lundi 27 février 2017

Un weekend 100% D/s




Deux ans. Deux ans que je suis une Maitresse comblée par mon peegy. Deux ans d'appartenance sincère. Deux ans de bonheur pur.
Et ce weekend était dédié au BDSM à 100%
Le vendredi à 18h00, je lui ai mis son collier, en lui enjoignant de ne pas trop faire d'erreur, car chacune sera punie par deux coups de cannes anglaise. 
Deux coups par erreur. Deux ans. L'année prochaine sera trois coups par faute, et ainsi de suite. J'espère connaître la faute à 50 coups! Car avec peegy, chaque jour est comme au premier jour. 
Alors vendredi nous nous sommes rendus au munch de Lausanne. À un moment, peegy m'a renversé du vin sur ma robe, et même s'il ne l'a pas fait exprès, sa maladresse lui en coûtera dix coups. Mais il ne s'en est pas mal tiré avec dix-huit coups à la fin de la soirée. 
Le samedi fut tranquille, mais le service de peegy fut quasi irréprochable. 
Et dimanche, au munch & play du Père Fouettard, mon peegy, exhibé par mes soins, s'est comporté d'une manière exemplaire. Ce fut sans doute une manière de montrer à toutes et tous que mon soumis est beau, bien éduqué, très obéissant et d'intimider sans doute pas mal de prétendants au passage. 
En rentrant à la maison, j'ai fait glisser ma robe au sol, et je me suis retrouvée en dessous sexy, porte-jarretelles et soutient-gorge plongeant devant mon soumis pour lui infliger sa punition promise à la fin du weekend.
Trente coups tout rond. Qu'il a dû compter à rebours. À zéro, il me regarde, et m'offre encore deux coups. Deux, un. 
Je le prends dans mes bras, et il m'avoue vouloir faire une folie: m'offrir encore dix coups de canne anglaise, alors que ses fesses sont déjà bien rougies par les coups précédents. 
Tu es certain? lui dis-je. Oui! m'assure-t-il. 
Dix, neuf, huit, sept, six, cinq, quatre, trois, deux et le quarante-deuxième coup. 
Encore? Oui! Combien de coups? Dix, Maitresse!
Dix, neuf, huit, sept, six, cinq, quatre, trois, deux, un, et l'ultime coup, le coup parfait, zéro! Cinquante-trois coups de canne! 
Puis, je le sens fiévreux, il m'en redemande. Mais j'ai posé le bout de rotin, et je commence à lui travailler les tétons. Ses deux petits pénis. Et après à peine cinq minutes, je vois mon soumis pris de convulsions, et jaillir en une explosion de plaisir alors que je n'ai même pas touché son sexe. 
Quelle apothéose! 
Voici le parfait point final pour ces quelques 50 heures de pure D/s.


Trente-deux coups sur cette photo, vingt-et-un sont encore à venir... 




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