affranchissent le pantalon… même s'il faut des pionnières qui ne manquent pas de poigne (à l'image de Marie Marvingt, aviatrice, inventrice, sportive, alpiniste, infirmière et journaliste) pour l'imposer.

 


Les aviateurs Marie Marvingt et Paul Echeman se retrouvent pour faire du ski ensemble à Chamonix (Haute-Savoie), en février 1912. | La Vie au Grand Air via Wikimedia Commons

 



On trouve encore des hommes pour se plaindre des «garçonnes» jusqu'en 1930. Les créateurs de mode, quant à eux, boudent le pantalon féminin jusqu'aux années 1950. Cela va finir par changer. Après les années de guerre qui ont vu les dames emprunter les bleu de chauffe de leurs maris et sillonner la France occupée à bicyclette, les silhouettes féminines «pantalonnées» deviennent plus fréquentes.

 

En 1969, un conseiller exige l'abrogation de l'ordonnance de 1800, mais se voit répondre par le préfet de police Maurice Grimaud qu'on ne saurait changer des textes «auxquels les variations prévisibles ou imprévisibles de la mode peuvent à tout moment rendre leur actualité». Patience, donc: la permission de travestissement finira par être gommée des tablettes de la justice française en… 2013.

 

 




Source : https://www.slate.fr/story/255945/femmes-porter-pantalon-xixe-siecle-permis-travetissement-autorisation-prefecture-napoleon