jeudi 28 avril 2016

Le clitoris au fil des siècles, de sa découverte à sa mauvaise réputation







Attention, dans cet article, présence d’illustrations à caractère sexuel, avec des poils. Si tu es mineur, tu peux quand même regarder. Surtout si tu veux voir un clitoris chanter du Claude François. Les personnes peu à l’aise avec leur corps et l’humour peuvent connaitre quelques difficultés. Je me dégage de toute responsabilité. En revanche, dans les liens, il y a des images avec du sang, de la souffrance et de la vérité. A vous de voir si vous cliquez ou pas.
Le clitoris existe depuis toujours, enfin, depuis l’humain quoi (et certains animaux, oui oui), mais si on en croit les scientifiques… C’est pas si vieux. 



En -300 Hippocrate a bien compris que c’est l’organe du plaisir féminin, il l’appelle « le serviteur qui invite ses hôtes ». A cette époque, on pense que sans plaisir, la femme ne peut pas engendrer. Du coup, on stimule à fond. Cette pensée va s’étendre à tout le Moyen-Age. Même si l’Église trouve le sexe dégueulasse, les médecins préconisent le massage de cet organe encore un peu inconnu. Mais le premier mec à le nommer vraiment, c’est au milieu du XVIème siècle. Ouais, quand même… Avant, c’était un peu une zone d’ombre. On allait quand même pas ausculter le jardin secret d’une femme lol. Aujourd’hui, je vous raconte l’histoire du clitoris, pas depuis son invention mais depuis sa découverte. Et c’est déjà pas mal.


1559 : La grande découverte


Avant le XVIème siècle, on a pas de trace du clitoris, ça ne veut pas dire qu’il n’existe pas, non, ça veut dire qu’on ne s’y intéresse pas. Ou qu’on le cache. Ou les deux. En 1559, le médecin italien Mateo Realdo Colombo (on dirait un nom de pizza, j’aime bien) s’intéresse au sexe féminin, et à l’anatomie. Nécessairement, il tombe sur cet organe que tout le monde semble ignorer. Il fait quelques recherches, et après quelques expériences il déclare «  le clitoris est par excellence le siège du plaisir de la femme ». Il appelle ça « un organe si joli et tellement utile ». 

Bien ouej mec ! T’es peut-être pas le premier à t’en rendre compte, mais t’es bien le premier à le crier haut et fort. ! Il le dessine même, mais en tout petit.

Malheureusement, au fil des siècles, ça va foirer. Les mecs semblent oublier ce détail, pourtant important, de la femme. D’ailleurs, à la même époque, André Vésale, anatomiste et médecin, pas la moitié d’un con, estime que le clitoris est une malformation de la femme. Genre, un truc hermaphrodite, une bite qui a mal tourné. Du coup, on a tendance à les enlever. Une excision quoi…

Le XVIIème siècle : le clitoris est le pénis de la femme

Au XVIIème siècle, la médecine signale le clitoris sur de nombreux dessins anatomiques, c’est une belle avancée. Les médecins le comparent au pénis de l’homme, ce qui est finalement plutôt positif quand on sait à quel point les hommes tiennent à leur bite. Et au XVIIème siècle, les médecins sont des hommes. Des hommes cools, mais pas trop trop non plus. S’ils sont pour la stimulation clitoridienne, c’est pas pour la femme et son plaisir, non. C’est parce qu’à l’époque, comme à l’Antiquité, on pense que la femme doit avoir un orgasme pour tomber enceinte. Aussi, la masturbation clitoridienne est-elle franchement mise en avant. On l’encourage, et on tente à mort l’orgasme simultané. Tu sais, c’est quand le monsieur et la dame ont un orgasme en même temps. Oui, ça existe même en dehors des pornos. Enfin, à ce qu’il paraît.

Lumières sur le clitoris*

*Je crois que je n’ai jamais été aussi fière d’un sous-titre. C’est pas mal non ? On parle du XVIIIème siècle, on parle du clitoris, on parle des Lumières et du clitoris… bref.

Les philosophes des Lumières, la liberté, l’amour, le plaisir ? Tu parles. Que dalle ! Au XVIIIème siècle, c’est la fin de l’heure de gloire du clitoris. On pense finalement que l’organe exclusivement féminin est la source de tous les maux de la terre. Le docteur Tissot parle de toutes les maladies produites par la masturbation. (tu peux cliquer, c’est un peu drôle). L’onanisme c’est le mal absolu, bin oui, chaque personne qui se masturbe s’éloigne un peu de la grossesse, et c’est pas le tout, mais on a un taux de natalité à tenir. Y’a des guerres, et on a besoin de bonhommes comme chair à canon. Toutes les pratiques masturbatoires sont aussi bien perçues que les contraceptifs. Alors imagine un peu…

Au tout début du XIXème siècle, en Allemagne, on a pas peur d’enlever l’intégralité du clitoris sur les petites filles qui osaient mettre leur main dans la culotte. Sauf que 1) c’est vraiment fils de plâtre de faire ça 2) il y avait plus de 20% de mortalité suite à des infections de la vulve. Super. Grande classe. C’est pas en tuant les femmes que vous aurez des gosses les baltringues.

Le XIXème siècle : jouir oui, mais à deux seulement

On retourne au XVIIème siècle, le clitoris, oui, mais en couple seulement. Pour porter en elle le fruit de son mariage, la meuf doit nécessairement jouir pendant le coït… Une femme qui ne jouit pas est une femme infertile. Et franchement, c’est pas classe du tout hein. Aussi, une femme qui se masturbe seule peut avoir des pensées « mauvaises », genre fantasmer sur le voisin, ou pire, la voisine. Aussi, un mari se doit de caresser sa femme jusqu’à l’orgasme, de peur qu’elle soit insatisfaite et doive le faire seule… Ou avec le voisin. Ou la voisine. Mais du coup, la femme célibataire ou veuve, elle fait comment pour éviter ce genre de pensées nauséabondes qu’est le plaisir ? Eh bien… Elles vont chez le médecin. Pas pour se faire exciser non non, on est pas des sauvages. Non, je déconne, évidemment, ça existe. Pour lutter contre les pratiques masturbatoires, on excise… C’est le cas des docteurs Thésée Pouillet, Pierre Garnier, et aussi Paul Broca, des hommes évidemment. Mais l’excision n’est pas la seule solution, et heureusement…

Les femmes ont recours à l’orgasme médicalement assisté.

Beaucoup de femmes sont considérées comme hystériques, rappelons que c’est une maladie imaginaire, ça n’a jamais existé. Les hommes ont créé cette maladie pour pouvoir mieux enfermer les femmes un peu chiantes, au fort caractère, ou un peu cinglées. C’est vrai, beaucoup de meufs étaient considérées comme hystériques et beaucoup avaient des profils très très différents. Pour soigner l’hystérie, donc, les médecins préconisaient les orgasmes médicalement assistés. Pourquoi ? Parce que ça rapporte du fric ! Cela a pu représenter jusqu’à 30% de leur chiffre d’affaire. J’veux dire, ça commence à compter sur une carrière.
En 1840, on commence à penser que le clitoris n’a peut-être rien à voir avec la reproduction. On le dessine et tout. Charles Négrier, un médecin français l’explique dans Recherches anatomiques et physiologiques sur les ovaires dans l’espèce humaine, considérés spécialement sous le rapport de leur influence dans la menstruation. 

1930, on efface le clitoris

En 1905, Freud explique que la sexualité clitoridienne est infantile. La seule qui importe est celle de la pénétration vaginale, parce qu’on a toujours besoin d’un vrai bonhomme tavu. Aussi, les petites filles qui stimulent leur clitoris ne font que revendiquer leur envie d’avoir une bite… En gros le clitoris doit disparaître, et les femmes ont besoin de thérapie. Business is business hein.

Dans les années 1930, le monde de la médecine s’est enfin mis d’accord sur le fait que le clitoris ne joue absolument aucun rôle dans la reproduction. Aucun. L’organe est complètement inutile, c’est un gadget égoïste de la femme, ou pire encore un moyen contraceptif. Bin oui, la masturbation éloigne de la procréation tout ça… Alors, le verdict est sans appel : le mot clitoris est enlevé du dictionnaire. Ni plus ni moins. Comme si ça n’existait pas. Dans les années 1960, ça va être encore pire. C’est l’obscurantisme total. On en parle pas, on ne le touche pas, ça n’existe pas… Et puis, y’a la révolution sexuelle, alors on en parle pas mais on le touche. C’est déjà pas mal…

Le clitoris d’aujourd’hui

En 2010, Annie Sautivet lance une étude sur les adolescents français et le clitoris… Seulement 50% des 13/14 ans connaissent l’existence du clitoris. Peu savent le situer… Et parmi eux, il n’y a que 16% qui connaissent sa fonction érogène… Eh beh, on est pas sortis du sable hein…

Enfin, de nos jours, de nombreuses associations luttent encore contre l’excision des jeunes filles dans le monde. C’est plus ou moins efficace. On en entend un peu parler, mais pas trop, j’veux dire, c’est quand même vachement moins grave que de couper la bite d’un monsieur, parce que le monsieur il ne pourra plus avoir d’enfant, alors que la dame, même sans clitoris, elle peut. Le plaisir est secondaire. Ou interdit, ça dépend. Quant à la douleur, on s’en fout. Et les conditions d’hygiène ? Lol, rien à foutre (image pouvant un peu heurter ta sensibilité). La femme ne fait pas de sexe pour prendre du plaisir, seulement pour pérenniser l’humanité… Pour en savoir plus, tu peux lire cet article. Ça fait froid dans le dos.









mardi 26 avril 2016

Bande de pervers!





Nous sommes tous des déviants sexuels


Que se passe-t-il vraiment dans la tête de la personne que vous aimez ? Êtes-vous sûr d’être au centre de ses pensées, de ses désirs ? Ne fantasme-t-elle pas sur quelqu’un d’autre ou sur une zone particulière de votre corps ? Les pieds, par exemple, c’est assez courant.
Pour Jesse Bering, la déviance sexuelle est beaucoup plus fréquente qu’on ne veut bien l’admettre. Notre libido est un assemblage de pulsions qui nous est aussi personnel que nos empreintes digitales et qui ­inclut presque toujours une zone d’ombre.
En se basant sur des centaines de recherches récentes ou en revenant sur des études plus anciennes, Bering lève le voile sur les ­secrets d’alcôve de notre cerveau. Il fait un tour d’horizon des perversions (ou paraphilies) rares ou courantes et s’attaque sur un ton volontai­rement enjoué aux hypocrisies et préjugés qui entourent encore trop souvent nos jugements sur la sexualité des autres. En rendant leur humanité à ceux que l’on appelle déviants et en posant des questions pertinentes sur la différence entre pensée et action, il révolutionne ­l’approche scientifique de la diversité sexuelle en la débarrassant de toute considération morale.
Éclairant et captivant, Pervers est un livre indispensable à tous ceux que « la chose » intéresse.











lundi 25 avril 2016

Souvenir...





C'était lors des Anneaux de Justine de Lyon, il y a 2 semaines.

Un jeu furtif, une complicité partagée, capturée par chance sur la pellicule de Mister, notre Hôte.


Lors des jeux, les images sont rares, voir inexistantes, c'est pourquoi je suis ravie d'en avoir une en souvenir.





vendredi 22 avril 2016

Cendrier




Moi? Je ne fume pas. Plus.
Mais mon peegy, lui, pratique cette vicieuse sucette à cancer.
Alors pour lui donner une leçon, il a fait office de cendrier.
Hélas, cela n'a pas calmé ses ardeurs nicotiniques...
Il aurait même apprécié l'expérience.
Il faudra donc sévir!










mercredi 20 avril 2016

Nouvelle acquisition







En voila un gentil toutou qu'il va falloir emmener à l'éducation canine...




lundi 18 avril 2016

Une belle trouvaille!




Lors de mon week-end à Lyon, nous sommes tombés sur un petit magasin rempli d'un fouillis de livres et de bandes dessinées d'occasions.
Une chasse au trésor commença alors.
Je voulais trouver des exemplaires de la Chroniques de Gor. 
Des livres rares. Car ils n'ont pas été réédités depuis des années. 
Sans doute dû à la polémique que créa Norman avec ses kajiras esclaves des hommes.

Grâce à la bonne mémoire de Dame S et du libraire, je suis ressortie de là-bas avec les cinq premiers tomes. Joie!

Je sais que ce n'est pas de la grande littérature. Mais je suis ravie d'être en possession de ces objets rares sortis de trois collections différentes.

Pour en apprendre un peu plus au sujet de cette chronique, je vous invite à lire ce lien: 







jeudi 14 avril 2016

Sexe et robotique : les maisons closes du futur


Le plus vieux métier du monde à l’aube d’une vraie révolution ? Les débats sur la légalisation de la prostitution sont déjà dépassés. Et non pas parce que la morale aura vaincu, mais parce que la science apporte de nouvelles solutions.
Deux chercheurs de l’Université Victoria de Wellington en Nouvelle-Zélande ont en effet développé une théorie futuriste sur le sujet : “En 2050, le quartier chaud d’Amsterdam sera l’affaire de prostituées robotisées, qui n’auront pas d’infections sexuellement transmissibles et qui ne seront pas des travailleuses clandestines de l’Europe de l’Est réduites à l’esclavage. Le conseil municipal aura un contrôle direct sur les travailleuses du sexe robotisées en contrôlant les prix, les heures d’ouverture et les services sexuels“.
Sur un plan juridique rien ne s’y oppose. Car en théorie les prostituées robotiques resteraient des « objets » et échapperaient ainsi à la réglementation liée aux prostituées humaines. Même s’il faut savoir qu’aujourd’hui encore certains états et certaines cultures interdisent toujours la vente ou l’utilisation d’accessoires sexuels.
une robot poupée vue de face
Des prestations qui ne seraient pas accessibles à tous puisque les chercheurs estiment l’entrée et l’accès illimité à tous les services de ces maisons closes du futur entre 7.500 et 10.000€. Un tarif qui sera amené à diminuer mais qui ne permettra pas de résoudre tout de suite les problèmes liés à la traite des êtres humains.
Absurde ? Et pourtant, on retrouve déjà au Japon des « maisons closes » de poupées à taille humaine, les Doll No Mori, dans lesquelles le client choisi et utilise son modèle à son gré. En Allemagne, un jeu ingénieur a créé First Android, une poupée dotée d’un système circulatoire qui la rend chaude au toucher. Sa cage thoracique est animée pour donner l’illusion d’une respiration et elle est capable de simuler une excitation sexuelle par des mouvements du bassin. Aux Etats-Unis, le robot Roxxxy a fait couler beaucoup d’encre cette année. Elle est dotée d’une peau synthétique et peut endosser cinq personnalités différentes : aventureuse, extravertie, timide, femme sage et dominatrice. “Roxxxy connaît vos goûts, elle sait ce qui vous fait plaisir et ce que vous n’aimez pas. Elle peut suivre une conversation et exprimer son affection pour vous. Il lui arrive même d’avoir des orgasmes“. Une version masculine, Rocky, est aussi disponible.
robot ou prostituée ?
un homme qui embrasse un robot

L’industrie du sexe a toujours su s’emparer précocement des avancées scientifiques et technologiques : photographie, cinéma, internet, etc. Une majorité de personnes restera évidemment attachée aux relations sexuelles avec d’autres êtres humains mais pour d’autres l’amour avec un robot sera une nouvelle alternative. Si l’idée d’avoir des relations sexuelles, ou même de se marier avec un robot est aujourd’hui difficile à concevoir, il suffit de regarder quelques décennies en arrière pour se remémorer ce que l’on pensait alors des relations homosexuelles, des sextoys ou simplement des mariages interraciaux. Les robots sont peut-être simplement la prochaine évolution.

Au-delà du sexe

Mais les relations avec les humanoïdes pourraient aller plus loin. « D’ici à 2050, les êtres humains tomberont amoureux et se marieront avec des robots humanoïdes. On sera capable de construire des machines qui nous ressembleront et reproduiront nos émotions : il deviendra quasi naturel de les aimer. C’est inévitable », énonce David Levy, chercheur à l’Université de Maastricht. Il ajoute que les premiers mariages entre humains et robots pourraient être célébrés dès 2050 à l’étranger.
Les prostituées robotiques peuvent-elles mettre fin au trafic d’êtres humains, à la prostitution, la pédophilie et les maladies sexuellement transmissibles ? Il reste certain qu’elles proposeront des services sexuels plus variés et parfaitement adaptés aux plaisirs individuels, sans aucun risque de transmission de maladie et en évitant la potentielle culpabilité du client.
red light d'amsterdam
Au-delà de la prostitution, le sexe entre humains finira t-il par être réservé aux curieux, aux nostalgiques de la chair ou aux hippies du sexe ? Est-ce qu’ils ne seront pas pris pour des barbares et 
des inconscients à risquer grossesses et maladies, pour un plaisir bien moindre à celui que procurera une machine ?
Sources : Roxxxy, Wikimedia Commons, Ryan Etter
Marlène Moreira



mercredi 13 avril 2016

Anneaux de Justine





mardi 12 avril 2016

Vos désirs font-ils désordre?


Vos désirs font-ils désordre?



Qu’est-ce qu’un désir? Quelque chose qui semble bon et pousse à agir, un idéal, une pulsion à sublimer? Moteurs de vie pour certains, synonymes de foi pour d’autres, les désirs sont nombreux et changent de visages.

La société de consommation multiplie les injonctions à désirer. L’embarras du choix dans nos spiritualités, nos métiers, nos sexualités peut s’avérer vertigineux. Certains désirs libèrent et d’autres contraignent: sommes-nous maîtres ou esclaves?



Pour écouter les 5 émissions de radio "Vacarme" sur la RTS (du 11 au 15 avril 2016):

http://www.rts.ch/audio/la-1ere/programmes/vacarme/7605719-vos-desirs-font-ils-desordre-1-5-11-04-2016.html













vendredi 8 avril 2016

Rock steady











Pour regarder le clip:
http://youtu.be/KeL_oudWlDQ








jeudi 7 avril 2016

Y a pas plus zen qu'une Domina







Le sado-masochisme aurait les mêmes conséquences que la méditation

Selon une étude américaine, une expérience sado-masochiste entre adultes consentants pourrait conduire à un état de conscience proche de la méditation.


En psychologie, le sado-masochisme est une perversion sexuelle dans laquelle se combinent l'agressivité propre au sadisme et l'attitude de soumission qui caractérise le masochisme. 

Mais voilà qu’une étude américaine tente de redorer quelque peu le blason de cette pratique sexuelle.

Selon cette étude menée par les chercheurs de l’Université du Nord de l’Illinois, aux Etats-Unis et publiée sur le site du Huffington Post, le sado-masochisme (c’est-à-dire les  pratiques sexuelles basées sur le couple de pulsions sadique et masochiste) pourrait être considérée comme une expérience méditative. 

Selon cette étude, les adeptes des expériences sado-masochistes consenties, acceptées et ritualisées seraient en meilleure forme psychologique que la population générale et seraient surtout beaucoup moins sujets à l’angoisse et à l’anxiété. 

« Cela peut sembler paradoxal » expliquent les auteurs de l’étude qui ont recruté 14 couples pour mener cette expérience. « Mais la douleur qui accompagne la pratique du sexe sado-masochiste peut entraîner le cerveau à shunter le flux sanguin loin du cortex préfrontal, provoquant un état de conscience altéré proche de celui de la méditation ». 

Et ce serait précisément cet état de conscience altéré qui rendrait l’expérience sado-masochiste aussi attirante, plus d’un point de vue spirituel que purement sexuel.


mercredi 6 avril 2016

Mais ayoooo



Un rare moment où le soumis fait souffrir sa Maitresse... ^^











mardi 5 avril 2016

Oh oui! Fais-moi plaisir...



Quand on me fait un petit cadeau comme celui-ci, je ne peux que me réjouir! Merci mon peegy!




Avec 2'200 agrafes, j'ai de quoi m'amuser un petit moment! OH OUI!






Les premiers tests sont concluants! Le 2ème effet "kisskool" c'est quand on les enlève!






vendredi 1 avril 2016

Casseurs de vélos au pilori




Neuchâtel prend des mesures pour lutter contre le vandalisme qui touche les vélos en location. Neuchâtelroule inaugure vendredi un pilori à la station du port. Ce dispositif a pour but de dissuader les voleurs et les casseurs qui sévissent en ville, mais aussi de sensibiliser le public à la cohabitation entre piétons et vélos au bord du lac.
Inauguration ce vendredi à 17 heures, à côté du Musée d’art et d’histoire. Le public est cordialement invité à un apéritif.
Par ailleurs, Neuchâtelroule profitera de cet événement pour accueillir 19 nouveaux vélos qui arriveront par bateau ! Pour rappel, les vélos sont gratuits à bord des bateaux de la Société de navigation sur les lacs de Neuchâtel et de Morat. D’autres nouveautés seront présentées vendredi dès 17 heures à la station du port. 



 Hihihi...