Éducation à l’anglaise
Pour commencer, un peu d’histoire.
L'éducation à l'ère victorienne en Angleterre était marquée par de profondes inégalités, liées à la classe sociale, au sexe et à la géographie. Les enfants des classes supérieures et moyennes étaient éduqués dans des écoles privées ou à domicile, avec une formation axée sur des matières classiques et des compétences sociales. Les filles recevaient une éducation principalement tournée vers les tâches domestiques, tandis que les garçons avaient accès à un enseignement plus intellectuel.
Les méthodes d'enseignement étaient rigides et autoritaires. La discipline était stricte, et les châtiments corporels étaient courants. Les enseignants utilisaient fréquemment des punitions physiques, telles que des coups de règle sur les mains, des tapes sur les doigts ou des fessées, pour maintenir l'ordre en classe. Cette pratique était considérée comme un moyen efficace de faire respecter l'autorité et de renforcer la morale des élèves. Les châtiments corporels étaient appliqués non seulement pour des fautes graves, mais aussi pour des erreurs mineures, comme un travail mal fait ou une mauvaise conduite. Bien que cette pratique fût courante, elle a été progressivement remise en question à la fin du XIXe siècle, bien avant son interdiction officielle au XXe siècle.
L’éducation à l’anglaise dans le BDSM, c’est quoi ?
Tout d’abord, évitons les polémiques en parlant des éducations latines, gothiques et orientales, je vous laisse trainer sur google pour en savoir plus, mais à mon sens, il n’y a qu’une façon de dominer et c’est la vôtre !
Pour ce qui est de MON éducation à l’anglaise, c’est plus une façon de jouer qu’une obédience liée à un style de domination.
Personnellement, j’utilise des touches d’éducation à l’anglaise dans la plupart de mes jeux. Car le concept est de donner une tâche à faire à un sujet (mâle ou femelle), et de le punir ensuite pour ce qu’il aurait mal effectué. Quoi qu’il en soit, la punition arrivera même si l’exercice a été effectué à la perfection, car il est évidemment important d’inculquer au sujet, qu’il n’est pas bon d’éprouver de la fierté ou même de la joie à avoir fait un sans-faute. Sans parler du plaisir sans borne du Dominant à appliquer une bonne punition (méritée ou pas).
Les codes du BDSM (peut-être un peu surannés mais qui doivent être choyés), le côté protocolaire des jeux, la hiérarchie entre tous les protagonistes, la confiance et la maitrise des pratiques sont des conditions sine qua none pour pratiquer non seulement un bon BDSM mais éducation à l’anglaise justifiée.
***
J’ai été amenée hier à donner une master class à Maitresse JLouve pour la former à l’éducation à l’anglaise sur un sujet consentant.
Première leçon, le maniement de la canne anglaise.
Une fois le doigté et le mouvement du poignet maitrisé, la canne a été utilisée en conditions réelles.
À froid, je l’avoue, mais comment mieux préparer le cobaye à ce qui l’attendra tout au long de l’après-midi si on le dorlote trop ?
Deuxième leçon, l’apprentissage des douze positions.
Après avoir donné un support avec les douze positions au soumis-cobaye, Maitresse Jlouve et moi-même, l’avons laissé tranquillement mémoriser les instructions pendant vingt minutes.
De retour, nous l’avons interrogé et malheureusement il s’est trompé deux fois. Ce qui lui a valu un certain nombre de coup de canne à comptabiliser.
http://ladydragonne.blogspot.com/2016/02/petit-rappel-non-negligeable.html
Troisième leçon, la dictée.
Un petit texte simple, fut dicté au soumis cobaye. Évidemment, chaque faute d’orthographe comptabilisait un coup de canne. Le sujet étant bon en français, nous avons choisi de multiplier chaque faute par cinq. Il en a fait trois, donc quinze coups ont été rajouté au décompte final.
Quatrième leçon, le coup de pression.
Haaa, j’aime les mettre sans dessus-dessous. Pendant une bonne dizaine de minutes je l’ai pressé psychologiquement comme un citron. Le faisant sans cesse changer de position, puis lui faire coller le nez sur le mur et en exigeant de lui qu’il me dise à quel point j’étais une déesse exceptionnelle et magnifique et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’il se mette à trembler de honte. Un moment exquis.
Petite pause bienvenue, le yoga de Maitresse JLouve.
Sachant que la souplesse du sujet était mediocre, Maitresse JLouve a décidé de lui faire faire un peu d'exercice. Une petite séance de sport, d'étirements et de positions très intéressante.
Cinquième leçon, le haiku.
Nous avons laissé au soumis un quart d’heure pour qu’il nous écrive une ode à nos personnes. De trois phrases chacune, trois déclarations d’un soumis à une Maitresse.
À la fin de la première lecture, nous lui avons laissé dix minutes supplémentaires pour qu’il ajoute deux phrases pour chacune de nous.
Maitresse JLouve a jugé le résultat final de sa déclamation et lui a alloué une bonne poignée de points supplémentaires à ajouter au décompte de coups.
Bien sûr, au fil des lectures, chaque bafouillage faisait un point supplémentaire.
Sixième leçon, le choix des instruments.
J’ai étalé quatre petits instruments et j’ai laissé le choix au sujet d’en choisir deux. Il a bloqué sur mon martinet en poils de lapin et sur le quirt. Je lui ai ensuite attaché les mains à ma croix, nous offrant son dos. Puis le lui ai fait choisir un nombre entre un et vingt. Il a été assez malin pour choisir le quinze.
Quinze coups de lapin et quinze coups de quirt pour le mettre en jambe.
Puis, pour le plaisir de mon élève du jour, les deux instruments restants, un martinet en caoutchouc et des fibres en acétate, on bien sûr dû être utilisés.
Maitresse JLouve a dû les prendre en main avant de commencer à compter les coups à voix haute de quinze à zéro (oui ça fait seize, mais c’est vachement plus rigolo de compter comme cela).
Puis, vu que j’étais bien chauffée, j’ai sorti le fouet et j’ai joué avec notre cobaye, qui a nettement « bavé de plaisir » sous mes coups. Après quelques minutes à ce train là, Maitresse Jlouve a pris le relais pour apprivoiser ce petit fouet court.
Dernière leçon, le châtiment.
Tout au long de ce cours, le soumis-cobaye a récolté au total nonante-cinq coups de canne de punition.
Détaché de la croix, nous l’avons mis sur le banc de fessée. Nous nous sommes partagé les coups, cinquante pour mon élève et 45 pour moi.
Mais avant, histoire de bien chauffer la couenne de notre cher cobaye, rien de tel que des fessées données à la main. Un des fondement de l'éducation à l'anglaise.
Maitresse JLouve a ensuite commencé à frapper. Plus les coups défilaient, le décompte s’amenuisait et plus elle prenait confiance dans le geste. Utiliser la canne anglaise est tout un art ! Je lui ai donc offert dix coups supplémentaires sur mon quota, pour qu’elle prenne plaisir à canner avec justesse. Plus les coups étaient bien donnés, et plus des couinements se faisaient entendre. Un peu bonheur à voir.
Mon tour venant, j’ai donné une dernière petite leçon en lui montrant comment on pouvait canner la plante des pieds avec une très fine canne en rotin. Torture hautement appréciée par les Dominants, mais malheureusement tout aussi hautement honnie par les soumis (et on se demande pourquoi). Puis trente-cinq coups habilement donnés sur les fesses en alternance avec la plante des pieds, juste pour mon plaisir. Bien sûr, seuls les coups sur les fesses étaient comptabilisés.
After care, un doux moment de redescente.
Après toutes ces expériences nouvelles pour le sujet et mon élève, nous avons tous pris le temps de choyer notre cobaye du jour. Quand il a pu à nouveau se tenir debout, nous sommes passés au salon et avons fait un debriefing de cet après-midi.
Le bilan était plutôt positif et tout le monde a passé de très bons moments dans la Dragonnière.
Merci à Maitresse JLouve et pieretleloup pour votre confiance !
Par une après midi d'hiver grise et pluvieuse je prend la route en direction des montagnes. Plus je monte et plus le ciel exprime la dureté de ses éléments, bourrasques froides et brumeuses
Au fil de mon avancée mon coeur se serre malgré moi.
Bien que je soit très cartésien, une pensée étrange tisse sa toile dans mon esprit ; comme si les éléments étaient possédés par une force invisible ... une force en lien avec ma destination du jour.
Je monte jusqu'à l'antre de Lady Dragonne. Un répère où je suis attendu pour servir de modèle pour un atelier d'éducation anglaise. Et si les bourrasques de givre qui s'abattent sur mon pare-brise étaient comme un avant goût de ce qui m'attend plus tard ?
Mon échine frissonne à cette idée.
Me voilà arrivé.
Je me gare, me change brièvement dans la voiture pour passer une chemise, et me rend à l'adresse indiquée.
Le matin dès le reveil j'avais pris soin de me préparer et de me mettre en cage car je savais que je n'aurais pas le temps de faire cela en cours de journée.
Je me présente donc au rendez-vous en étant déjà un peu convenable à la fois extérieurement et intérieurement.
Cela me rassure un peu de me sentir présentable.
Bien que je ne sache pas encore ce qui m'attend derrière la porte.
Lors de nos échanges, il m'a été indiqué que je servirais de support pour une transmission de savoir entre Maîtresses. Cette idée me transporte.
Déjà dans la vie de tous les jours, j'adore tout ce qui est lié à la transmission, au lien, à l'enseignement, au savoir, ...
Alors dans le BDSM, cela prend des dimensions encore plus importantes à mes yeux, et alors la bien plus encore puisqu'il s'agit de transmissions entre Femmes Dominantes.
Me voici devant la porte.
Je compose le numéro d'appel qui m'a été donné.
La porte crépite, je l'ouvre, et au bout de quelques pas je suis chaleureusement accueilli par l'immense et sublime Lady Dragonne, suspendue sur de merveilleux talons aiguilles dont je ressens chaque pas sur le sol faire vibrer en moi ma fibre fetichiste.
Je me sens déjà un peu troublé, cela ne fera que commencer.
Son sourire bienveillant et chaleureux me conquis et me met à l'aise en accompagnant mes premiers pas dans sa tanière.
Au bout du couloir je découvre une superbe ombre furtive gainée de cuir, JLouve, dont le regard aiguisé m'ausculte finement comme une pierre destinée à être taillée.
Nous faisons connaissance au salon, et sous les directives de Lady Dragonne je me dévoile en faisant mon anamnèse sous leurs regards conjugués.
Puis je suis invité à me mettre en tenue afin que la séance puisse commencer.
Quelques minutes plus tard, je me présente en culotte et chemise, paré de mon collier et de mon harnais, pour me présenter à genoux aux pieds de Lady Dragonne.
Je suis alors mené vers la salle où je serais transporté dans une nouvelle réalité.
Rapidement la scène se met en place et je deviens sujet à l'analyse savante de leur implacable autorité.
Elles auscultent ma tenue, mes accessoires, et m'expriment de manière calme et clairement intelligible, pédagogique, ce qui est convenable et ce qui me fait défaut.
Mon esprit écoute attentivement chaque mot prononcé, leurs évaluations me sont tellement importantes.
Puis Lady Dragonne me positionne sur un banc à fessées pour illustrer la maniement de la canne.
Les premiers coups de canne tombent sur mes fesses.
Je supporte cette entrée en matière, heureux support pour l'acquisition d'un geste technique qui demande beaucoup de subtiles détails pour être effectué de manière efficiante : douloureux pour mes fesses, et confortable pour le bras qui opère.
Mon corps ayant été ainsi préparé et réchauffé, Lady Dragonne me présente les 12 positions de soumission qui font l'objet d'une présentation détaillée sur son blog, et me donne 1 5min pour les mémoriser consciencement.
Je m'exerce seul à me réciter chaque position, recherchant des moyens mnémotechniques pour bien associer chaque numéro à la bonne chorégraphie.
Le temps file et l'examen arrive déjà. Les regards sont précis, et je me trompe à plusieurs reprises malgré ma volonté de bien
faire.
J'entends les points qui sont annoncés à chaque faute.
Démultipliés.
Chaque erreur compte plusieurs points
Moi qui adore les chiffres habituellement, cette fois ci ma tête est fébrile en entendant les comptes qui sont annoncés, je perd le fil.
Je pensais alors recevoir les punitions correspondantes, mais une seconde épreuve me déstabilise ; assis sur mon pupitre comme un enfant, je dois affronter une dictée ; mes souvenirs d'enfance me font trembler, tandis que j'essaie de tenir le rythme pour ne pas perdre le fil des mots qui me sont dictés.
Madame JLouve regarde en souriant au dessus de mon épaule, ce qui augmente terriblement mon angoisse et me plonge dans un vertige de souvenirs d'école.
La correction me rend tout fébrile et timide. De sa plume rouge, Lady Dragonne pointe mes erreurs, et annonce le nombre de coups qui viendront se rajouter. 1 5 coups de canne.
Je me relève à peine du pupitre que Lady Dragonne me demande de lui exprimer et de lui formuler respectueusement les raisons de ma venue.
Je réfléchis et exprime mon admiration ainsi que ma motivation mais mes mots manquent d l amphase et de qualité et je me vois dans l'obligation de reformuler.
Je réfléchi de nouveau et reformule, gauchement, et retente encore
Mais assez vite je ressens comme des blocages intérieurs gripper mon esprit, je n'arrive plus a penser, la pression bloque si vite mon esprit je bégaie ; incapable de finir mes phrases, me voilà comme paralysé mentalement.
Cest allé si vite.
Je tremble de honte.
Incapable de comprendre ce qui m'arrive.
Après cette humiliation mentale délivrée par
Lady Dragonne, je fut alors soumis à une humiliation physique délivrée par la merveilleuse JLouve.
Dotée dune souplesse incroyable, Dame JLouve entreprit de me soumettre à quelques exercices. Sous son regard mon corps dégustait mille et un tiraillements douloureux allant jusqu'à travailler un semi grand écard.
Sa présence autour de moi était une grande et merveilleuse source d'inspiration et de motivation qui me poussait à donner mon maximum, guidant mon souffle elle me dirigeait vers une meilleure version de moi-même Mais je ne réussissait malheureusement pas à être assez souple pour trouver la récompense de poser mes mains sur son corps merveilleux.
Cest alors qu'une nouvelle épreuve terrible me fut formulée.
Celle d'écrire des poèmes pour rendre hommage à mes deux splendides Maîtresses du jour. Mon esprit était déjà chamboulé par les exercices qui venaient de se dérouler et je me sentais intellectuellement limité pour écrire de nouvelles oeuvres.
Les instructions de rédaction qui m'étaient données glissaient sur mon esprit, et tandis que j'écrivais je me mélangeait déjà un peu les piceaux en ignorant ou contournant certaines règles.
Je dû lire et relire plusieurs fois mes textes, adressés à Lady Dragonne et à Dame JLouve ... ma fébrilité gagnait tout mon être, d'être ainsi jugé sur l'expression de mots d'hommages ... je crois que je tremblais d'émotion.
Et la pluie de décompte me faisait tourner la tête, sans mesurer l'ampleur de ce qui prenait petit à petit forme...
95 points de punition. Qui seraient répartis entre Madame JLouve et Lady Dragonne.
Lady Dragonne positionna alors 4 magnifiques instruments devant moi, et me proposa d'en choisir deux.
Je choisi les deux premiers qui me semblaient improbables : le premier était comme une peluche pleine de fourure toute douce, tandis que le second me faisaitnpenser à une étrange asperge marron.
Mais mon choix n'avait aucune consequence sur le déroulé des événements car les deux autres instruments seraient utilisés également, par Madame JLouve.
Je fu attaché à une croix et me rendi compte que mon appréciation était très erronée La peluche était en fait composée de fine lanières qui la rendait cinglante.
Et quant à l'asperge marron qui s'appelle un quirt, elle me fit des éclairs à chaque coup porté.
Ce moment d'impacts fu pour moi un moment de montée d'endorphines vraiment intenses et délicieuses
Tant et si bien que je ne me rendait même pas compte que je mouillait de plaisirs.
Dame JLouve s'amusait de moi et rigolait de me voir ainsi mouiller et couler sous les coups de fouet.
Après avoir bien travaillé au corps, je fut de nouveau placé sur le banc à fessées pour recevoir le juste châtiment de ma journée d'éducation.
Je devais compter chaque coup porté, de manière haute et intelligible.
Ce fut Dame JLouve qui commença, avec 50 coups de canne.
Au fur et à mesure je ressentais sa main devenir de plus en plus habile et efficace.
Ces dix derniers coups me firent des effets cinglants qui ont été remarqués par Lady Dragonne ; qui proposa de transférer à Dame JLouve dix coups supplémentaires.
Je tint donc le décompte, pour ma plus délicieuse souffrance.
Puis ce fut au tour de Lady Dragonne d'opérer Mais quelle ne fut pas ma surprise de découvrir alors l'impact de la canne sur la plante de mes pieds !
Je hurlait et gesticulait de douleur pour le plus grand amusement de Dame JLouve et Lady Dragonne.
Les coups de canne pleuvaient sur moi, entre mes cuisses, sur mes plantes de pieds, sur mes
fesses,
Je tenaient le décompte en faisant attention à distinguer les coups "punitifs" sur mes fesses, de tous les coups "récréatifs" qui étaient portés ailleurs sur mon corps.
Lorsque le supplice pris fin, mon esprit et mon corps baignait dans une plénitude d'endorphines.
Alors Lady Dragonne et Dame JLouve me fire me rassoir, m'enveloppant d'une douce couverture et me caressant le dos.
Tel un oiseau envolé, mon esprit redescendit doucement.
La main que Dame JLouve posa sur mon visage fut un peu comme une branche sur laquelle mon esprit vint se poser délicatement et précieusement.
Puis Dame JLouve m'accorda un merveilleux after care en prenant mes mains et stimulant chaque doigts, et me permettant de me connecter par le regard.
Je pû ensuite me rhabiller, et revenir au salon
pour partager un verre une échanger sur ce que nous venions de vibre ensemble.
La fin de la journée fu consacrée à de belles discussions en compagnie très élégante, permettant une découverte mutuelle.
Je me sens profondément sensible et réceptif à ce type de programme et de pratiques BDSM que je rêve de vivre de manière le plus régulière possible.
Ayant souvent le sentiment d'avoir besoin d'être recadré ou corrigé quand à mon attitude, ou même pour être entraîné vers l'acquisition de certaines compétences, j'ai profondément apprécié cette séance et je le referait avec grand plaisir.
Dans cette journée en particulier, je suis absolument ravi d'avoir goûté du bout des lèvres (ou devrais je dire des fesses) la maestria de Lady Dragonne et la puissance en devenir de Dame JLouve.
La qualités de leurs échanges, la justesse de leurs propos et de leurs mises en oeuvre.
Une sublime après-midi entre les mains de deux grandes et merveilleuses Maîtresses.
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