mardi 29 octobre 2019

Pince à castrer / Elastrator



Vous connaissez cette pince? 
Avec des petits anneaux en caoutchouc de moins d’un centimètre de diamètre?



Et bien quand on essaye ça sur un homme, c’est vachement rigolo!



Merci à m pour son courage, car la douleur a vraiment été forte.
J’ai adoré! 







lundi 28 octobre 2019

Joie



Qui c’est qui va se régaler avec tout ça? 
Et c’est qui qui va se retrouver avec une paire de couilles gigantesque? 
Hein? Hein? 








vendredi 25 octobre 2019

Jelq



Méthode Jelqing : tirer sur son pénis pour l'agrandir est dangereux et inefficace

Les médecins sexologues alertent sur la méthode du Jelqing, qui consiste à tirer sur son pénis pour l'agrandir. La pratique ne fonctionne pas et peut s'avérer dangereuse pour le sexe masculin.

Les réseaux sociaux peuvent être de très mauvais conseil en matière de sexologie. Après les intox qui invitaient les femmes à s'insérer de l'ail ou du persil dans le vagin en guise d'antibactérien (une pratique dangereuse qui alarmait les gynécologues), les sexologues alertent désormais sur le Jelqing. Cette méthode qui permettrait prétendument d'agrandir le pénis, consiste à tirer dessus lorsqu'il est à moitié en érection. En plus d'être inutile, elle peut causer des complications graves.

"Il existe plusieurs techniques de Jelqing mais en général, l'homme s'y adonne lorsque le pénis est presque en érection complète. Il forme un rond à l'aide de son pouce et de son index et l'entour à la base du pénis. Il remonte alors ce rond jusqu'à la pointe du sexe, en utilisant la pression pour étirer le pénis. Cette procédure est répétée de nombreuses fois. Certains hommes pratiquent le jelq jusqu'à 20 minutes", explique sur son site l'International society for sexual medicine (ISSM).

"Certains hommes pratiquent le jelq pour augmenter leur taille de pénis. Mais les experts expliquent que cette pratique ne fonctionne pas et peut même être dangereuse", explique l'association de médecins dans un tweet.

Une possible maladie de Lapeyronie



Le jelqing consiste à créer des micro lésions sur la verge pour prétendument en augmenter la taille.

Ces gestes répétés auraient deux bénéfices. Le premier, d'aspirer mécaniquement du sang dans l'organe, et le deuxième, de faire grandir le pénis grâce à des micro-traumatismes. "En réalité, le sang qui entre dans le sexe est veineux et non artériel. Il n'est donc pas oxygéné et n'a aucun intérêt. Et tirer sur le pénis ne permet pas de le faire grandir. Les hommes pensent qu'ils peuvent atteindre les même résultats qu'un lobe d'oreille qui s'agrandit à cause d'un bijou ou que certaines femmes en Afrique qui agrandissent leur cou, mais c'est faux", explique le docteur Gilbert Bou Jaoudé, médecin sexologue et coordinateur scientifique Charles, dédiée aux problèmes d'érection. 

En réalité, les micro-traumatismes créés par mouvements répétés entraînent des lésions sur les parois des corps caverneux (les cavités qui se remplissent de sang pendant l'érection, nldr). Lorsqu'elles cicatrisent mal, elles forment de la fibrose, une augmentation anormale du tissu dans un organe. "Du coup, le sexe perd en élasticité et une courbure peut se créer. Dans le pire des cas, cela peut même déclencher une maladie de Lapeyronie. Le sexe est complètement dévié", rapporte le Dr Bou Jaoudé. Il arrive que la courbure est si importante qu'il devient compliqué voire impossible d'avoir des relations sexuelles. Parfois, la courbure empêche aussi le sang de circuler et rend impuissant.

Mesurer correctement la verge

Cette technique, qui ne nécessite aucun équipement, peut sembler plus inoffensive que d'autres. Pourtant elle est, au mieux, totalement inutile, voire très dangereuse. Le spécialiste insiste, "s'il existait une technique efficace pour augmenter la taille du sexe des hommes, elle serait connue." Bien souvent, la crainte d'avoir un sexe trop petit n'est pas justifiée chez les hommes. "Il est courant pour les hommes d'être préoccupés par la taille de leur pénis. Beaucoup d'entre eux estiment que la taille de leur pénis représente leur masculinité et leur virilité", rappelle l'ISSM. Dans de nombreux cas, les hommes qui pensent que leur sexe est trop petit ont un sexe de taille tout à fait normale, assurent les spécialistes. "Pour le mesurer correctement, il faut utiliser un ruban qui suivra bien la courbure de la verge. Et commencer à l'os du pubis. La taille moyenne en érection est de 13 centimètres", explique le Dr Bou Jaoudé, qui indique aussi que la graisse au niveau du ventre peut faire paraître le sexe plus petit. "La graisse ventrale transforme également la testostérone en oestrogène. Cette variation hormonale peut amener le pénis à se rétracter." 

Dans le doute, le mieux reste de consulter un médecin sexologue. Lui seul pourra déterminer s'il s'agit d'un micropénis ou non.






dimanche 20 octobre 2019

Depuis quand la vulve est-elle obscène?



Depuis quand la vulve est-elle obscène?


Si les représentations du sexe féminin choquent alors que tout le monde est habitué à voir des pénis partout, c'est à cause des Grecs et des Romains.

 
Perçue comme une source de bonheur et de régénération dans l'Égypte antique, la vulve a ensuite été cachée, dépréciée, jugée inutile. | Jan Kleinert


Une publicité pour des produits d'hygiène intime évoquant la vulve –et les règles– de façon réaliste et sans tabou fait actuellement polémique en France, alors que les symboles phalliques, culturellement, ne provoquent pas la même réprobation. Pourquoi cette différence de traitement?




Pour voir la pub, suivez les liens ci-dessous:





Que ce soit dans l'art ou dans la publicité, les images de sexes masculins ne choquent guère. Nous y sommes habitué·es. Des statues viriles exposent leurs pénis (assez réalistes) dans nos parcs depuis des siècles, tandis que Perrier fait régulièrement la promotion de ses bouteilles aux formes phalliques.
Au contraire, les symboles vulvaires brillent plutôt par leur absence. Il n'est donc pas étonnant que la campagne de publicité «Viva la vulva» de la marque Nana fasse polémique.
Le phallus est vu comme une image de puissance, tandis que la vulve dérange. Il n'en a pourtant pas toujours été ainsi.

Symbole de fertilité

Au IIIe millénaire avant J.-C., les Sumériens, peuple de l'Irak actuel, adoraient une déesse nommée Ishtar. Des textes poétiques évoquent la vulve mouillée de la déesse, fertilisée par le sperme de son amant, le berger et roi Dumuzi, dont elle était l'épouse divine.
Voici ce que la déesse dit à son amant:
«Quant à moi, à ma vulve, à moi, tertre rebondi,
Moi, Jouvencelle, qui me labourera?
Ma vulve, ce terrain humide que je suis,
Moi, Reine, qui y mettra ses bœufs?»

Les bœufs précédant la charrue désignent le phallus du roi, tandis que la vulve représente le territoire à semer. L'amant royal répond: «C'est le Roi Dumuzi qui te labourera.» Alors l'excitation de la déesse est à son comble. Elle s'écrie: «Laboure-moi donc la vulve, ô homme de mon cœur!» Ils font l'amour et quand Dumuzi éjacule, partout des plantes naissent et se mettent à pousser.
La vulve joue ici un rôle positif, complémentaire du phallus. Elle est tout autant indispensable que le pénis pour fertiliser le pays.

Dans l'Égypte antique, la vulve était vue comme une source de bonheur et de régénération.
Le dieu du Soleil, Rê, donne parfois quelques signes de faiblesse; ce qui met en danger l'humanité tout entière, car le Soleil est la lumière du monde. Heureusement, la séduisante déesse Hathor se déshabille devant lui, dévoilant sa vulve. Alors le Soleil éclate de rire et retrouve tout son rayonnement grâce à la déesse. Encore une vulve bénéfique.

Effacée en Grèce et à Rome

C'est en Grèce puis dans le monde romain que la vulve commence à être méprisée. Alors que le phallus est très représenté dans l'art, la vulve en est quasiment absente.
Les dieux et les héros nus exhibent leurs pénis, alors que les déesses sont moins souvent dévêtues. Quand elles le sont, comme Aphrodite, leurs triangles pubiens sont parfaitement lisses, sans lèvres ni clitoris. Des vulves effacées, censurées.
Le phallos en grec ou fascinus en latin avait, au contraire, une valeur extrêmement positive. On lui accordait même des pouvoirs magiques. C'est pourquoi on l'exhibait et on le vénérait comme une idole, capable de protéger la cité et sa population contre tous les maux, chassant les intrus et les voleurs.
Dans ce but, chaque année, Athènes organisait des phallophories, c'est-à-dire des processions solennelles de citoyen·nes qui portaient sur leurs dos des phallus géants taillés dans des troncs de bois. Des sexes en érection, sculptés ou moulés en terre cuite, étaient aussi érigés aux angles des rues, à l'entrée des boutiques et des maisons.
«Ici habite le bonheur» («Hic habitat felicitas»), proclame une inscription encadrant la représentation d'un fascinus, retrouvée dans une boulangerie de Pompéi.
L'épouvantail phallique était censé revêtir une fonction apotropaïque. Grecs et Romains portaient également des sexes masculins de bronze en pendentif. Sous toutes ces formes, le phallus était toujours synonyme de force, de bonheur et de prospérité.

Confinée à l'univers féminin

Dans l'art grec, la vulve n'est représentée que sur quelques objets destinés à des femmes, dont elle était supposée favoriser la fécondité. Certaines statuettes retrouvées en Égypte représentent des femmes enceintes accroupies touchant leurs vulves.
On connaît aussi quelques statuettes de femmes-vulves, découvertes en Asie Mineure, sans doute utilisées comme des amulettes pour protéger les femmes enceintes. Elles n'ont pas de tête; leur visage est inscrit sur leur ventre.
Le psychanalyste et anthropologue Georges Devereux a mis ces œuvres en relation avec le mythe de Baubo, une prêtresse qui, dans la mythologie, montre sa vulve à la déesse Déméter, désespérée d'avoir perdu sa fille.
Le geste de Baubo fait rire Déméter, comme dans le mythe égyptien mettant en scène Hathor, sauf que pour Baubo, le dévoilement de la vulve n'est qu'un geste de solidarité entre femmes, dénué de toute dimension érotique.
En dehors de cet univers féminin, la vulve est dépréciée. C'est ce que révèle le mythe de la naissance de la déesse Athéna. Zeus, le père d'Athéna, porte sa fille dans sa tête. Pour accoucher, il demande au dieu Héphaïstos, armé d'un ciseau et d'un marteau, de lui fendre le crâne, taillant une sorte de vulve improvisée. De cette fente jaillit soudain la déesse tout armée.
Le maître des dieux est parvenu à faire naître sa fille, preuve que la vulve des femmes n'est pas utile. Le mythe traduit un rêve de paternité solitaire: procréer sans passer par une vulve.

Convention sociale

Mais le comble de la vision négative de la vulve dans l'Antiquité se trouve dans les écrits latins. Les auteurs romains ont imaginé des figures de nymphomanes, présentées comme des femmes entièrement dominées par leurs organes sexuels déréglés.
Ainsi l'impératrice Messaline, épouse de l'empereur Claude (41-54 après J.-C.) est-elle devenue après sa mort l'héroïne d'une légende noire, la présentant comme un puits sans fond.
C'est le poète Juvénal qui créa cette figure orgiaque. À la faveur de la nuit, écrit-il, la jeune impératrice délaissait les ors du palais. Elle sortait en cachette, afin d'aller assouvir son puissant appétit de sexe dans un infâme bordel de Rome (Juvénal, Satires, VI, 116-130).
Durant toute la nuit, Messaline s'offrait à une foule de clients, jusqu'à la fermeture du lupanar. Alors seulement elle rentrait au palais, «brûlante encore de la tension de sa vulve raide» («adhuc ardens rigidae tentigine vulvae»). Elle était épuisée, «mais toujours pas repue» («sed non satiata», la fameuse expression qui, plus tard, inspirera Baudelaire dans le poème du même nom).
Jamais satisfaite, car nulle étreinte ne peut apaiser sa vulve, Messaline entraîne son entourage dans les vertiges de sa libido sans fin. Selon Pline l'Ancien, elle faisait l'amour vingt-cinq fois par jour (Pline l'Ancien, Histoire naturelle, 10, 83, 172).
L'impératrice consomme ses amants à la chaîne. Mais surtout, c'est elle qui prend l'initiative de toutes ses relations sexuelles: elle bouleverse les codes de la société phallocratique romaine. Prédatrice sexuelle hyperactive et femme dominante, elle se comporte un peu comme un homme, ce qui est proprement scandaleux du point de vue des Romains.
Heureusement, son époux Claude, alerté de ces débordements inadmissibles, finira par faire taire cette vulve obscène, en commanditant l'assassinat de son épouse.
L'obscénité n'existe pas en elle-même. C'est une convention sociale, qui varie selon les époques et les lieux. Ainsi, au Japon, les images de vulves sont toujours considérées comme obscènes d'un point de vue juridique, comme en témoigne la condamnation de l'artiste Megumi Igarashi en 2014.

Sous l'influence de mouvements féministes, la vulve est néanmoins de retour dans l'art de notre XXIe siècle. La publicité «Viva la vulva» s'inscrit dans cette évolution, en faisant la promotion d'images vulvaires à des fins commerciales.


Christian-Georges Schwentzel







samedi 19 octobre 2019

Un petit cadeau ...


... qui fait trop plaisir. 


Merci zora



vendredi 18 octobre 2019

Un peu de moi



Qui pourrait croire que je suis si sadique? 




jeudi 10 octobre 2019

Castration


Castration

Après avoir soigneusement choisi l'emplacement de l'ouverture et la signaler par une croix, faire en sorte que le soumis soit le plus possible à son aise, puis masquer la partie anatomique en question par un rideau. Car souvent, la vue du sang peut faire tourner de l'œil aux plus courageux. Surtout quand on s’attaque à leur anatomie plus sensible.

Découper délicatement la peau à l’endroit précédemment sélectionné. Trouver les canaux à sectionner et les clamper. Puis, couper !
Récupérer les noix.

Prendre soin de bien refermer la plaie à l’aide de fil de suture ou d’agrafes.

Bien désinfecter.









Récit de m :

Lady Dragonne est une dominatrice très sympa.
Son matériel, c’est du sérieux est très solide.
Pendant des moments très délicats, le cérémonial est de mise.
Le « tu » es proscrit ainsi que les gros mots, deux pincettes pour me convaincre
que ma situation pouvait devenir d’une exquise délicatesse.
Elle s’inquiète toujours de mon ressenti pour aller plus loin.
Sa presse bite vaut le détour, elle pourrait organiser une castration totale .
La fantasy castration est très réussi
la chaise d’opération en métal blanc, les pinces, l’ajout de la lame sur le scalpel est un moment très convainquant « ça coupe mieux qu’une lame de rasoir »
j’étais pas tranquille de voir ce scalpel c’était flippant
la recharge du pistolet agrafeuse « exécuter en un tour de main est tout aussi flippant »
J’ai failli craquer…et tout arrêter.
Le style de la salle d’opération obsolète de troisième zone pour des opérations inavouable est très réussi.
Pendant l’opération même, j’avais  beau me dire que c’était du toc, je n’étais pas tranquille.

Le déni d’orgasme est une vraie torture entre ses mains, un délice à grimpé au rideau plus de 100 fois voir +. ma vie tournait au tour de cet orgasme qui ne venait juste pas, j’y étais à 99% il manquait juste un tout petit mouvement de la main voir deux, mais pas plus est c’était bon….
Une vraie virtuose attentive qui aime jouer avec ce jeu explosif, qui me regardait avec se sourire et ses yeux qui me disait chaque fois« juste pas arrivé »
la délivrance finale fut un vrai délice.






mercredi 9 octobre 2019

Déni d'orgasme



Déni d’orgasme



Le Déni d'orgasme, ou privation d'orgasme, fréquemment nommé Tease and denial (T&D), est dans le champ des pratiques BDSM, une expression utilisée pour toute technique de stimulation sexuelle d'un individu (généralement masculin) pour provoquer un intense désir, mais sans aller jusqu'à l'orgasme. Le T&D est généralement pratiqué pour provoquer du plaisir auprès de la personne ainsi stimulée, en l'amenant une (ou plusieurs) fois à la limite de l'orgasme, sans aller jusqu'à son accomplissement ; il en résulte un sentiment puissant de frustration sexuelle, et une excitation supplémentaire d'une durée variable.

Pratique

Amener quelqu'un à la limite est appelée edging. Cette pratique, en complément à l'excitation sexuelle prolongée, provoque habituellement des sécrétions de liquide séminal, qui peut être utilisé comme lubrifiant durant cette pratique. C'est un signe concret des effets des « taquineries » (teasing) sexuelles provoquées. Blue balls, ie. « testicules bleus », est un autre signe concret des « tourments » (teasing) appliqués, et un effet secondaire du déni d'orgasme.

Les hommes ayant une libido importante peuvent ainsi être amenés à la limite plusieurs fois au cours d'une même partie/session. Toutes les hormones et principes chimiques[réf. nécessaire] libérés dans l'organisme habituellement au cours de relations sexuelles normales, sont émises de nombreuses fois au cours de la période de edging, mais sans nécessité de résilience, puisqu'il n'y a pas d'éjaculation.

Le T&D est particulièrement, mais pas nécessairement pratiqué dans le cadre de relations BDSM.

But recherché

Le déni d'orgasme peut être pratiqué en solo par la masturbation. C'est une pratique masturbatoire intensive, pouvant atteindre une quinzaine d'heures journalières, et ce sur plusieurs jours, voire semaines en se retenant d'aller à l'orgasme ou l'éjaculation.[2] Le but, évidemment, est comme dans le SM de provoquer une frustration intense, mais doublée d'une stimulation masturbatoire quasi permanente, via les organes génitaux, anus, bouche, ou toute autre partie du corps. Elle peut être accompagnée par des pratiques (travestisme, exhibitionnisme, voyeurisme, fétichisme, ondinisme, etc.) qui ne se pratiquent pas toujours seul, afin d'augmenter le plaisir et la tension sexuelle. Une tension sexuelle exacerbée, doublée d'une frustration, mènent à une désinhibition presque totale face aux interdits, ce qui est le but recherché dans ce genre de pratique.[3] Le fantasme, l'imaginaire, braver l'interdit moral et social, le plaisir lié à la honte, à l'humiliation et à la réalisation du fantasme, conditionnent le passage à l'acte et à l'autorisation de la jouissance/éjaculation.[4] L'orgasme est atteint sous certaines conditions, après avoir ressenti une désinhibition des interdits, activant ainsi le passage à l'acte du fantasme à réaliser, sans ressentir aucune gène, mais au contraire un plaisir intense.