dimanche 12 janvier 2025

Merry Christmas




Noël et ses décorations, le sapin, les boules… vous voyez où je veux en venir?



Je ne suis pas du genre à décorer uniquement la face avant du sapin et laisser tout vide le côté qui donne sur le mur! Moi j’en mets TOUT LE TOUR! C’est bien plus joli… et rigolo.






Pis bon, pour faire bonne figure, un peu d’agrafes sur le tout 
(pour que les décos restent bien en place bien évidemment)










 Écrit par cellomis:

 Ne perds pas la boule…

Qui a dit que le temps passait vite ? Certainement quelqu’un qui ne connaît pas le supplice de l’attente d’un rendez-vous chez Maîtresse Lady Dragonne.
Quand j’attends nos prochaines sessions, le temps ralenti, s’arrête, les secondes deviennent des minutes, les minutes des heures, les heures des jours. Je n’en peux plus d’attendre, je me languis, je désespère, Vous me manquez Maîtresse, N/nos jeux me manquent, Votre voix me manque, Vos mains me manquent, Votre donjon me manque. Je voudrais m’endormir après la confirmation du rendez-vous et ne me réveiller qu’à l’instant où je suis devant Votre porte.

J’avais très envie d’entrer dans Votre nouveau donjon médical, d’un jeu d’aiguilles ou de clous, cela faisait longtemps que N/nous n’y avions plus joué. La période de Noël s’y prêtant à merveille, Vous m’avez demandé d’acheter des boules de Noël. Et comme par « hasard », j’en avais acheté la veille et j’allais justement vous les suggérer.

Enfin, cet après-midi, je suis devant Votre porte, tellement impatient, tellement heureux de Vous retrouver, de passer du temps en Votre sublime compagnie.
Vous m’ouvrez, me serrez dans Vos bras, je suis si ému d’être là.

J’entre dans Votre magnifique cabinet médical, l’ambiance y est incroyable, j’en frissonne déjà. Je me déshabille, Vous me mettez Votre collier, bien serré. Vous Vous demandez comment accrocher les boules de Noël. Vous me présentez deux méthodes : les agrafes ou les aiguilles ? Ou les deux ? Je suis à Vous Maîtresse, rien qu’à Vous, je Vous laisse le choix en sachant pertinemment que j’aurai droit aux deux. Je suis effrayé, terrorisé, mais en même temps très excité à l’idée de goûter à des jeux nouveaux.

Vous m’emballez la tête dans la cellophane, très serrée, très longue, ma bouche et ma mâchoire complètement immobilisées, mes yeux comprimés. Je ne peux respirer que par le nez. Vous m’attachez les mains dans le dos avec des bracelets. Je reste debout ainsi, au milieu du donjon et Vous entend préparer Vos ustensiles, déballer les boules, tester l’agrafeuse. Je me mets déjà en état second, j’ai froid, je ne me repère plus du tout dans l’espace, je cherche mon équilibre, mon appui sur mes pieds, je comprends que Vous allez jouer sur tout mon corps, devant, derrière et sur les côtés.

Vous attachez une corde très serrée autour de mes parties génitales, j’en soupir d’excitation, j’adore cette sensation douloureuse, mais tellement agréable.

Vous me désinfectez le corps tout entier, le torse, les épaules, les bras, le dos, les cuisses, les fesses et le sexe et le scrotum. L’odeur du désinfectant est forte, pénètre mes narines et m’enivre un peu. La sensation du liquide froid me fait frissonner encore. Me voilà prêt, à Vous, rien qu’à Vous.

Les premières aiguilles sur le torse font mal, mais je m’habitue vite à la double piqûre. Je sens ensuite le crochet et la boule qui pend sur ma peau. Intéressant comme à certains endroits, les aiguilles font très mal et m’arrachent un cri, à d’autres je ne sens que le pincement de la peau, dans le dos la sensation est presque jouissive, chatouilleuse, mais sur les flancs, mon corps se tord, la douleur est intense et lente.

Je ne compte pas, je déguste et découvre au fur et à mesure des aiguilles quelles parties de mon corps sont les plus sensibles. Je Vous entends être contente du résultat, trouver cela beau, cela me remplit de joie et de fierté. J’aime savoir que Vous ressentez du plaisir à jouer avec moi, autant que moi j’aime ressentir ce que Vous me faites. Dans ma tête, impossible de m’imaginer à quoi cela ressemble.

Vous faites une pause, prenez quelques photos, filmez une vidéo. Vous n’imaginez pas la fierté que je ressens à ce moment précis. J’en oublie la douleur, mon côté exhibitionniste passe devant tout le reste.

Puis la phrase qui m’a complètement fait flipper : « On va agrafer quelques flocons ». Les agrafes qui pénètrent ma peau, l’impact de l’agrafeuse, souvent 3 coups au même endroit. La douleur est violente, brutale. Je m’imagine que vous agrafer des flocons découpés. J’ai l’impression que tous les espaces vides sont recouverts d’agrafes. Sur le ventre cela fait très mal, je me tords de douleur et crie. Sur les cuisses aussi, c’est très douloureux. J’en perds mon souffle, manque de perdre l’équilibre, voudrait que cela s’arrête mais prie pour que cela ne s’arrête pas. Je Vous entends rire et j’adore cela. A ce moment je pars en transe, décroche, me laisse flotter sur cette vague qui m’emporte. J’aime, je savoure, je déguste chaque impact, quel délice.

Un endroit a échappé à la torture : mes tétons. Vous ne les avez pas oubliés. Deux agrafes sur chaque sein, une douleur extrême, mais en même temps une excitation intense. Je crie de douleur et de plaisir. Je sens mon sexe gonfler dans la corde qui l’enserre. Comme un éclair intérieur qui traverse mon ventre et qui voudrait jaillir par mon pénis.

Là aussi je ne compte pas, mais mon corps entier ressent les aiguilles et les agrafes, comme une chaleur qui m’enveloppe, qui augmente quand j’inspire et s’apaise quand j’expire. Je voudrais que ce moment ne s’arrête jamais, que Vous me déposiez dans un coin de Votre donjon et me laissiez là pour toujours, comme décoration, comme une œuvre d’art.

Vous retirez maintenant les boules, une après l’autre. Avec tristesse, je me dis que c’est déjà terminé. Mais vous jouez encore à appuyer sur les aiguilles et les agrafes, réveillant des douleurs presque égales à celles de la pose. Je perds à nouveau mon souffle, me tords, mon corps tremble et est traversé par des spasmes. Plaisir et douleur, mélangés et tellement bons.

Ensuite Vous retirez les aiguilles, je ne les ressens que très légèrement. Par contre, il faut encore retirer les agrafes. Et dès la première, je comprends que le pire est à venir. Au point que je préfèrerais ne jamais les enlever. La sensation que chaque agrafe est recourbée à l’intérieur de la peau et m’arrache un bout de tissu à chaque fois. Les agrafes des seins m’arrachent le cœur et je manque de perdre l’équilibre, je me replie sur moi-même et crie.

Les douleurs de cette séance ont été intenses, à nouveau quelques échelons de franchis dans mon échelle de la douleur. Jamais je n’aurais cru que je franchirais ces étapes, que j’aimerais cela autant.

Maîtresse, je suis si heureux d’être Votre. Merci de m’accompagner encore et toujours.

Votre cellomis.



 

1 commentaire:

  1. Délicieuse et sublime séance Maîtresse. Je ne vis que pour ces moments en Votre compagnie et à Votre merci.

    RépondreSupprimer