Quand je pense qu'il y a à peine quelques années, il ne désirait qu'être momifié. Et qu'aujourd'hui, il se détecte de mes tortures.
Ouh que je suis contente et fière qu'il m'appartienne!
Ecrit par cellomis:
Le compte est bon
Des mois que ces planches étaient prêtes. De belles planches en épicéa, percées d’un trou pour y passer mes organes génitaux. Trois diamètres à tester, ma préférence allant vers le plus petit. Ainsi tout est bien maintenu et reste de l’autre côté de la planche.
Le souvenir encore très vivant de notre avant-dernière session d’aiguilles et un clou m’excite encore beaucoup et je rêve depuis des semaines de passer une étape supérieure. Comme Vous l’aviez mentionné, avec plus de clous, beaucoup plus …
Aujourd’hui, je suis prêt, oui, je crois, non, j’sais plus, mais quoi qu’il en soit j’en meurs d’envie.
Moteur, ça tourne, action…
A mon arrivée dans Votre donjon, je remarque immédiatement les planches d’un côté et le marteau de l’autre. Je cherche les clous, mais ne les voit pas. Je ne sais pas encore combien Vous en avez prévu. Je me déshabille et Vous me passez Votre Collier autour du cou. Ce geste signifie tellement pour moi, mon appartenance, ma dévotion, ma gratitude et ma fierté aussi. Je me couche sur Votre table, nous installons la planche et Vous m’attachez les jambes et le torse avec de la cellophane. Un moment passe, les derniers préparatifs et le jeu commence.
Un premier clou dans le prépuce. La douleur est intense au moment où Vous ajustez la pointe du clou. Les coups de marteau et le clou qui traverse la peau font très mal eux aussi. Mais dès que les coups cessent, c’est alors une douleur délicieuse qui s’installe. Je déguste à peine que le 2ème clou suit, juste à côté. Je sens mon pénis étiré sur la planche. Cette sensation délicieuse augmente et mon excitation aussi. Une première pause, quelques caresses sur mon sexe, Votre regard, je reprends mon souffle et me calme.
« On continue ? »
« Oui Maîtresse »
Je ne compte déjà plus les clous suivants. L’enchaînement des coups de marteau avec les douleurs cinglantes et intenses, puis des moments de calme où je sens mon sexe et mon scrotum s’écarteler de plus en plus. Mon excitation augmente à chaque clou et cette délicieuse douleur d’étirement envahit maintenant tout ce qui repose sur la planche.
Je lève la tête de temps en temps pour voir et ce que je vois me plaît et m’excite encore plus.
La planche constitue une sorte de rempart entre les parties torturées et le reste de mon corps. Je sens clairement les douleurs des clous, mais elles ne traversent pas la planche et n’envahissent pas tout mon bas ventre. Comme si l’histoire ne se déroulait qu’entre mon cerveau et mon sexe. Le reste de mon corps n’existe pas.
Vous m’annoncez alors que nous en sommes à 7 clous. En levant la tête, je ne les vois pas tous, mais je les imagine. Je suis heureux d’y être arrivé et je vois aussi le plaisir dans Vos yeux. Commence alors un jeu de caresses et de torture sur mon sexe écartelé. J’adore et je commence maintenant à ressentir des vagues de douleur et de chaleur envahir mon corps, sous la planche. A chaque mouvement, la planche bouge et augmente l’effet des clous plantés dans ma chair.
A cet instant, plus rien ne compte, seul le plaisir que je ressens et le bonheur d’être Votre soumis, Votre maso, d’être à Vous et avec Vous.
Une envie me traverse l’esprit, quelques aiguilles en plus, car la douleur qu’elles provoquent est complètement différente, bien plus aigüe. Je Vous le demande et Vous acceptez.
« La condition. On fait tout le tour … »
« Oui Maîtresse »
Quelques aiguilles entre les clous sur mon prépuce, puis de chaque côté du pénis. La sensation d’écartèlement toujours plus intense et les incessantes piqûres commencent à provoquer des spasmes et mon esprit décroche à ce moment-là. Je flotte dans un état second, dégustant chaque instant, chaque aiguille comme un flash de douleur, un shoot d’adrénaline. Un état de béatitude, de bien être, de plaisir, de joie et de lâcher prise absolu m’envahit. Parfois je croise Votre regard et y vois Votre plaisir aussi. Je voudrais que cela ne s’arrête jamais, je voudrais vivre cet état en permanence, avec Vous, pour Vous, et ne plus jamais quitter Votre donjon.
Puis tout se calme, les piqûres cessent, j’atterri lentement et lève la tête. Je ne vois plus que des aiguilles. 43 me dîtes-Vous. Je n’en reviens pas d’avoir supporté cette épreuve et je ressens une telle fierté.
Mais ce n’est pas terminé. Un masque de snorkeling sur mon visage et un jeu de respiration, vos doigts et vos ongles qui pincent mes tétons, les roulettes de Wartenberg sur mes seins et mon pénis. Le tourment est intense et me fait repartir dans un tourbillon de douleur et de plaisir, l’excitation revient elle aussi et je sens à nouveau mes parties clouées sur la planche. Des spasmes traversent mon corps et j’atteins une sorte de jouissance cérébrale, cette image de voyage spatial à la vitesse lumière, mon esprit disparaissant dans une pluie d’étoiles étincelantes.
Le calme revient, j’atterris à nouveau dans mon corps. Je ressens la table, la cellophane, la lumière. Vous enfilez de nouveaux gants et retirez une à une les aiguilles, puis les clous. Les douleurs à ce moment ne sont que de légères et minuscules brûlures, je soupire à chacune d’elle. Mon sexe et mon scrotum reprennent leur taille et je sens chacun des trous laissés vides. La douleur ressemble à celle d’une corde nouée autour de mon sexe, c’est très agréable et j’adore ça.
Ensuite nous passons un long moment de récupération, j’ai besoin de vous sentir près de moi, de toucher Votre main. Votre présence me réconforte et me rassure. J’aime ce moment et je me sens bien, comblé.
Cette session, Maîtresse Lady Dragonne , m’a emmené à un niveau que je n’aurais jamais espéré atteindre. Je l’avais rêvée, souvent. Un nouveau fantasme qui se réalise grâce à Vous. Je suis tellement heureux.
Merci Maîtresse de m’accompagner sur ce chemin…
Votre petit cellomis, dévoué et reconnaissant.