mercredi 31 juillet 2019

En cage...


...mais sans vraiment l’être.

Et je vous défie de l’enlever sans la clef du cadenas, car la tige d'urètre ne vous laissera pas faire.




lundi 29 juillet 2019

Nouvelle acquisition



Ce magnifique joug a désormais trouvé sa place ultime au sein de ma Dragonnière 





vendredi 26 juillet 2019

Pourquoi il ne faut pas s’insérer des glaces à l’eau dans le vagin pendant la canicule



Pourquoi il ne faut pas s’insérer des glaces à l’eau dans le vagin pendant la canicule



Tous les moyens sont bons pour se rafraîchir durant la canicule. Enfin, presque. Des docteurs mettent en garde les femmes qui s’insèrent des glaces dans le vagin pour se rafraîchir.

L’Europe n’est pas habituée à être confrontée à de telles températures. Et pour trouver un peu de fraîcheur lorsque le mercure frôle les 40°C, des personnes adoptent des comportements étranges.

Une peau très sensible et délicate

Ainsi, il semblerait que certaines femmes à la recherche d’un petit coup de froid s’insèrent des glaces à l’eau dans le vagin. Une très mauvaise idée selon nos confrères de Metro UK qui ont interrogé plusieurs experts.

« Le vagin est composé d’une peau très sensible et délicate. Des éléments qui peuvent sembler anecdotique lorsqu’ils sont en contact avec d’autres parties du corps peuvent causer des infections, des irratations et des préjudices s’ils entrent en contact avec le vagin. Il y a beaucoup de choses qui ne devraient jamais s’approcher d’un vagin, et les glaces à l’eau sont tout en haut de celles-ci », a expliqué la Dr Sarah Welsh. La spécialiste a ajouté que le sucre des glaces pouvait notamment dérégler le pH naturel du vagin.

Une douche et des vêtements amples

Même son de cloche du côté de la Dr Shree Datta, gynécologique à la MyHealthcare Clinic. Elle conseille aux femmes qui souhaitent se rafraichir de plutôt porter des sous-vêtements amples en coton et d’éviter les vêtements serrés. « Prendre une douche froide (sans rinçage interne) et veiller à bien rester hydratée devrait suffire », indique la spécialiste.

En bref, si vous souhaitez vous rafraîchir, laissez votre vagin en dehors de tout ça. L’insertion d’un objet congelé dans celui-ci peut provoquer un tas de problèmes, comme une sensation de brûlure, des démangeaisons ou une douleur générale.

Source : https://fr.metrotime.be/2019/07/25/actualite/pourquoi-il-ne-faut-pas-sinserer-des-glaces-a-leau-dans-le-vagin-pendant-la-canicule/?fbclid=IwAR2DxOvFHr6pYNQpyPlMfXPhgqceN7gVsV3eyavdxDzoeTnh_VM9FQHdtXA

jeudi 25 juillet 2019

Interview



Archi prête et détendue avant le commencement de l'interview 

Vous en entendrez parler dans quelques semaines 





samedi 20 juillet 2019

Question existentielle



Pourquoi le pénis est-il d'une couleur différente du reste du corps ?




De manière générale, les parties génitales, mais aussi les aréoles, sont plus sombres que le reste du corps. D'après les dermatologues, cette différence de coloration est liée aux hormones sexuelles produites au moment de la puberté.

La coloration de la peau, son aspect bronzé, dépendent de la présence d'une protéine : la mélanine, produite par des cellules de la peau appelées mélanocytes. Or, dans l'organisme, les niveaux d'hormones sexuelles, à savoir la testostérone pour l'homme et les œstrogènes pour la femme, contrôlent l'activité des mélanocytes. Voilà comment, dans un article du Daily Mail Online, deux dermatologues new-yorkais, Lindsey Bordone et Cameron Rokhsar, expliquent que les hormones agissent sur la couleur des organes génitaux.

Les lèvres génitales de la femme changent de couleur aussi

Pendant la puberté, les taux d'hormones sexuelles augmentent. Conséquence : la peau du pénis chez l'homme et des lèvres génitales chez la femme devient plus foncée. Le même phénomène se produit au niveau des aréoles, chez les hommes comme chez les femmes. Ainsi, comme le décrit Lindsey Bordone, « quand les filles sont jeunes, leurs aréoles sont claires. Et à mesure qu'elles vieillissent, les hormones ont un effet et les aréoles s'assombrissent. C'est très similaire pour les garçons ».

Autre manifestation de ce phénomène : pendant la grossesse, les taux d'hormones changent et la pigmentation de la peau peut augmenter en certains endroits du corps, comme la ligne entre le nombril et le pubis et les aréoles... Enfin, côté cheveux, les hormones ont là aussi une influence, puisque les têtes blondes des enfants ont tendance avec le temps à devenir de plus en plus brunes.

Source : https://www.futura-sciences.com/sante/questions-reponses/sexualite-penis-il-couleur-differente-reste-corps-6925/



vendredi 19 juillet 2019

Rouge et noir







jeudi 18 juillet 2019

Poids



Petit lox « peine à bander » entre les mâchoires du Pilobite et tous les poids pendus à sa verge.





lundi 15 juillet 2019

WISHLIST




Maquillage:


-Mascara noir Drama de Lancôme
-Mascara cils booster XL de Lancôme
-Mascara noir Hypnose Doll eyes de Lancôme
-Khôl noir Hypnose waterproof de Lancôme
-Rouge à lèvres L'absolu Velvet Matte 181 entracte ou 144 rouge artiste de Lancôme
-Fard à paupières Hypnôse Pakette - Reflets Ruby 14 de Lancôme
-Ombre Hypnôse Stylo Violet éternel 08 de Lancôme


Eau de Parfums:


Vestimentaire:

-Carré Hermès 
-Foulard Longchamp
-Gants en cuir ou en latex, taille XL
-Escarpins / bottes / cuissardes, taille EU42,5 (ou 43) UK9 US11
-Sacs Longchamp, Vuitton, Hermès


Accessoires BDSM:

-Cagoule en cuir
-Ball stretcher
-Fouet (Taïpan ou Charon)
-Martinet
-Plug gonflable
...


Cartes cadeau:

-Manor
-Fnac
-Bains de Saillon ou Lavey



Alimentaire:

-Muscat de Beaumes de Venise, Domaine des Bernardins
-Muscat de Beaumes de Venise, Xavier Vignon
-Johannisberg Porte de Novembre, Maison Gilliard, Sion
-Vin de prunes Japonais, Umeshu
-Macarons Ladurée


Divers:

-Les glaïeuls
-Les amarilys
-Les roses rouges
-Set d’écriture Mont Blanc











dimanche 14 juillet 2019

Pussypedia



On te présente Pussypédia, « l'encyclopédie de la chatte » pour que les meufs s'emparent de leur sexe. On te présente le Wikipédia de la chatte.




Après avoir fait la loi pendant des décennies, se pavanant avec arrogance et s'exhibant à tout-va, le pénis pourrait bien avoir du souci à se faire. Oui, vagin, clito, utérus et toute leur bande de copains viennent prendre leur revanche. On leur consacre des documentaires, on les placarde sur des affiches militantes, on apprend (enfin) à en prendre soin et à les aimer, bref, cette année plus que jamais, les meufs ont décidé de se réapproprier leur propre sexe. Seulement, il faut bien le reconnaître, le combat est loin d'être terminé et malgré les comptes Insta, les reportages, les bouquins, les podcasts et autres guides qui s'y attèlent, on peine parfois à obtenir des réponses au sujet de notre propre anatomie. L'orgasme vaginal existe-t-il vraiment ? Les femmes peuvent-elles toutes éjaculer ? Que faire si notre sexe sent et pourquoi dégage-t-il cette odeur ? Des questions que l'on juge souvent gênantes et que l'on préfère laisser sans réponse, plutôt que d'affronter le regard ô combien malaisant d'un professionnel.

Heureusement, trois nanas géniales dotées d'une idée encore plus géniale ont décidé de palier à ce manque cruel d'informations. Fin 2017, la journaliste Zoe Mendelson, la graphiste Maria Coneio et la doctorante en médecine Jackie Kahn lançaient Pussypédia, l'encyclopédie de la chatte, une plateforme bilingue (anglais et espagnol) qui met à disposition des infos, des articles, des illustrations explicatives afin que l'intimité féminine puisse être accessible à toutes les femmes. Après plus d'un an d'attente, le site dédié à « la chatte » est enfin en ligne et il est, en plus d'être hyper ludique, carrément canon ! Divisée en trois espaces, la plateforme présente tout d'abord une carte interactive des organes génitaux. Tu t'es toujours demandée à quoi ressemblait vraiment ton vagin en 3D ? Pussypédia l'a fait ! D'autant que l'illustration n'a rien à voir avec les dessins hyper simplistes auxquels on a droit dans les manuels scolaires. Grâce à son corps transparent, la silhouette 3D nous permet de voir notre sexe comme on ne l'a jamais vu.

Plusieurs articles figurent également sur la plateforme, qu'ils aient été écrits par les 200 contributeurs du site ou qu'ils renvoient vers des liens externes. Et ça fait un paquet d'infos sur des sujets encore trop brumeux : les règles, la masturbation, l'avortement, l'accouchement, les mycoses, etc. Même si la plateforme n'a pas pour but de remplacer l'expertise d'un professionnel de santé, elle tente d'informer les femmes, en faisant taire certaines rumeurs qui persistent et qui se propagent dangereusement sur des forums (comme le fait de soigner une mycose avec de l'ail par exemple) ou certains préjugés qui ont la peau dure (comme l'idée que le vagin serait naturellement sale et que seule une poire à lavement peut remédier à la situation. Ce qui est évidement complètement faux). Bref, voilà un espace bienveillant, instructif et inclusif dont on avait franchement besoin !

Source : https://www.shoko.fr/on-te-presente-pussypedia-l-encyclopedie-de-la-chatte-pour-que-les-meufs-s-emparent-de-leur-sexe-a685321.html?fbclid=IwAR26s3zAPdx5m48lsbkC2ODTjKIDNDUk09B6N9Zdy7ld27vVCe3J6ZNUDZc

mercredi 10 juillet 2019

Le porno crée sa «femme parfaite» et c'est un cliché sexiste



Le porno crée sa «femme parfaite» et c'est un cliché sexiste.

Ce sont (encore) les bisexuelles et les Eurasiennes qui vont souffrir des stéréotypes sexuels dont elles sont l'objet.

Combattu et encore très présent, le marketing sexiste a encore de beaux jours devant lui. En particulier dans l'univers de la pornographie. En juin, xHamster, site porno, a demandé à 50.000 membres d'imaginer une «femme parfaite». Le résultat, tout sauf surprenant, véhicule son lot de clichés et de stéréotypes pour créer une femme hypersexualisée: eurasienne, épilée intégralement, aux cheveux longs, bisexuelle et surtout pas féministe.

La «femme parfaite» devient alors une machine qui englobe tous les fantasmes masculins, entre sexisme et fétichisation raciste et bisexuelle. Un résultat qui a «donné envie de mourir» à Carina Hsieh, une journaliste du Cosmopolitan.

«La femme bi est chaude, quoi»

Premier des nombreux problèmes à soulever: la sexualité de cette femme imaginée. «On est dans l'hypersexualisation de la bisexuelle qui se rend disponible pour les hommes et pour le regard des hommes. Elle peut coucher avec des femmes mais il faut qu'un homme puisse intervenir», résume Alice, cofondatrice de Paye Ta Bi, un compte Instagram voué à visibiliser la bisexualité en éliminant les préjugés.

Il ne faut pas voir dans le résultat de ce sondage une femme libérée sexuellement mais une bisexuelle vouée à répondre aux désirs d'hommes hétérosexuels. «Elle est bisexuelle pour être disponible pour des plans à trois mais pas avec deux hommes. Seulement pour le plaisir de l'homme hétérosexuel en faisant l'amour avec lui et une autre femme», selon Alice.
Parmi les personnes interrogées, 40% souhaitaient que cette femme soit bisexuelle.
«C'est une constante des témoignages que l'on reçoit, ajoute Anne, l'autre fondatrice. Entendre de la part des hommes hétérosexuels que la bisexualité, c'est trop bien. Ou le coup de l'ex qui t'appelle parce qu'il a une nouvelle copine et qu'elle veut tenter un truc avec une fille. Il te contacte pour un plan à trois et toi, t'es censée sauter de joie parce que la femme bi est hyperdisponible. Elle est chaude, quoi.»

Pour elle, cette récurrence se voit dans le porno ou le cinéma. «Sur ces sites, les catégories lesbiennes sont tournées par rapport à un fantasme hétérosexuel masculin. Même chose pour des films comme La vie d'Adèle.»

De son côté, xHamster évoque que les personnes qui regardent du porno voulaient une femme «à leur image» puisque, selon le site, 22% d'entre elles sont bisexuelles. Pourtant l'écart est encore plus grand dans le sondage: 40% des personnes interrogées souhaitaient que cette femme soit bisexuelle.

La femme eurasienne plébiscitée

Autre fétiche, celui de la mixité. Si l'on regarde le sondage de près, une majorité des votant·es voulait «une femme parfaite» blanche (près de 40%). Pourtant, xHamster a choisi de créer une femme eurasienne, alors qu'un·e sondé·e sur dix à peu près souhaitait une femme asiatique.

«Ce plébiscite de la femme eurasienne ne m'étonne pas», précise Grace Ly, autrice, créatrice du blog La petite banane et du podcast Kiffe ta Race avec Rokhaya Diallo. «Penser que la personne “mixrace” est plus attractive que les personnes non mélangées racialement est une idée très ancrée dans la société.» C'est un poids à porter. «On pense que la personne mélangée est plus belle et qu'en plus elle va mettre fin au racisme dans le monde», souffle l'autrice.

«Je suis encore entourée de personnes qui se disent humanistes mais pas féministes.»
Olympe de G., réalisatrice de pornographie alternative audio et vidéo

L'écrivaine Ashley McDonough, sur le site de Madame Noire, dénonçait également cette idée: «Parler de ces enfants comme s'ils étaient “l'idéal” fait plus de mal que de bien [...] Cela envoie un message malsain et perpétue des modes de pensées ignorants et inexacts.»

Grace Ly continue: «À chaque fois, c'est pareil: quand on parle de mixité, on ne parle que du mélange avec une personne blanche et pas de personnes noire et asiatique, par exemple. On touche du doigt le colorisme, le racisme par la teinte de la couleur de peau. Dans le cas de l'eurasienne choisie [à l'issue du sondage], il s'agit de mettre en avant une forme d'exotisme et en même temps d'être rassuré par les traits d'une personne blanche.»

Le troisième point le plus problématique est la réponse relative au fait que cette femme se doit de ne pas être féministe (selon 60% des sondé·es). «En fait, “féministe” reste un gros mot. Je suis encore entourée de personnes qui se disent humanistes mais pas féministes ou qui se sentent attaqué·es par l'emploi de ce terme», souligne Olympe de G., réalisatrice de pornographie alternative audio et vidéo.

«L'égalité, ça ne fait pas bander»

Pour la pornographe, cette vision erronée du féminisme cause un tort sérieux à des femmes qui refusent de se reconnaître dans ce mot. «C'est dommage parce que c'est une incompréhension de ce qu'est le féminisme, qui inclut aussi la sexualité féminine. Une femme féministe sera plus libre dans son corps et ses désirs. On aurait tout intérêt à ce que la femme idéale le soit. Que peut-il y avoir de mieux que d'être au lit avec une partenaire qui connaît son corps et qui n'est pas là uniquement pour le plaisir masculin?»

On touche ici le point le plus sexiste de cette étude. Sur sa personnalité, c'est la seule question qui est posée. «On demande si elle est féministe mais pas si elle a un travail et quel est-il», réplique Anne. Grace Ly ajoute: «Le féminisme, c'est être l'égal de l'homme. Dire “elle ne doit pas être féministe”, c'est dire qu'être l'égale de l'homme ça ne fait pas bander les mecs.» «Elle doit fermer sa gueule», reprend Anne. D'ailleurs, xHamster a choisi de la nommer Shy («timidité», en anglais).
«Il faut qu'elle soit salope, mais pas trop. Il faut qu'elle suive le mouvement, le désir de l'homme», juge Alice. Olympe de G. reprend: «Il faut qu'elle ait l'air de ne pas trop y toucher. Parce qu'une femme qui revendique sa sexualité, c'est effrayant. Elle doit avoir envie, mais pas trop. Son prénom va dans ce sens-là.»

«On y retrouve tous les fantasmes et problèmes qu'il y a dans la cervelle de certains mecs.»
Anne, cofondatrice de Paye Ta Bi

La critique récurrente est que Shy est pensée par rapport aux désirs de l'homme hétérosexuel.
xHamster précise que les sondé·es sont des hommes, des femmes et des non-binaires mais sans préciser les proportions.

«On y retrouve tous les fantasmes et problèmes qu'il y a dans la cervelle de certains mecs, reprend Anne. On n'a pas fini de lutter pour nos droits puisqu'ici, tout se mélange et se recoupe: le droit des femmes, le droit à la sexualité, le droit aux plaisirs au même titre que les hommes.»

Stéréotype de toutes pièces

D'autres stéréotypes sont visibles. Shy se doit d'être épilée intégralement –«bien sûr: même les féministes s'épilent», ose xHamster– et de porter les cheveux longs. Ce point a fait tiquer Olympe de G. «J'ai toujours eu les cheveux longs mais récemment je me suis coupé les cheveux. Depuis, j'ai remarqué une différence dans les attaques que je subis dans les commentaires sur les réseaux sociaux ou sur des vidéos. On me renvoie à la masculinité en partant du principe que je ne suis pas hétéro.»

Le choix des sondé·es ou ces commentaires renvoient à des jugements sociétaux: «Je travaille beaucoup sur la sexualité des femmes de plus de 40, 50 ou 60 ans et j'ai remarqué que c'est à ces périodes qu'une femme se coupe les cheveux plus court. Elle considère qu'elle n'est plus un objet de désir. Dans les religions aussi on a le sentiment que l'énergie sexuelle est concentrée dans les cheveux. C'est pour cette raison qu'on couvre ceux des femmes.»

«Ce qui est passionnant dans le porno, c'est la diversité.»
Olympe de G., réalisatrice de pornographie alternative audio et vidéo

Pour les quatre femmes interrogées, le problème ne tient pas à la pornographie en soi mais à la société qui la fait vivre. «Vouloir créer un stéréotype de la femme idéale est en soi problématique», pense Olympe de G. Shy, qui n'existe pas, a été imaginée en computer-generated imagery (CGI), une forme de réalité virtuelle. Elle possède même son compte Instragram.

«Le 3D dans le porno peut permettre de diversifier les corps, de modéliser ce qui nous plaît vraiment et de se sortir des contraintes de la nature. La volonté de standardisation du corps de cette étude est problématique.» «Être contre ça, ce n'est pas être contre le cul, souligne Alice de Paye ta bi. C'est dire qu'à la place d'une vision hétéronormative il y a plusieurs formes de sexualité envisageables.»
Si cette cette vision l'emporte, c'est parce que xHamster doit y trouver son compte. «On voit les ficelles du marketing, insiste Olympe de G. Quand on regarde les résultats, beaucoup de sondé·es répondent à plusieurs questions par “on s'en fout”. C'est complètement ignoré. On peut imaginer qu'ils avaient déjà préparé cette femme et qu'ils l'ont légèrement customisé pour intégrer le marché du porno en réalité virtuelle. En créant son compte Instagram après avoir intégré dans le processus 50.000 utilisateurs, on s'assure 50.000 abonnés potentiels.» Pour une seule et même femme. «Alors que ce qui est passionnant dans le porno, c'est la diversité», conclut Olympe de G.


Dans la bulle française des réseaux sociaux, un premier thread a alerté des problèmes sous-jacents à ces résultats. Une mise en lumière qui a attiré les commentaires houleux de la part d'hommes contents du résultat et assez satisfaits qu'elle ne soit pas féministe.

En soulignant tous les critères qui posent problème, il n'est pas pour autant question de pointer du doigt et de maudir les personnes qui ont répondu à ce sondage sans prendre du recul. «C'est important que nous nous emparions de la pornographie comme un sujet digne d'être traité, estime Grace Ly. Je ne pense pas que ce soit la pornographie le problème, mais la façon dont la société l'a imaginée. La porno n'est pas une boîte de Pandore où on met tous nos péchés inavouables. Elle fait partie de notre société et n'est que le reflet de nous-mêmes. Il faut continuer à se regarder dans la glace et se demander pourquoi ça nous excite. On ne parle pas d'interdire quoi que ce soit mais de se demander pourquoi une femme eurasienne excite plus que les autres. On ne va pas dire aux gens qui ont répondu à ce sondage que c'est raciste et sexiste, mais essayer d'en discuter. Parce que ce sont nos cousins, nos amis et nos frères qui ont répondu.»

Source : http://www.slate.fr/story/179445/porno-femme-parfaite-cliche-marketing-sexisme-xhamster?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR2vdZ3kmx-FlWq6mKkmLuX2pidHkjCCnvHV-m5leMKQE4gsyONlJwL11OA#Echobox=1562650512

mardi 9 juillet 2019

Petite pause...



...sur les bancs publics genevois après les 10 kilomètres de Marche des Fiertés ce dimanche 



Merci à croquine pour la photo 



lundi 8 juillet 2019

Ouille!



Un des plus beaux bouquets que je n’ai jamais reçu. 
Merci Maitre K!






dimanche 7 juillet 2019

Pride 2019


Nous voici embarqués avec Woof! Suisse romande et Swiss Gear Heads à la gay pride de Genève.
Une super ambiance et de belles rencontres tout du long de cette Marche des Fiertés.
Merci à eux pour l’invitation.


35'000 personnes à la Marche des Fierté, et nous étions une bonne cinquantaine de personnes à représenter les communautés Pup, Fur, Rubber, Leather, BDSM et tant d'autres, sans distinction ni discrimination !

Puppy Newton l’organisateur 
Avec Michi, Mister rubber europe 2018
Lanceleau et croquine nous ont aussi accompagnés pour la marche
Sœur Greta von Breitenbach du couvent de la Perpétuelle Indulgence et Wilma de Fritt
Avec mon fidèle Peegy pup 










vendredi 5 juillet 2019

Homosexualité, une maladie?




GUÉRIR DE L’HOMOSEXUALITÉ EN DEUX ANS… AUX FRAIS DE L’ASSURANCE


Très en vogue, l'EMDR (ici une démonstration) s'appuie sur les propriétés du mouvement rapide des yeux.


Le magazine alémanique «Gesundheitstipp» a débusqué un nouveau médecin proposant une «thérapie de conversion» couverte par la LAMal. Pink Cross demande des mesures.

«Une atteinte à la déontologie»: voilà comment un rapport du Conseil fédéral qualifiait en 2016 les «thérapies» censées guérir de l’homosexualité, tout en minimisant leur existence en Suisse. Pourtant, faute d’une interdiction explicite, elles restent toutefois pratiquées, comme l’a montré l’été dernier en Suisse romande l’affaire du Dr Henry. Un nouvel exemple est fourni cette semaine par le magazine de santé alémanique «Gesundheitstipp», qui a déniché un psychiatre prêt à «traiter» de jeunes homosexuels: le Dr Lukas Kiener, établi dans le canton de Schwytz.

Au terme d’une longue approche par e-mail, où ce médecin FMH s’était montré méfiant («Comment êtes vous arrivé à moi?» avait-il demandé), un faux patient de 24 ans accompagné par une journaliste a décroché un rendez-vous. Kiener y a détaillé sa méthode, consistant notamment à analyser les modèles de son client et à savoir s’il a été abusé sexuellement.

Stress post-traumatique
Le praticien a expliqué qu’il utilisait la technique EMDR («Eye Movement Desensitization and Re-processing»), qui a fait ses preuves auprès de personnes ayant subi un stress post-traumatique, notamment des soldats de retour d’une zone de conflit. En outre, pour procéder à cette «reprogrammation», le jeune client devait amener des photos d’hommes qui lui plaisent – y compris pornographiques. «Quand on est entièrement homme, que l’on se sent pleinement bien dans son sexe, alors seulement l’autre sexe devient intéressant», a expliqué le Dr Kiener.

Le psychiatre a prévenu que la thérapie durerait au moins deux ans. Les 40 premières séances seraient prises en charge d’office par l’assurance maladie de base. Ensuite il devrait faire une demande, «ce que les caisses maladie acceptent pratiquement toujours», selon le médecin. Au jeune «patient» qui faisait mine de s’inquiéter du risque de rechute, le Dr Kiener a assuré que l’hétérosexualité était «un état très stable».

Influence religieuse
«Gesundheitstipp» rappelle que ce type de thérapie est populaire auprès des églises évangéliques, qui attribuent l’origine du «mal» à un désordre familial. Le Dr Kiener est lui-même proche de ce mouvement protestant ultraconservateur, comme l’indique une interview à la revue «Campus für Christus». Il y confiait qu’il priait pour ses patients.

Les confrères du Dr Kiener sont sévères. Pour le psychologue Henri Guttmann, ces pratiques s’apparentent à de l’«abus psychologique». Représentant de l’association professionnelle EMDR Suisse, le Dr Olivier Piedfort s’alarme quant à lui d’un mésusage de la technique: «L’EMDR ne peut pas forcer les patients dans une orientation sexuelle particulière.»

Un «comble»
L’article de «Gesundheitstipp» est sorti dix jours après le dépôt d’une motion au Parlement fédéral, à l’initiative de la conseillère nationale Rosmarie Quadranti (PBD/LU), visant à interdire pénalement les «thérapies de conversion», comme l’a récemment fait l’Autriche. Voir ces pseudo-traitements remboursés par l’assurance maladie est «un comble», réagit pour sa part Pink Cross: «Nous payons toutes et tous par nos primes des traitements prouvés inefficaces et qui ont des conséquences dramatiques pour les personnes LGBT+ qui y sont confrontés.» L’organisation a lancé une pétition pour appeler le Conseil fédéral à agir.

Source : https://360.ch/suisse/51921-guerir-de-lhomosexualite-en-deux-ans-aux-frais-de-lassurance/

lundi 1 juillet 2019

MADAME !





C’est dingue comme les gens ont tendance à oublier un titre dès que l’atmosphère se détend un peu. 

Le « Madame » ou le « Lady » (même « Maîtresse »!) parait être un effort coûteux. Et je ne parle pas de la majuscule qui semble à chaque fois « éventrer » les braves types qui se sentent forcé de m’écrire.

J’adore les codes du bdsm. Ils sont peut-être un peu surannés. Et ils ne conviennent sans doute pas à la génération « 50shades » mais moi -n’ayant pourtant pas connu les années fastes - j’aime que l’on me vousoie en toutes circonstances. Et je vousoie aussi en retour. Les Amis et les personnes qui m’ont été présentées convenablement exceptés.

J’aime le baise-main pour me saluer. J’aime à savoir que l’on respecte mon statut de Domina. J’adore que l’on me rende visite avec une rose. J’aime les petits détails qui font que ce statut est différent de ce que je pourrais vivre en n’étant pas Domina. Sinon, à quoi bon?

Dans les soirées où je vais souvent j’entends des « Hey Dragonne! » 
Oooookay, je suis abordable mais de là à me balancer ça, il y a un monde. Ça me crispe la moindre. Dans l’intimité, j’accepte le tutoiement et l’absence de particule (et encore mon Peegy me vousoie H24, prenez-en de la graine), je demande simplement un peu de jugeote et de ne pas hurler des «tu» et des « la Dragonne » à tout vent lors de soirées ou autres rencontres formelles. Je peux faire une exception lors de munchs dans un bar vanille. Mais partout ailleurs j’aimerais entendre des « MADAME Dragonne » plus souvent. Et on oublie de me héler comme si nous étions à une foire agricole. 

Capiche?