Une petite séance bien sympathique avec mon petit cellomis
Quand la musique est bonne
Vénérée Maîtresse Lady Dragonne, suite à notre dernière séance, je dois revoir ma définition de la douleur. Vous m’avez amené à un nouveau palier. Je ne saurais dire si cela est dû au fait que nous ne nous étions plus vus depuis 3 mois, ou si je suis devenu plus sensible. Ou alors, auriez-Vous augmenté le niveau ?
La séance commença par une momification intégrale à la cellophane, stricte et très très serrée. Sans oublier des pinces, très fortes, sur mes seins. Puis les sangles m’arrimant à Votre table interdisant tout mouvement et limitant ma respiration. S’ensuivit une longue période de calme, de méditation, d’introspection, savourant mon état de larve dans son cocon, ou de fœtus dans son ventre maternel, bien au chaud, en sécurité. Une musique classique d’ambiance parfaitement adaptée. Mon esprit flottant dans un état complètement déconnecté, relâché, léger. Je ne sais pas combien de temps cela a duré, mais ce fût délicieux. De temps en temps, je sentais vos caresses, si douces, si bienveillantes. Cette incroyable sensation de se sentir touché à travers la membrane de plastique. Pas un contact direct, mais plutôt une chaleur et une pression se déplaçant et stimulant chaque parcelle de mon corps. Tout mon esprit, toute mon énergie se concentre exactement à cet endroit et suit le mouvement. Quelques appuis sur les pinces de mes seins, l’effet est différent, douloureux, mais agréable. Pour y mettre des mots, je dirais électrique, fulgurant. Mon esprit suit toujours le mouvement, mais dans une gerbe d’étincelles explosives.
Soudainement, la musique change. On passe aux rythmes puissants, industriels et technos, je comprends que la tempête s’approche. Vous déballez mes seins et jouez avec les pinces, vous déballez mes organes et les serrez dans une corde. Mon esprit se réveille et s’agite, essayant d’anticiper ce qui va arriver, sautant d’une douleur à l’autre et explosant à chaque pincement. Puis des pinces sur mon scrotum, sur mon sexe, la douleur est intense à la pose, mais bien pire à la dépose. Le rythme est intense, synchronisé à la musique. J’ai l’image d’être un piano sur lequel Vous jouez à un rythme endiablé. Je sursaute à chaque touche, à chaque pincement. Puis l’intensité augmente, les douleurs sont plus fortes, je ressens de vraies décharges électriques sur mon sexe, sur mes testicules. Des pincements sur mes seins qui me tordent, qui m’écorchent. Je crois mourir, je perds mon corps et mon esprit, et je crie. Seule subsiste la douleur, telle une boule de feu, qui se déplace et explose à chaque contact.
Je me reconnecte plus tard, les douleurs ont cessé, je ressens maintenant de la chaleur intense aux endroits torturés et vos caresses sur mon sexe encore douloureux. L’orgasme est explosif, un jet de lave en fusion traverse mon pénis et des spasmes secouent mon corps complètement attaché.
Finalement, le déballage, qui est lui aussi une torture pour moi. Cela signifie la fin de cette session, le retour à la réalité. Je frissonne, j’ai froid, je suis trempé et Vous me couvrez d’un linge. Je m’apaise, je reprends mon souffle et lentement j’ouvre les yeux et Vous vois. L’atterrissage prend du temps tellement le voyage fût lointain.
Maîtresse, je manque de mots pour vous exprimez ma reconnaissance et ma gratitude, sachez que je ressens encore, 5 jours plus tard, la douleur sur mes seins et à certains endroits. Je suis si heureux de sentir encore les souvenirs de cette magnifique session.
Merci.
Votre cellomis dévoué.
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