Des mètres de cellophane
Que s'est-il passé ici?
Mon petit cellomis est venu me rendre visite aujourd'hui.
J'ai sorti le grand jeu, ou plutôt la grande chaise de torture pour l'y emballer avec soin.
Puis évidemment, j'ai joué avec tout ce qui dépassait!
Un peu de pinces, un peu de poids, un peu d'aiguilles sur les tétons, un peu de martinet sec tout partout, un peu de piques et beaucoup -beaucoup- de plaisir.
Un très beau moment de jeu, avec une redescente et un aftercare intenses et chargés en émotions.
Mon cellomis, merci pour votre confiance. Merci de vous donner complètement à moi.
Écrit par cellomis:
La Chaise de Torture
Quand nous avons fixé la date de notre prochaine session, Vous m’avez demandé quels étaient mes désirs. Avant même que je ne Vous en fasse part, Vous m’avez dit que Vous aviez trouvé. A ce moment, je fus pris d’une émotion partagée entre panique et excitation. Et j’ai adoré. Durant les quelques jours qui ont suivis, je n’ai cessé d’imaginer quel scénario Vous aviez préparé. Puis une photo de Vous avec plusieurs rouleaux de cellophane m’ont un peu mis sur la voie. Mais toujours sans savoir le contexte, la posture et les tortures que Vous aviez préparées.
Aujourd’hui, en entrant dans Votre donjon, j’ai découvert Votre somptueuse chaise de torture, trônant au milieu de la pièce. Depuis longtemps, j’y ai pensé, j’en ai rêvé, sans jamais oser Vous le demander. Je me suis senti très honoré et extrêmement excité à l’idée de pouvoir m’y assoir.
Impatient, je me déshabille. Vous me mettez Votre collier et le jeu commence. Je m’assois sur la chaise et je comprends immédiatement pourquoi elle porte ce nom-là. L’assise est douloureuse, je sens les bords de mon bassin écraser mes muscles fessiers, la posture est inconfortable, les cuisses très écartées. Je tente de garder le contrôle de mes jambes et d’alléger mon poids, mais très vite je comprends que je ne tiendrai pas longtemps. Alors je m’abandonne à cette première douleur intense, je la laisse m’envahir et déjà, je me mets dans un état de transe pour la supporter.
L’emballage ensuite, la tête, les bras en croix, le torse bien serré, les cuisses et les mollets, mon corps est complètement immobilisé, ne laissant libres que mon sexe et mon entre-jambes. Libres pour toutes les tortures qui vont suivre. Je me sens offert et vulnérable et cela m’excite de plus en plus. Dans ma tête défilent pinces, aiguilles, fouets et encore plein d’autres possibilités.
Toujours en état second dû à la douleur de l’assise, je ne parviens que partiellement à prendre conscience de ce qui a suivi, mon esprit ne parvenant plus qu’à se focaliser ponctuellement et rapidement sur les divers points que Vous avez pincés, piqués, fouettés, caressés, mordus, chatouillés. Les tétons, le scrotum, le pénis, je ne suis plus qu’une boule de flipper propulsée d’un point à l’autre de mon corps, avec quelques moments de pause, de caresses délicieuses avant que ne reprennent les douleurs.
A un moment, je sens l’odeur du désinfectant et Vous nettoyez mes tétons. Je comprends alors qu’une torture spéciale se prépare et j’en tremble d’impatience. Quelques aiguilles autour de mes seins, cette douleur en deux temps, l’entrée et la sortie de la pointe d’aiguille, sur une partie si sensible, si érogène. Sous mes paupières je visualise l’image de mes tétons transpercés, cela m’excite au plus haut point, un fantasme se réalise.
Après plusieurs vagues de tortures et de douceurs, Vous m’amenez à la jouissance qui emporte mon corps dans de violents spasmes contraints par la cellophane et la posture sur la chaise.
Enfin le déballage, comme à chaque fois, suscite en moi déjà une nostalgie, un manque, je voudrais que cela ne cesse jamais, tellement j’aime être à Vous, entre Vos mains, subir Vos tortures et en jouir.
J’aime aussi particulièrement les moments qui suivent nos jeux, où je peux me laisser aller, me confier, être réconforté. J’aime savoir que Vous aussi, Vous avez éprouvé du plaisir dans le jeu. J’aime m’offrir, me donner, m’ouvrir à Vous.
Merci Maîtresse Lady Dragonne pour cette sublime séance, merci d’être là, de faire partie de ma vie et de m’accompagner sur ce magnifique chemin.
Votre petit cellomis.
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