Sexorcirsto Lausanne pour passer brillamment la cap de la nouvelle année
Sexorcirsto Lausanne pour passer brillamment la cap de la nouvelle année
Prêt à bien finir l'année?
Texte écrit par cellomis:
Si la momification, le plastique, les jouets en métal ont, depuis longtemps, occupé une très grande place dans mes fantasmes sexuels, que dire de la douleur ?
Je l’ai découverte avec Vous, Maîtresse Lady Dragonne. Pas à pas, en commençant par quelques petites frappes, quelques petites pinces placées délicieusement sur mes points érogènes, Vos doigts si doux et si cruels l’instant suivant, puis des pinces plus fortes, quelques petites aiguilles autour de mon sexe. Puis le niveau augmenta progressivement, plus de pinces, plus fortes, plus d’aiguilles, plus grosses, transformant mon sexe en œuvre d’art. Un piercing, de l’électricité, mes frontières s’élargissent, mes remparts s’écroulent.
Et aussi des postures de plus en plus strictes et inconfortables, couché, assis, debout, crucifié, au poteau. Cellophane, bandage en coton, duct tape, sangles, autant de matières au contact desquelles mon corps se met à frémir de plaisir, trembler d’excitation.
La douleur, je l’apprivoise et je la désire même maintenant. Difficile de verbaliser ces sensations. Du petit picotement d’une aiguille à l’éclair foudroyant d’une pince, de la brûlure de plusieurs aiguilles à la tempête de plusieurs pinces, du frisson d’une caresse sur mon pénis à l’explosion de Vos doigts pinçant mes seins. L’endroit, la durée, l’intensité, la surprise, tous ces facteurs dont Vous seule avez la maîtrise et qui provoquent en moi des vagues, des rafales de sensations, qui m’emportent, me soulèvent, me libèrent, me soulagent et me font du « malbien ».
Maîtresse, Vous avez fait de moi Votre petit cellomis, Votre petit maso et j’en ressens beaucoup d’honneur et de fierté. Je suis si heureux du chemin parcouru et impatient du chemin à découvrir, avec et grâce à Vous.
Merci Maîtresse et vivement notre prochaine rencontre.
Quelle surprise quand b. s'est mis nu devant moi. Il a pris le temps de bien se préparer avant de venir chez moi en se marquant joliment <3
J'ai offert un hafida à cellomis pour nos 1 an d'appartenance.
Un joli petit piercing du scrotum pour qu'il me sente toujours avec lui
Texte écrit par cellomis:
Ça pince ou ça pique ?
Ô Maîtresse Lady Dragonne vénérée, je ne sais pas où commencer tellement notre session d’aujourd’hui m’a marqué, au sens propre et au sens figuré.
Une momification stricte et serrée comme je les rêve, la tête complètement emballée dans un bandage, puis sentir la cellophane se dérouler sur mon torse et mes bras, je retiens mon souffle et je rentre le ventre au maximum pour être bien serré, puis encore la tête entièrement plastifiée avec juste un orifice pour respirer. Puis, une fois couché sur Votre table, les jambes sont emballées elles aussi.
Puis les sangles (j’adore les sangles), mon corps est maintenant complètement immobilisé et ma respiration est restreinte. Déjà je me sens partir en transe, mon corps flottant dans l’espace.
La libération des tétons de leur prison plastique est toujours un moment délicieux. Pincera ? Pincera pas ? Si un peu, mais cela n’est que le présage des attouchements et des pincements que Vous allez leur infliger. Mes seins sont si sensibles qu’un effleurement m’excite déjà. Alors Vos doigts et les pinces … c’est un délice et une douleur si intense qu’elle me transporte à un niveau supérieur de ma transe.
Vous m’avez prévenu que Vous alliez utiliser des aiguilles, cela m’a rendu fébrile. Et quand Vous avez commencé à jouer avec mon sexe et ma bourse, il m’était très difficile de discerner entre des pinces ou des aiguilles, des douleurs fulgurantes, très courtes, d’autres plus profondes et plus longues. J’ai particulièrement aimé les moments où Vous serriez mon sexe entouré de pinces, de plus en plus fort et de plus en plus longtemps. Les douleurs le long de ma verge m’ont déjà presque amené à la jouissance.
Et aussi le moment où Vous m’avez masturbé alors que mon gland était entouré de pinces, cette douleur incroyable mélangée au plaisir du va-et-vient de Votre main sur mon sexe, plusieurs fois je me suis retrouvé au seuil, à l’ultime seuil, de l’orgasme.
Puis, libéré des pinces, par trois fois, Vous m’avez amené au bord du précipice de l’orgasme. Je sentais mon corps vaciller, le premier spasme, puis stop, pas d’explosion. Ces orgasmes ruinés sont délicieux, je sens une sorte de pression monter dans mon ventre, prête à jaillir et à m’exploser les entrailles. Et quand Vous stoppez, c’est comme un tsunami à rebours, je me prends une vague gigantesque qui me retourne de l’intérieur.
Et quand enfin, Vous m’amenez encore une fois au bord de cette falaise et que cette fois, Vous me permettez de jouir, toutes ces vagues refoulées explosent, traversent mon corps et me transforment en un pantin disloqué, secoué et brassé par les spasmes successifs, mon cerveau se déconnecte, un voile blanc couvre mes yeux et il ne reste plus que la sensation des flux brûlants à travers mon sexe. L’extase totale.
Mais cela ne s’est pas arrêté là … Une surprise m’attendait après le déballage et le retour à la réalité. Ô Maîtresse !!! Quel cadeau !!! Et là je me remémore une des douleurs
particulièrement intense et profonde. Un bijou, un joyau, un piercing, un Hafada. Pour moi un symbole de ma soumission, un présent dont je me sens très honoré et dont je suis très fier. Merci Maîtresse pour ce cadeau qui me touche, au sens propre et au sens figuré, et merci pour cette incroyable session qui restera à jamais gravée dans mon corps et ma mémoire.
Votre petit cellomis, reconnaissant et dévoué.
Soirée pendaison de crémaillère chez Bruno où nous avons retrouvé bon nombres d'Amis venus des quatre coins de la France et de la Belgique
« Si elle n’a pas crié, elle était consentante », « Après tout, c’est elle qui est montée dans la chambre », « Malgré ses 11 ans, elle n’avait qu’à résister si elle n’avait pas envie », « Elle portait une tenue provocante ».
Salopes, frigides, vierges chastes ou nymphes séductrices, la sexualité a été, pendant des siècles, l’unité de mesure définissant la valeur des femmes. Vierges, elles étaient contraintes de sauvegarder un hymen protecteur et valorisant. Mariées, elles étaient tenues de consentir au désir de leur époux.
Le devoir conjugal a jalonné leur existence pendant presque deux millénaires. Leurs désirs ont été passés sous silence, leur consentement ignoré, leurs voix n’ont jamais trouvé d’écho : des siècles durant, leurs corps ont appartenu aux hommes.
Ce livre se penche sur l’intimité des femmes et des hommes du passé et tente de redonner une voix à celles qui en ont longtemps été privées dans l’Histoire.
Maëlle Bernard est historienne de la sexualité. Son travail sur le consentement à l’acte sexuel a reçu la mention spéciale du prix de la Société Française d’Études du XVIIIe siècle.
Chaque année, les soirées BDSM réunissent des milliers de personnes à travers l'Hexagone. Pourtant, ce type d'événement reste minoritaire et très stéréotypé selon une étude.
Adeptes. Chaque année à Paris, se tiennent les Nuits Dèmonia, organiséespar la célèbre boutique du même nom, depuis 1993. Si cet événement est immense, il n'est pas tout à fait représentatif en France de l'attrait pour le BDSM. Ces initiales désignent des pratiques sexuelles, à savoir : bondage, discipline, domination, soumission, sado-masochisme. Elles peuvent être découvertes via une communauté, ou chez soi. Pour cela, rien de mieux que de réaliser ses premières expériences avec un(e) conjoint(e) aussi curieux/se et bienveillant(e) que nous.
Une étude rapporte cependant que le BDSM tend à être une pratique encore très genrée en dans l'Hexagone. Réalisée par Dèmonia, la deuxième édition de son étude annuelle, via Elle, rapporte que "68% des adeptes seraient des hommes, et un peu plus de 16% des femmes". À l'opposé, "15,6 % seraient non-binaires,transgenres ou gender-fluid", révèle l'étude, ce dimanche 24 juillet.
Le fétichisme au lit est synonyme de jeux
Les actes sexuels propres au BDSM semblent eux aussi être genrés en France : les jeux "à base de pénétration " (76,7%) étant les plus pratiqués. Ensuite, vient "le recours aux menottes" (78,6%), qui obtient toujours un succès, "la domination et la soumission" (46,9%), plus timide, et enfin les jeux "avec des bougies" (26%) encore peu connus.
On remarque que la pratique du BDSM est multi générationnelle : elle est adoptée par "17,6 % des 25-35 ans, 19,6 % des 35-44 ans, 25,4 % des 45-54, et 22,6 % des 55-64 ans", liste Elle. Dèmonia rapporte notamment que le fétichisme est pratiqué dans "six cas sur dix chez les couples", et chez "61,4 % des Français·es". Pour une raison spécifique ? "Se sentir soi-même" et "réaliser des fantasmes", ont répondu cette majorité de sujets.
Source: https://www.neonmag.fr/le-bdsm-une-pratique-encore-tres-genree-en-france-selon-une-etude-559144.html
En latex dans les rue à Münich pour aller à ZE soirée de l'année!
Après deux ans sans FetishParty!
On se réjouissait tellement d'y retourner!
«Si elle n'a pas crié, elle était consentante», «Après tout, c'est elle qui est montée dans la chambre», «Malgré ses 11 ans, elle n'avait qu'à résister si elle n'avait pas envie», «Elle portait une tenue provocante».
Salopes, frigides, vierges chastes ou nymphes séductrices, la sexualité a été, pendant des siècles, l'unité de mesure définissant la valeur des femmes. Vierges, elles étaient contraintes de sauvegarder un hymen protecteur et valorisant. Mariées, elles étaient tenues de consentir au désir de leur époux.
Le devoir conjugal a jalonné l'existence des femmes pendant presque deux millénaires. Leurs désirs ont été passés sous silence, leur consentement ignoré, leurs voix n'ont jamais trouvé d'écho: des siècles durant, leurs corps ont appartenu aux hommes.
Histoire du consentement – Du silence des siècles à l'âge de la rupture, de Maëlle Bernard, publié chez Arkhê le 1er octobre 2021, se penche sur l'intimité des femmes et des hommes du passé et tente de redonner une voix à celles qui en ont longtemps été privées dans l'histoire. Nous en publions ici un extrait.
L'érotisation de la résistance féminine
La résistance féminine a une signification ambiguë dans l'imaginaire du siècle des Lumières. Accompagnée de cris elle est la preuve de l'absence de consentement, mais, plus discrète, elle est un jeu érotique qui fait partie de la séduction au féminin. Les dictionnaires de l'époque la conçoivent comme une «action par laquelle on se défend, on résiste à une puissance qui attaque [mais cela] se dit aussi des refus d'une maîtresse».
Attitude féminine par excellence, la littérature libertine l'impose comme un topos littéraire. Sous la plume de Crébillon, grand représentant de ce courant, la résistance devient une stratégie de séduction que les femmes manient à la perfection. Le séducteur doit alors passer outre ces réticences feintes, imposer l'acte sexuel, ou craindre que sa partenaire s'offense de sa retenue, qui signifierait une absence de désir. Le docteur Mahon, qui enseigne la médecine légale à l'École de médecine de Paris dans le courant du XIXe siècle, abonde dans le même sens: la relation sexuelle ne peut être imaginée et réalisée sans une résistance féminine dont l'amant doit triompher. C'est ce qu'il appelle les combats de l'amour. Certains vont même plus loin en affirmant que les femmes apprécient quand leurs amants font preuve de violence. Pierre de Bourdeille, un militaire et écrivain français mieux connu sous le nom de Brantôme, affirme déjà, au XVIe siècle, que ces dernières «ayment les hommes de guerre toujours plus que les autres, et leur violence leur en fait venir plus d'appétit».
Résister serait donc typiquement féminin. À l'homme d'attaquer, à la femme de succomber. Dans Les Amours du chevalier de Faublas, l'un des derniers romans libertins français, Jean-Baptiste Louvet de Couvray joue sur les genres et fait passer ses personnages d'homme à femme sans retenue. Le protagoniste, le fils du baron de Faublas, se travestit à maintes reprises, sous le nom de Mlle du Portail. Lors de ses aventures avec des femmes qui se prêtent au même jeu que lui, les rôles genrés sont maintenus. Le chevalier devenu femme résiste alors que son amante, la marquise de B***, devenue homme –elle se fait appeler le vicomte de Florville– fait preuve d'insistance.
Jacques-Louis Ménétra viole les femmes et se complaît dans l'idée que celles-ci y prennent du plaisir, malgré la résistance qu'elles lui opposent.
La violence en tant qu'ingrédient du jeu érotique amène la société du XVIIIe à siècle à voir dans la résistance une attitude feinte, utilisée pour attiser l'ardeur des hommes et valoriser leur force. Les protestations des femmes ne seraient qu'un moyen d'exciter l'esprit combatif de leur partenaire. Pour Jean-Jacques Rousseau, célèbre philosophe des Lumières, la résistance feinte des femmes ferait naître le désir masculin et serait donc liée à la perpétuation de l'espèce. Cette «comédie de la résistance» irrigue l'imaginaire collectif.
Jacques-Louis Ménétra, compagnon vitrier, viole les femmes et se complaît dans l'idée que celles-ci y prennent du plaisir, malgré la résistance qu'elles lui opposent. Sur le chemin d'Angers, une des destinations de son Tour de France et alors qu'il voyage paisiblement avec un Rennais, il rencontre un petit berger et une jeune bergère «en action». Lorsque ce dernier les voit, lui et son compagnon, il s'enfuit et laisse sa partenaire à leur merci. Alors que le Rennais décide de poursuivre le jeune berger, Ménétra choisit de s'amuser avec la fille «moitié bonne volonté, le reste de force».
Ce topos littéraire se retrouve également dans l'iconographie. Michel Garnier peint, en 1793, une toile intitulée La Douce résistance. Dans un intérieur luxueux, un homme est assis sur un divan bleu roi et retient de sa main droite la robe rose poudrée d'une jeune femme au-dessus de lui. Cette dernière repousse le galant de sa main gauche tandis que sa main droite tire une corde, dans le but d'appeler ses domestiques au secours. Alors que les gestes féminins semblent décidés, le galant retient fermement celle qu'il convoite, sentant certainement que s'il relâche son étreinte, il la perdra.
Déjà présente à l'époque médiévale dans les discours des chevaliers arthuriens assurés que les femmes recherchent le viol, l'érotisation de la résistance féminine est également sous-entendue dans le crime de rapt, au XVIe et au XVIIesiècle. Si la jeune fille est ravie (enlevée) c'est parce qu'elle ravit son ravisseur, c'est-à-dire qu'elle provoque joie, admiration ou étonnement –volontairement ou non, en raison de sa nature. De même, si le rapt ravit (enchante) le ravisseur il peut également enchanter la victime en question: le glissement sémantique entre le fait d'être ravie (enlevée) et ravie (enchantée) permet donc de faire croire que toute jeune fille serait ravie d'être ravie.
La constante remise en cause de la résistance féminine
Parce qu'elle est érotisée et donc considérée comme feinte, la résistance féminine est perpétuellement remise en cause. Si l'érotisation ne suffisait pas, d'autres arguments sont avancés par les hommes pour nier encore l'absence de consentement des femmes: les femmes seraient avides de relations sexuelles et alors qu'elles disent «non», elles pensent en réalité «oui». Cette avidité sexuelle trouve –entre autres– ses racines dans les théories médicales.
La théorie des humeurs est toujours en vigueur au début de l'Ancien Régime; celle-ci, basée en partie sur les écrits antiques de Galien et d'Aristote, décrit la femme comme un être froid et humide, qui serait l'équivalent inférieur de l'homme, chaud et sec. En raison de la froideur de leur organisme, les femmes n'auraient pas réussi à pousser leurs parties génitales en dehors de leur corps –comme y sont parvenus les hommes grâce à leur chaleur– ce qui explique qu'elles ont un sexe similaire à ces derniers, mais en dedans.
C'est à la fin du XVIIe siècle et au début du XVIIIe qu'un changement de paradigme s'opère. L'enseignement des Anciens est bouleversé par la valorisation de l'observation et de l'expérimentation. La dissection et le microscope font désormais fureur dans le corps médical, permettant de nombreuses avancées en anatomie, les ovaires sont découverts en 1660, les spermatozoïdes en 1677. L'anatomie féminine est peu à peu mieux comprise même si le corps féminin devient aux yeux des médecins «l'empire de l'utérus». Ce dernier commanderait tous les organes –le cerveau, l'estomac, les seins, le teint ou les lèvres. Quand celui-ci se trouve en état de manque de rapports sexuels, il se déplace dans le corps et peut causer des dommages irréversibles, notamment en se fixant sur d'autres organes.
Les hommes au XVIIIe siècle ont du mal à concevoir les raisons pour lesquelles une femme refuserait leurs avances.
Ambroise Paré, célèbre chirurgien et anatomiste français valorise, dès le XVIesiècle, le rôle de l'utérus, qu'il appelle «matrice». Il décrit cet organe vivace et gourmand dans son Livre de la Génération: «Or, pour le dire en un mot, la matrice a ses sentiments propres, hors de la volonté de la femme; de maniere qu'on la dit estre un animal, à cause qu'elle se dilate et accourcit plus ou moins, selon la diversité des causes. Et quand elle desire, elle fretille et se meut, faisant perdre patience et toute raison à la pauvre femmelette, luy causant un grand tintamarre.»
Cette domination de l'utérus fait donc des femmes des êtres lascifs, mus par la lubricité et qui ont besoin de relations sexuelles pour survivre. Les hommes au XVIIIe siècle ont ainsi du mal à concevoir les raisons pour lesquelles une femme refuserait leurs avances. Peu d'auteurs parviennent à décrire simplement l'absence de consentement de leur partenaire sans y chercher d'autres raisons qu'une simple absence de désir.
Le plus souvent, les hommes voient dans le refus féminin une volonté de sauvegarder une quelconque vertu. Le chevalier de Faublas –que nous avions laissé en compagnie de la marquise de B***– interprète ainsi les refus de Sophie, son grand amour durant tout le roman. Lors de leur rencontre, la jeune fille a 14 ans et lui 15; alors que celui-ci tente de la séduire avec acharnement, elle refuse ses avances sans faillir. Le chevalier interprète ces refus comme les fruits d'une vertu qu'elle souhaite sauvegarder et dont il doit triompher s'il souhaite parvenir à ses fins…
Source : https://www.slate.fr/story/219933/bonnes-feuilles-histoire-du-consentement-maelle-bernard-arkhe-resistance-feminine-acte-sexuel-violence-erotisation-jeu-seduction
Une belle épreuve passée avec brio pour mon petit cellomis
Si fière de lui
Texte écrit par cellomis
Pique atout !
J’en rêvais, j’en fantasmais, j’en paniquais depuis des années, depuis avoir vu des dizaines de photos et de vidéos. Des images de toute beauté, parfois sanglantes, mais toujours excitantes et que je regarde encore et encore. Imaginer la douleur que cela pourrait provoquer, les traces que cela pourrait laisser, le temps nécessaire à cicatriser. Imaginer l’entrée dans la peau, la traversée de la chair et la sortie à l’autre extrémité.
Les imaginer dans des jeux plutôt que dans des traitements. Les vaccins, les prises de sang, les perfusions, les ponctions, en intra-musculaire, en sous-cutané, intra-osseuse. Et que dire des tatouages, en simple, en brosse, en peigne, à trois, à cinq, à sept.
Vous voyez de quoi je parle ?
Aujourd’hui, Maîtresse Lady Dragonne m’a honoré de ses aiguilles.
Le scrotum cinq fois épinglé et écartelé sur une planche de liège, comme un papillon sur la planche d’un entomologiste. Les tétons deux fois traversés d’aiguilles alignées. Et le prépuce percé de part en part par deux aiguilles disposées face à face, verrouillant ainsi toute possibilité de bander sans douleur.
Puis les jeux, tirer, pousser, tourner, appuyer, étirer, enfoncer. Les aiguilles, une fois plantées, se laissent manipuler à volonté. Onze aiguilles, onze façons de me faire souffrir et de me donner du plaisir. Douze en fait… car la roulette de Wartenberg ça compte aussi, ses passages entre les aiguilles, provoquant des réflexes nerveux sur les parties déjà transpercées.
Vos gestes, Maîtresse, m’ont tellement excité, votre regard m’a rendu fier et vos paroles ont, aujourd’hui, fait de moi le plus heureux des masos. Merci.
Votre petit Cellomis.
Quand ton Peegy ne sait pas faire une jolie photo ;)
- à la Dark Fetish Industry - en full latex (évidemment)
Votre douleur de 1 à 10 ? … 50 !!!
Aujourd’hui, ma rencontre avec Maîtresse Lady Dragonne m’a permis de découvrir un nouveau seuil de douleur. Je fais le malin parce que j’ai goûté aux pinces, aux aiguilles et que, bien évidemment, j’en veux toujours plus. Mais aujourd’hui, pour la 1ère fois, j’ai demandé grâce.
D’abord mes testicules entièrement pincés, une douleur si intense que j’en crie, un spasme fulgurant m’envahit le ventre et me retourne l’estomac. La fuite est impossible car mon sexe et mes couilles sont coincés dans un pilori, je suis complètement emballé dans la cellophane et mes bras attachés au plafond. Mon esprit s’embrouille et ma respiration s’emballe. Les yeux fermés, je suis aveuglé par un flash de lumière sous mes paupières. Je crois perdre conscience et je supplie pour que cela s’arrête. Mais c’est sans compter la dizaine d’autres pinces déjà posées autour de mon pénis et de mon scrotum, que j’ai supporté jusque-là et qu’il faudra bien retirer, à un moment ou un autre.
Plus tard, de ses doigts experts, Maîtresse me pince et me tord les tétons, si fort que je crois qu’ils sont arrachés et que je me vide de mon sang. Je crie, je vais m’évanouir, la douleur vive met plusieurs secondes à s’estomper, interminables. Ils me font encore mal maintenant, le frottement du t-shirt sur la pointe de mes seins est douloureux, et je crois que j’en ai pour plusieurs jours cette fois.
Ces voyages dans la douleur sont des expériences incroyables, que je ne pourrais vivre sans Vous, Maîtresse. Vous, vos gestes, votre maîtrise, votre plaisir et votre regard dans lequel j’ai adoré me perdre, me fondre. Tout cela fait de moi le soumis le plus heureux et le plus fier. Les mots me manquent pour Vous exprimer ma reconnaissance. Un merci me semble presque insuffisant mais je n’en trouve pas d’autre …
Merci Maîtresse.
Voila un souhait qui était terré en lui depuis plus de 60 ans!
Un souhait qui voulait qu'il soit sévèrement frappé à la canne anglaise.
Sans préparation, sans échauffement, brutalement, à froid.
Une cinquantaine de coups de canne violemment donnés.
Sans retour en arrière possible.
Sans stop.
Sans possibilité d'échapper à la sentence.
Souffrant de problèmes d'érection, un homme s'est injecté de la mousse isolante dans le pénis
Il s'est rendu aux urgences trois semaines plus tard, alors qu'il urinait du sang.
Un homme qui rencontrait des problèmes d'érection s'est injecté de la mousse isolante dans le pénis –de manière accidentelle, selon ses dires. Les médecins qui l'ont pris en charge ont relaté son histoire dans un article publié dans la revue Urology Case Reports. Il détaille comment cet Américain de 45 ans a tenté de soigner son dysfonctionnement érectile en insérant divers objets dans son urètre.
Le patient a confié aux médecins avoir «inséré une longue paille dans son urètre» qui était attachée à une bombe de mousse isolante, avant que son partenaire n'appuie par inadvertance sur le bouton pour déployer le produit. La mousse isolante obstruait presque entièrement l'urètre et remplissait la vessie. L'homme s'est rendu aux urgences trois semaines plus tard, alors qu'il urinait du sang (hématurie) et ressentait d'importantes douleurs ainsi que des difficultés mictionnelles.
«Après avoir donné son consentement éclairé, le patient a été emmené au bloc opératoire pour le retrait du corps étranger», rapportent les scientifiques. L'homme a subi cinq opérations différentes. Pour retirer la mousse ancrée dans son urètre, les médecins ont pratiqué une urétrostomie périnéale, une procédure qui implique de couper une zone comprise entre l'anus et le pénis. L'opération s'est bien déroulée, mais les médecins restent vigilants.
De la maladie mentale à la gratification sexuelle
«Les corps étrangers sont insérés dans le tractus génito-urinaire pour diverses raisons et peuvent présenter un défi pour les retirer», notent les scientifiques dans leur article. Il peut s'agir d'objets ménagers courants comme des pailles, des cotons-tiges ou des piles, mais parfois des clous ou des fils de câble électrique peuvent aussi être retrouvés. «Ces objets peuvent alors migrer et devenir irrécupérables sans intervention médicale», ajoutent-ils.
Les diverses raisons qui poussent les individus à s'insérer des objets dans l'urètre sont les suivants: la maladie mentale, le trouble de la personnalité limite, la gratification sexuelle ou encore l'obtention d'une libération provisoire de prison pour consulter un médecin. «Malheureusement, de nombreux patients sont des récidivistes et, par conséquent, une évaluation psychiatrique pour prévenir les blessures récurrentes doit être envisagée», expliquent les médecins dans leur article.
Dans le cas qui les concerne, l'homme de 45 ans n'a pas récidivé et n'est donc pas suivi en psychiatrie. En revanche, s'il souhaite faire des opérations de reconstruction de son pénis, il lui faudra préalablement consulter un psychiatre.
Source: https://www.slate.fr/story/222461/homme-penis-injecter-mousse-isolante-problemes-erection
Bon ok, je ne suis pas une encordeuse née.. Oui je sais les shibaristes doivent se retourner sur leur tatamis. Mais vous savez quoi? je m'en bats l'oeil, parce que moi ce que je veux c'est attacher pour plus que ça gigote. Un point c'est tout. 😅
Du bondage Dragonneste en somme. Ça fait le job et c'est tout ce que je veux.
Proférer des injures améliore la tolérance à la douleur selon la science
OUI MAIS PAS DANS MON DONJON!!!
Rogntudju ! comme dirait Prunelle lorsqu'il se prend une balle de bowling sur le pied, suite à une gaffe de Gaston. Dans ce genre de situation, le premier réflexe est bien souvent de laisser échapper un gros mot. Et pour cause : cela nous ferait du bien !
Des chercheurs de l’Université de Keele ont demandé à 92 personnes de plonger leur main dans de l’eau glacée, tout en répétant soit le mot « fuck » (l’équivalent de « putain » en français), soit un mot neutre pour décrire une table (comme « solide »), ou bien deux mots inventés, aux sonorités amusantes et distrayantes, conçus pour ressembler à des jurons : « fouch » et « twizpipe ».
Et les scientifiques ont mesuré l’effet de ces quatre mots sur leur perception de la douleur et sur le temps que les participants étaient capables de tenir avec leur main ainsi immergée. Résultat : la répétition de « fuck » a bel et bien favorisé la tolérance à la douleur de 33% et augmenté le seuil de douleur de 32%, comparé aux trois autres mots qui n’ont produit aucun effet significatif.
Les jurons, des souvenirs chargés en émotion
« Nous ne comprenons pas encore très bien d’où provient ce pouvoir analgésique des gros mots. Cela ne semble pas être causé par un effet de distraction ni d’amusement, mais par l’excitation émotionnelle qu’ils suscitent «analysent Richard Stephens et Olly Robertson, les auteurs de l’étude.
Tests à l’appui, des psychologues avaient déjà montré il y a quelques années que les jurons avaient aussi un effet galvanisant : en proférer avant un exerce physique permet de produire un effort plus important – sans pour autant que les paramètres physiologiques comme le pouls soient touchés.
« L’effet des jurons est probablement lié à l’enfance, au contexte dans lequel nous les avons appris, aux expériences qui y sont associées, comme les punitions que l’on a pu recevoir pour ne plus les utiliser, qui ont pu contribuer à rendre ces mots si chargés en émotion « poursuivent les psychologues, qui y voient là une piste à creuser lors de futures recherches. D’ici là, vous savez ce qu’il vous reste à dire si vous avez mal…
Source : « Frontiers in Psychology« , avril 2020
Source de l’article : https://www.science-et-vie.com/corps-et-sante/proferer-des-injures-ameliore-la-tolerance-a-la-douleur-selon-la-science-4880.html
Ha bah il faut bien commencer l'année d'une manière ou d'une autre n'est-ce pas?
J'ai choisi de le faire à l'envers (humour pourri, va!)
Rien de tel qu'un bon bain pour se relaxer... à défaut de trouver un bon soumis fétichiste des pieds pour pouvoir me masser longuement!