samedi 8 avril 2023

Un chemin vers le repentir


Quand on vient chez moi, c'est aussi pour faire pénitence. 

Aujourd'hui andré est venu expier ses fautes avec à la clef des coups de canne selon la gravité des actes perpétrés durant les 6 derniers mois, depuis sa dernière visite. 

Il recherche à un tel point la résipiscence qu'il est prêt à subir ma punition sans broncher... ou presque.


En premier lieu, la Confesseresse doit estimer la hauteur de ses péchés en mettant le pénitent sur le prie-dieu pour qu'il avoue toutes ses fautes. 

Il s'avère qu'il mate les femmes dans la rue, parfois même en se retournant, ce qui est totalement inconvenant. Trente coups.

Il n'écoute pas suffisamment ses interlocuteurs, et veut pouvoir se concentrer d'avantage. Trente coups en plus.

Il passe beaucoup trop de temps sur les sites internet "cochons" à regarder des "choses qui lui font plaisir". Trente coups supplémentaires.


Il voudrait aussi savoir se tenir droit et ne plus avoir l'ai voûté. Le supplice du bambou fera parfaitement l'affaire. 


On se tient droit!


La séance punitive commence. 10, 20. 30 coups seront appliqués avec soin mais dureté. Chaque coups devra être compté à haute voix avec un "merci Maitresse" à chaque fois. 

Dès que la punition sera esquivée ou que la négociation pour diminuer la dureté des coups sera tentée, l'intransigeance de la Confesseresse rappelle au pénitent qu'il ne devra plus se soumettre à ses basses pensées mais subir dix coups supplémentaires. Ce qui sera effectué plusieurs fois durant la séance de purification. 

Les coups bien placés sous la plante des pieds, encouragent le pénitent à ne pas trop se tortiller à cause de la douleur sous peine d'en subir encore plus.

Au final pénitent andré sera expié complètement, et pourra ainsi reprendre une vie saine et sans poids sur sa conscience... jusqu'à sa prochaine visite.



Après près de 150 coups de canne punitive, à froid, bien évidemment.



Voici le texte écrit par andré:


Bonjour chère Confesseresse,

Voici mes ressentis de la dernière séance que j'aimerais partager avec vous.

Vous êtes une vraie "disciplinarian" qui, contrairement à plusieurs maîtresses visitées, ose vraiment faire souffrir en sachant fouetter fort, de manière précise et sécure mais avec bienveillance.

Comme chaque fois, à mon arrivée, je suis stressé et redoute que vous me fassiez trop mal. D'un autre côté, j'ai entièrement confiance que vous allez m'imposer, en toute sécurité, les sévères punitions corporelles que je mérite. Mais je sais aussi que les différents instruments, tel que la canne en rotin, seront appliqués sur mes fesses, dès le premier coup, avec une très grande intensité. Aucune fessée à la main ne viendra me préparer les fesses pour mieux supporter la badine. Cela me sera douloureux tout de suite. 

Dès la porte franchie, vous m'accueillez chaleureusement. Je dois enlever mes chaussures à l'entrée puis aller dans la salle des punitions. Je remarque tout de suite les différents instruments alignés sur le lit. Il y a plusieurs cannes, un tape-tapis à l'ancienne, une cravache et la douloureuse verge formée de 7 tiges en acétal de 3 mm en diamètre. Il y a aussi une bouteille d'eau que j'utiliserai de nombreuses fois entre les punitions. 

Mais pas trop le temps d'observer le donjon car je dois me déshabiller entièrement sans tarder. Vous me laissez tout de même vous poser quelques questions mais assez vite vous vous mettez devant le prie-dieu et m'ordonnez de me mettre à genoux sur ce meuble qui auparavant avait une fonction plus spirituelle.

Dans une position de pénitence, je dois alors vous confesser mes mauvais comportements, le nombre de fois que je me suis retourné en croisant une belle femme, combien d'heures par semaine je regarde des vidéos pour adultes et ce qui m'excite le plus dans leurs scènes. Je vous parle aussi de mon désir de me tenir plus droit, d'améliorer ma qualité d'écoute.

Puis par multiples de 10, vous me condamnez très vite à un total d'une centaine de coups, principalement sur les fesses mais aussi sur la plante des pieds. Vous m'ordonnez alors de me mettre en position sur le banc à fessée. Il est assez confortable, mais mes fesses bien tendues en arrière et la plante des pieds sont parfaitement accessibles à vos instruments et le premier coup est déjà donné. Il s'imprime dans mes chairs, mes fesses tressaillent, ça fait mal et je dois sans tarder dire "Un, merci Maîtresse". Je me cramponne au banc dans l'attente de l'assaut suivant. 

Probablement pour me déconcentrer et mal compter les frappes, vous m'infligez aussi, aléatoirement, quelques coups sous les pieds.


Après 10 alunissages brutal de la canne, je vous demande, la bouche sèche, si je peux me redresser pour boire une gorgée. C'est aussi une occasion d'avoir une petite pause dans ce "cold caning".

Mais la correction doit se poursuivre et je dois me remettre en place.

Après ces passages sur le banc, c'est mes tétons qui doivent souffrir en étant ornés de deux pinces reliés par une chaînette. Je dois alors me tenir bien droit, regarder en avant dans un miroir et surveiller la position de la tête, des épaules. Vous corriger régulièrement ma posture et, avec votre index levé bien droit, vous me rappelez fermement de bien me tenir. Je sais qu'avec vous, c'est vite des minutes supplémentaires de pinces ou 10 coups en plus.

Pendant cette pause pour mes fesses, vous me triturez la chaînette tout en me disant de bien vous écouter et me concentrer sur ce que vous dites, sans penser à une réponse.

A un moment vous me mettez des bracelets en cuir à chaque poignets, puis avec les mains posées sur mon ventre et attachées par les bracelets, je dois mettre mon torse bien avant et les coudes bien en arrière. Vous m'enfilez alors entre les coudes et le dos un gros tube de bambou. Impossible alors de ne pas adopter une position parfaite. De désagréables minutes s'écoulent à me regarder dans les yeux grâce au miroir. Heureusement que ce supplice est pour m'améliorer. Je ne me suis jamais tenu aussi droit pendant si longtemps.

Toute bonne chose a une fin, il reste de nombreux coups à recevoir et je dois rejoindre le banc, conçu et fabriqué uniquement pour faire souffrir. Mes fesses déjà bien marquées sont de nouveau à votre disposition.

C'est excitant de voir en vidéo, un sévère caning, d'entendre le léger sifflement de la badine et le son de son impact en s'enfonçant un peu dans un joli postérieur. Puis la personne corrigée doit souvent se tortiller, émettre un cri, souffrir. Et appréhender le coup suivant.

Mais maintenant, ce que j'aime regarder dans les vidéos c'est ma réalité. C'est moi qui doit souffrir, qui doit vous obéir à la lettre sous peine de suppléments.

Vous me demander d'écarter mes pieds. Evidemment c'est le tour des plantes de participer aux conséquences de mes comportements. 

Pour ceux qui connaissent, les coups de tiges flexibles sous les pieds font spécialement mal.

Mes pieds gigotent, c'est très punitif.

Après encore quelques fessées, je dois me coucher par terre sur le dos sur une couverture, la tête bien calée et les 2 gros orteils tenus ensemble par un anneau en caoutchouc. Je reçois l'ordre de lever les pieds joints pour présenter les plantes à de pénibles frappes. Ce châtiment était appliqué par série de 10 appelée une "plantée". Ça fait tellement mal que je n'arrive pas à laisser mes pieds en place. Mais vous avez eu raison de me punir ainsi, je le méritais largement.


Puis de nouveau debout pour boire quelques gorgées avant de bien me cramponner en hauteur à une barre métallique horizontale et de pousser mes fesses bien en arrière pour la suite des fessées instrumentales.

Ensuite vous avez accepté que je me mette à genoux à vos pieds, la tête tenue entre vos chevilles et les mains qui s'agrippaient fermement aux talons de vos chaussures. 
Et c'est reparti pour des coups de badine sur la peau bien tendue par cette position.
Merci sévère Maîtresse pour cette faveur.

On arrive enfin au total des coups de ma condamnation. Mon fessier doit être strié de marques et bien rouge.

Je peux me lever, les châtiments étaient douloureux mais supportables.

C'est à ce moment, où je ne m'y attendais pas, que vous avez envie de m'offrir quelques bonus. À part reprendre position sur le banc à fessées, je n'avais rien à faire, ni compter ni à vous remercier après un coup.
Les bonus consistaient en de longues rafales de frappes très rapprochées, au tape-tapis, à la canne, à la verge multi-brins sur mes fesses déjà martyrisées.

Mon rôle se résumait à rester tranquille.

Après 10-20 coups j'avais de la peine à supporter, la douleur devenait intolérable, je vous ai supplié plusieurs fois. Pitié Maîtresse pité! Mais vous n'en teniez pas compte. Finalement j'ai craqué, vous ai désobéi, me suis relevé et vous avez cessé le supplice. Vous aviez vraiment dépassé ma limite du supportable pendant quelques secondes.

Quelques gorgées d'eau plus tard, vous m'avez ordonné de reprendre la position pour goûter d'un autre instrument qui me fustigera de la même manière. 

Jamais dans mes expéditions fessières je n'avais été poussé à bout jusqu'à craquer et quitter ma position. 

C'était enfin la fin de mes tourments.

Merci beaucoup chère Lady d'avoir par deux fois, malgré mes suppliques, continué à fouetter. J'en conviens avec vous, c'est avec cette sévérité que je m'améliorerai le mieux.

Pendant que je me rhabillais, je vous avais parlé que je comprenais encore mieux ce que, dans les vidéos, ressentaient les femmes et les hommes qui étaient fouettés si durement que, par réflex, ils se tortillaient, criaient et même parfois se mettaient à pleurer. 

Vous m'avez alors expliqué que vous pouviez aussi, avec moi, lors d'une autre séance, me fesser si sévèrement jusqu’à me faire pleurer. Mais pour cela vous devrez m'attacher.


Je ne suis pas prêt pour être ligoté et fustigé avec grande sévérité sans pouvoir faire stopper la correction. Je vais donc tenter d'améliorer encore plus mes comportements.

En vous quittant je me sentais, secoué, groggy, perdu pour retrouver mon chemin jusqu'à l'entrée où étaient mes chaussures et mon manteau. 
Vous m'avez alors guidé gentiment en étant heureuse que je ne devais pas conduire tout de suite.

Voilà ce que je me rappelle de cette visite.


Dès que je prendrai conscience que mes mauvaises habitudes reprennent de l'ampleur, je ne manquerai pas de vous demander de l'aide.

En attendant de vous revoir, je vous remercie encore, chère Lady, pour le bien que vous me faites pendant nos rencontres.

pénitent-andré



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