dimanche 3 novembre 2024

Photo volée

 




jeudi 24 octobre 2024

Playa

 

Petite attention pour les fétichistes des pieds… 



vendredi 11 octobre 2024

La tension du fouet…

Ce résumé n'est pas disponible. Veuillez cliquer ici pour afficher l'article.

mardi 8 octobre 2024

Étrille

 


Quand le Peegy a les fesses qui piquent…

Rien de tel qu’un bon coup d’étrille pour faire « baver » le Peegy 




…mais qu’il en redemande!


lundi 7 octobre 2024

Cello-séance de compétition

 


Un chouette moment avec mon cellomis tout shaved pour l’occasion 



Bien emballé 



Bien ficelé 



Et les stigmates d’après séance… 





Écrit par cellomis:



Le baptême de la Croix 


Nous avions planifié cette session depuis des semaines, et comme à chaque fois, l’attente en était devenue un réel supplice. Imaginer 1000 tortures, me retrouver avec Vous dans Votre sublime nouveau donjon, être entre Vos mains, souffrir pour Vous, j’ai passé des nuits entières à en rêver, à en fantasmer.
J’entre dans Votre nouveau donjon, Maîtresse Lady Dragonne, c’est pour moi un véritable évènement, comme entrer dans un sanctuaire, tout y est magnifiquement arrangé, magiquement éclairé, une ambiance sacrée y règne. Je me déshabille, je frissonne déjà d’envie et d’excitation, Vous me mettez Votre collier et instantanément mon esprit et mon corps entrent dans cet état de soumission et d’appartenance entière et inconditionnelle. Nous n’avons pas convenu de scénario, je m’en remets à Vous. Vous me faîtes prendre place sur Votre croix somptueuse, Vous m’appuyez contre la croix, tout mon corps tremble au contact du métal froid, mon dos, mes fesses, mes cuisses frissonnent. Vous me bandez les yeux, puis Vous commencez à m’emballer les pieds, les jambes, les cuisses, je me sens déjà bien retenu contre la croix. Vous continuez à m’emballer le bassin en prenant soin de bien laisser mon sexe hors de la cellophane. « Il faut bien laisser de quoi jouer » dites-Vous. L’emballage continu par le ventre, le torse et les bras, le cou puis la tête. Je suis fermement attaché à la croix, je sens le plastique contre ma peau et ma température augmente déjà. Seul un orifice sur ma bouche me permet de respirer. La musique est forte et je n’arrive pas à entendre ce qu’il se passe, je ne parviens pas à deviner ce que Vous allez me faire. Je savoure ce moment délicieux. Vous libérez mes tétons, les pincez un peu, les caressez, je sens déjà l’excitation monter en moi tellement j’aime cela. Vous ligotez mon sexe et mes testicules avec une corde, j’aime Vous sentir manipuler, serrer, tirer mes parties. Cela m’excite encore plus et, déjà, mon esprit décolle, flotte. Je perds la notion du temps et de la chronologie de la suite. Les pinces sur mes tétons, douleurs fulgurantes au moment où vous les mettez, les touchez et une extrême déchirure quand vous les enlevez.
Les roulettes de Wartenberg, sur mes testicules, sur mon pénis, sur mon torse, mes flancs, mes bras, la sensation de milliers d’aiguilles perçant ma peau et déclenchant des micros-douleurs, mes muscles se crispent sous le passage des roulettes et sous mes paupières, des milliers d’étincelles apparaissent.
Les fouets, doucement d’abord, puis de plus en plus fort, sur mes flancs, sur mon torse, sur mes seins, sur mes parties génitales, sur mes jambes, les douleurs comme des déchirures, ma peau s’enflamme, les douleurs persistent et s’intensifient, je crie et je décroche plusieurs fois, je voudrais me tordre, me recroqueviller pour éviter les coups, mais c’est impossible. Je déguste chaque coup, laisse la douleur m’envahir et m’emporter dans l’espace. Je ne ressens plus la croix, plus mon corps, plus mes pieds.
Vos mains, qui me caressent, me pincent, me réconfortent, me frappent, me calment. J’adore le contact direct avec Vous, sentir Votre chaleur, l’impression de me liquéfier à chaque caresse et d’exploser à chaque frappe ou pincement.
Puis Vous libérez mes bras de la cellophane et les attachez en croix avec des cordes, arrachez la cellophane de mon torse. Je me sens complètement offert et vulnérable, ne suis plus protégé dans mon cocon de plastique, une sorte de panique s’empare de moi car je sais que les coups vont reprendre, mais sur ma peau vive cette fois.
Les fouets, comme des couteaux, me découpent à chaque coup, la sensation que mon corps se déchire et saigne à chaque claquement.
Des fessées, fortes et intenses, qui secouent mon corps immobilisé sur la croix.
Des morsures, des caresses, des pincements, je m’essouffle, je me sens partir, je savoure, je crie, je voudrais que cela s’arrête, je voudrais que cela continue, mon esprit se perd dans un tourbillon. Plus rien ne compte, seules les sensations et le plaisir d’être là, avec Vous, pour Vous.
Vous me demandez si j’en veux encore, mais je n’ose dire oui. J’ai peur, peur de ne pas en supporter plus, peur de m’évanouir, peur de demander grâce, peur de Vous décevoir.
Mon corps souffre mais mon esprit jouit. Je voudrais que cet instant dure pour l’éternité.
Vous prenez alors mon sexe dans la main et me masturbez, je voudrais jouir, je voudrais exploser, mais quelques coups de fouets, quelques pincements et quelques morsures viennent couper l’excitation et me projettent à nouveau dans le tourbillon. L’excitation cède sa place à la douleur.
Je suis à bout de souffle, exténué, tremblant, Vous me libérez et m’aidez à descendre de la croix. Je ressens immédiatement la descente, forte, mon corps entier tremble. Vous me couvrez d’une couverture, je reprends lentement mes esprits.
Je me blottis à Vos pieds et me laisse emporter par une vague émotionnelle, j’aime être ainsi à Vos pieds, vous toucher, sentir Vos tendres caresses qui m’apaisent, entendre Votre voix, être à Vous, rien qu’à Vous.
Maîtresse, cette session a été comme un baptême, comme une initiation, comme une première fois. Votre nouveau donjon et l’ambiance qui y règne sont magiques et spirituels. J’ai adoré y être torturé, j’ai adoré y être avec Vous et ne peut déjà plus attendre d’y revenir.
Merci Maîtresse.
Votre cellomis.

lundi 30 septembre 2024

pénitent andré

 









Écrit par pénitent andré:



Voici les ressentis de ma visite de fin septembre chez Lady Dragonne.


Arrivé à l'adresse de son nouveau donjon, je l'ai appelé au téléphone et d'une voix agréable elle m'a répondu chaleureusement, déverrouillé la porte du bâtiment tout en indiquant comment la rejoindre. 

J'ai eu tout de suite plaisir à la revoir, belle, sexy.


Après m'être déchaussé à l'entrée, elle me guide vers la Dragonnière. 

Un superbe donjon, très bien équipé. Chapeau! 


Assez vite, j'ai dû me déshabiller et, nu comme un ver, aller me confesser à genoux sur le prie-dieu. Elle m'a fait détailler mes mauvais comportements tout en me sermonnant. Je savais qu'elle condamnait sévèrement. Je lui ai promis d'essayer de m'améliorer. Elle attendait plus affirmatif de ma part. Je lui ai aussi dit que c'était peut-être bien de prévoir des séances punitives de maintenance pour contenir mes comportements limites.

La sentence est tombée: 40 coups de canne à froid, plus 5 coups pour une de mes hésitations, plus 5 coups pour avoir posé une question hors sujet. Donc 50 coups d'entrée que je devrai compter à haute voix.

Je préfère ne plus rien dire, me taire.


Puis elle me met des bracelets et me désigne le banc à fessées. Je m'y installe, il est confortable, mais équipé pour attacher solidement. D'abord les poignets sont fixés sur le devant puis elle me fait écarter les genoux et les immobilise fermement.

Je ne peux me retourner, ni voir vraiment ce qu'elle fait derrière moi.


Le premier coup de canne m'est infligé, il est costaud. Je l'annonce à haute voix et suis prêt à dire "deux". Durant cette cannée, régulièrement, elle donne aussi des coups sur la plante de mes pieds. C'est douloureux, me fait me plaindre et aussi me déconcentre pour compter correctement les assauts de la canne en rotin.

Enfin, le compte y est, les fesses font mal, mais je n'ai pas encore tout ressenti. Elle me montre une verge multi-brins en acétal en me rappelant que c'était moi qui lui avais proposé de l'acquérir. Bientôt mon fessier est tourmenté par ces fines tiges très flexibles. Je souffre, mais c'était mérité! 


Ouf, je suis libéré, peux me redresser et boire un peu d'eau. Et je vois qu'elle revient avec des pinces reliées par un chaînette. Mes tétons sont enchaînés. C'est supportable au début mais avec le temps ça va tourmenter de plus en plus. 


Puis avec cet attirail accroché à ma poitrine, je dois retourner sur la banc. Cette fois c'est pour une fessée classique à la main. Elle tape fort. Elle utilise ensuite des tape-tapis, c'est coriace et piquant.


Un peu d'eau et je dois me mettre debout bien droit, les poignets fixés en haut à une barre, jambes un peu écartées et regarder bien en avant, ne pas chercher à la voir ni me retourner pour observer ce qu'elle prend pour me fouetter. 

 

Surprise c'est un fouet court, il me pique, claque, repique. De temps en temps elle le fait s'enrouler autour de ma taille, c'est douloureux. Mon sexe reçoit aussi une caresse de cet instrument, ce qui me fait sursauter car ce baiser du fouet sur mon joy-stick fait hyper mal. Ma fouetteuse le prend à la légère en souriant et dit que je suis douillet. 


J'oublie de regarder bien en avant et mon regard passe par les belles courbes de ma Maîtresse. Evidemment elle a remarqué que je la matais. Ce qui me vaut un châtiment dédié à ce mauvais comportement. 


Soudain une vive douleur sur mes fesses, c'était le supplice d'un fouet court en caoutchouc. Un seul coup et j'ai dû demander pitié. 

Elle m'explique en souriant aimer punir ainsi, que c'est intéressant pour elle. 


Régulièrement, elle est venue triturer les pinces, accrocher des poids, insérer une fine baguette entre les deux pinces ou me faire me redresser.


Je comprends enfin qu'elle va m'enlever les pinces, je suis prêt à ce que le décrochage fasse mal. Aie!!! mes tétons souffrent plus que prévu. 

Elle me décroche aussi les poignets, je bois un peu. 


Ma disciplineuse me laisse ensuite choisir 3 instruments et leur nombre de coups en précisant que c'est 10 minimum. Le panier du pénitent comprendra un tape-tapis, une langue de dragon et un sévère martinet que je ne connais encore point. Et redirection banc de fessées.

Dès le premier coup, le martinet promet des souffrances. C'est du solide et Lady ne semble pas fatiguée. La langue de dragon pique mais c'est supportable et le tape-tapis en rotin fait de plus en plus mal car il va me fustiger 25 fois.

Et pour finir, une interminable salve de claques à la main. Quelle énergie a ma correctrice pour frapper si longtemps et fort!


Et voilà, je m'assure que je ne risque plus rien, ose à nouveau parler normalement.


Un chaleureux au-revoir et je me retrouve à l'air libre.


C'était une super séance punitive comme j'aime les mériter.


Lady Dragonne, vous êtes vraiment la meilleure Maîtresse que je connaisse. Empathique, chaleureuse, compréhensive mais aussi très ferme et sévère quand je dois être corrigé.  

Je me réjouis de vous revoir bientôt et vous recommande chaudement!


pénitent andré


dimanche 29 septembre 2024

Les morsures

 




Depuis très longtemps, dès que je suis excitée, j’adore mordre.

Parfois jusqu’au sang. 


Les scientifiques appelleraient sûrement cela de «l’agressivité mignonne». En tout cas, c’est ce que j’ai trouvé comme explication qui se rapprocherait le plus de ce que je ressens quand je suis dans cet état. (Voir références en bas de l’article)


Excitée par le canevas, le soumis, l’homme ou le partenaire qui est à ma disposition, je ne peux m’empêcher de vouloir «le bouffer». Il me demande un effort surhumain de ne pas arracher un bout de viande quand je suis dans cet état. L’excitation est due aux jeux bien sûr, mais aussi quand je m’y autorise, l’alcool me rend un peu moins « control freak ». Cette excitation me donne envie d’arracher un bout de la personne qui me stimule, avec mes dents. 


Souvent, de frustration de ne pas pouvoir mordre aussi fort que mes émotions le voudraient, je me «venge» en griffant et en giflant pour tenter de faire baisser cette tension.


À nonante-neuf pour cent du temps, je me contrôle. Mais parfois, quand les circonstances me le permettent, je cède et toutes mes pulsions sont éjectées en même temps et je mordille sans pouvoir m’arrêter. 


Cette sensation est tellement satisfaisante et tellement libératrice quand je peux m’y adonner. Une déferlante de bonheur m’envahit soudain comme un barrage qui céderait sous la pression. 


Quelques petites minutes seulement puis la pression retombe. Je reprends le contrôle. Haletante et satisfaite, comme après un orgasme. Je ne sais pas quelles hormones sont libérées à cet instant mais c’est fugace et extrêmement puissant. 


Vous l’aurez compris: si j’ai envie de vous mordre, de vous griffer et/ou de vous gifler, c’est que je ne feins pas mon plaisir de jouer avec vous. 


Et vous? Comment traduisez-vous votre excitation? 









Références:

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25626441/


https://www.frontiersin.org/journals/behavioral-neuroscience/articles/10.3389/fnbeh.2018.00300/full






samedi 28 septembre 2024

Cage

 

Gérer un brat, c’est toujours compliqué. Mais il suffit de bien le fatiguer avec une séance intensive et de l’envoyer se « reposer » ensuite. Tranquillité garantie pendant un bon moment! (Ronflements inclus).




jeudi 26 septembre 2024

Test

 


Un petit test sur ma nouvelle Croix, passé haut la main par mon brave Peegy 



Plein d’aventures extra-ordinaires sont à découvrir dans ce nouveau Donjon! 




mardi 24 septembre 2024

Souvenir du QueensLand

 


MaDame La Comtesse Elisabeth de Bathory herself 
lors de son sublime anniversaire 


Petit moment intense avec cellomis



Une de mes grandes passions: 
sonder des pétasses catégorie luxe






lundi 23 septembre 2024

Week-end




Me voici avec mon Peegy d'Amour, absolument magnifique, 
et mon petit cellomis, pour sa première soirée.





Et quelle soirée! Chez la Comtesse Elisabeth de Bathory. 
Un moment hors du temps.





 

dimanche 22 septembre 2024

Donjon 2.0

 

Je l'ai rêvé, je l'ai enfin!





Je vous reçois pour des séances de punitions récréatives dans mon nouveau Donjon 2.0

C’est à dire, deux pièces entièrement dédiées au BDSM. 


La première est une salle de tortures complètement équipée avec du gros matériel, chaise de sévices, sling, cadre, croix de bondage, cage, ustensiles de frappe.


Et une salle médicale avec chaise gynécologique, machines à traire, sondes urétrales, jeux médicaux, aiguilles, électro, « baptême du sang », couture et dentelles.


Tous les châtiments — même les plus spéciaux — pourrons être pratiqués. Tous vos vœux pervers exaucés. 


J’aime les challenges et les fétiches improbables. J’ai énormément d’équipement pour satisfaire les plus exigeants. 




















Mes pratiques — liste non exhaustive :


Fétichismes divers et variés

Frappe (fouet, cravache, martinet, badine, canne, à la main, divers ustensiles)

Bondage / restriction 

Needle play / aiguilles médicales 

Couture et dentelles 

Clous et agrafes 

Jeux de sang 

Knife play / jeux de lames

Machine à traire 

Sondes urètrales 

Wax play / cire

Momification (cellophane/duct tape/egyptian style/sac pvc/latex)

Travail des seins 

CBT / torture du sexe

Gifles 

Ballbusting 

Crucifixion

Breathplay / jeu de respiration 

Fireplay / feu 

Électrostimulation 

Chasteté / gardienne des clefs 

Humiliations physiques 

Trampling / piétinement 

Moneyslavering 

Pilori / carcan

Chantage (en séance ou virtuel) 

Rasage 

Éducation à l'anglaise 

Larbinisme 

Dog training / chien 

Petplay / dressage 

Fantasy castration 

Tickling / chatouillement

Séance à deux Dominas

Et bien d’autres choses encore




Veuillez noter que je ne pratique pas l’anal. Pas de gode ceinture. NO PEGGING.

Je suis intouchable. Il n’y aura PAS DE SEXE (ni fellation / cunnilingus) pas de facesitting non plus (même habillée).