mardi 12 janvier 2016

Écrit par masolife (octobre 2015)





Que l’attente fut belle et la concrétisation divine (ou le récit d’un impénitent masochiste au paradis)


Depuis le début de l’été, autour d’une discussion électronique à trois, l’idée a germée
de dame Succub et de dame Dragonne de réaliser sur ma personne quelques fantaisies frappées au clavier.

C’est ainsi que je me retrouvai impuissant dans l’antre de ces magnifiques âmes dominantes.
Mais revenons quelque peu dans le passé. Allez, disons deux semaines avant le rendez-vous fixé.

Je me suis préparé mentalement et physiquement à recevoir les bravaches énoncées et les cravaches annoncées et me suis astreint avec discipline à fortifier mes sens et à m’ouvrir à la douleur. Port journalier de bas et dessous fins sous mon complet PKZ gris. Port du plug permanent en particulier lors de sorties sportives (natation et piscine) et électrostimulation au programme pour désensibiliser les zones hétérogènes.

Retour au présent… en fait, retour au passé hélas. Je me trouve dans un cosy local aménagé de ravissants instruments destinés à me tourmenter et deux dominas à portée de fouet.

Dame Succub m’ordonne de monter les escaliers et de me déshabiller. J’enlève mes habits, mets les mains derrière mon dos et fais ressortir mon buste pour mettre en exergue le charmant petit corset porté. Ces dames m’observent... Lady Dragonne me mets aux poignets des attaches en cuir. Dame Succub me recouvre la tête d’une cagoule en spantex et d’un bâillon de type gag-ball. Elle rajoute une couche avec une cagoule de cuir avec lanières. Mes sens s’estompent et tout n’est plus que froide caresse de la nuit. La cagoule est munie d’une attache en son sommet et je sens une tension sur ma tête engrossé. Dame (je me réfèrerai dorénavant ci-après à une Dame générique, ne pouvant plus visualiser qui de Dame Succub ou de Lady Dragonne me « triture ») m’a reliée au plafond par une corde tendue. Je suis maintenu et entravé dans mes mouvements.

Mes têtons subissent de délicieux pincements et je sens Dame dans mon dos. Soudain un coup sec part dans mes parties et je ne peux retenir un gémissement. Gémissement qui sera malheureusement ma marque de fabrique ce soir-là. Les coups se répètent à intervalles réguliers sur mes bourses et mon sexe. Je tente de resserrer mes jambes, mais Dame veille et me les écarte à nouveau. Je sens la douleur parcourir mon corps. Les frappes sont en alternance rapides et la frappe moyenne ou lentes et la frappe forte.

Je n’arrive plus à supporter cela et, ouf, un temps d’arrêt se concrétise. Mais malheur, j’entends mes deux Dames se plier en deux de rire, l’une disant à l’autre « regarde la salope, elle rebande » et rebelote un bruit qui claque et mes parties qui sont à nouveau meurtries.

Après un temps certain où mon bas ventre n’est plus que douleur, Dames me délient et me font mettre sur une table gynécologique. Jambes écartées, mon fondement est rempli par un spéculum. Je ressens avec plaisir son écartement. Des stimuli très agréables parcourent mon corps. Nota bene, j’ai su plus tard que tout ce plaisir m’a été procuré par un Magicwand. Une piqure dans mon intérieur me fis brusquement redescende. Ce fut bref mais sensible. Dame me piqua à trois reprises. La douleur fut décuplée par une session d’électrostimulation, le point de contact étant l’une des trois aiguilles. Dame planta trois aiguilles supplémentaires dans le raphé. Du travail bien exécuté.

J’ai dû me reposer un peu sur la table de gynécologie avec un plug à électro-impulsion connecté aux couilles. Ces dames ont bavardé un brin, revenant de temps à autre pour augmenter le volume électrique.

De retour, Dame commença par introduire dans mon urètre un distandeur, qui s’avéra en réalité être un piment rouge. Le picotement fut léger. Elle se prépara alors à réaliser un de mes phantasmes. L’introduction d’une cigarette allumée, la cendre incandescente devant me brûler le bout de mon pénis. Hélas je rendis les armes et elle dut se résoudre à abandonner pour cette fois l’affaire…

Bravo mesdames et merci humblement pour ces délicieux sévices, dommage que le maso ne fut pas à la hauteur de la fête.

Bises
Masolife










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