Que l’attente fut
belle et la concrétisation divine (ou le récit d’un impénitent
masochiste au paradis)
Depuis le début de
l’été, autour d’une discussion électronique à trois, l’idée
a germée
de dame Succub et de dame
Dragonne de réaliser sur ma personne quelques fantaisies frappées
au clavier.
C’est ainsi que je me
retrouvai impuissant dans l’antre de ces magnifiques âmes
dominantes.
Mais revenons quelque peu
dans le passé. Allez, disons deux semaines avant le rendez-vous
fixé.
Je me suis préparé
mentalement et physiquement à recevoir les bravaches énoncées et
les cravaches annoncées et me suis astreint avec discipline à
fortifier mes sens et à m’ouvrir à la douleur. Port journalier de
bas et dessous fins sous mon complet PKZ gris. Port du plug permanent
en particulier lors de sorties sportives (natation et piscine) et
électrostimulation au programme pour désensibiliser les zones
hétérogènes.
Retour au présent…
en fait, retour au passé hélas. Je me trouve dans un cosy local
aménagé de ravissants instruments destinés à me tourmenter et
deux dominas à portée de fouet.
Dame Succub m’ordonne
de monter les escaliers et de me déshabiller. J’enlève mes
habits, mets les mains derrière mon dos et fais ressortir mon buste
pour mettre en exergue le charmant petit corset porté. Ces dames
m’observent... Lady Dragonne me mets aux poignets des attaches en
cuir. Dame Succub me recouvre la tête d’une cagoule en spantex et
d’un bâillon de type gag-ball. Elle rajoute une couche avec une
cagoule de cuir avec lanières. Mes sens s’estompent et tout n’est
plus que froide caresse de la nuit. La cagoule est munie d’une
attache en son sommet et je sens une tension sur ma tête engrossé.
Dame (je me réfèrerai dorénavant ci-après à une Dame générique,
ne pouvant plus visualiser qui de Dame Succub ou de Lady Dragonne me
« triture ») m’a reliée au plafond par une corde
tendue. Je suis maintenu et entravé dans mes mouvements.
Mes têtons subissent de
délicieux pincements et je sens Dame dans mon dos. Soudain un coup
sec part dans mes parties et je ne peux retenir un gémissement.
Gémissement qui sera malheureusement ma marque de fabrique ce
soir-là. Les coups se répètent à intervalles réguliers sur mes
bourses et mon sexe. Je tente de resserrer mes jambes, mais Dame
veille et me les écarte à nouveau. Je sens la douleur parcourir
mon corps. Les frappes sont en alternance rapides et la frappe
moyenne ou lentes et la frappe forte.
Je n’arrive plus à
supporter cela et, ouf, un temps d’arrêt se concrétise. Mais
malheur, j’entends mes deux Dames se plier en deux de rire, l’une
disant à l’autre « regarde la salope, elle rebande »
et rebelote un bruit qui claque et mes parties qui sont à nouveau
meurtries.
Après
un temps certain où mon bas ventre n’est plus que douleur, Dames
me délient et me font mettre sur une table gynécologique. Jambes
écartées, mon fondement est rempli par un spéculum. Je ressens
avec plaisir son écartement. Des stimuli très agréables parcourent
mon corps. Nota bene, j’ai su plus tard que tout ce plaisir m’a
été procuré par un Magicwand. Une piqure dans mon intérieur me
fis brusquement redescende. Ce fut bref mais sensible. Dame me piqua
à trois reprises. La douleur fut décuplée par une session
d’électrostimulation, le point de contact étant l’une des trois
aiguilles. Dame planta trois aiguilles supplémentaires dans le
raphé. Du travail bien exécuté.
J’ai dû me reposer un
peu sur la table de gynécologie avec un plug à électro-impulsion
connecté aux couilles. Ces dames ont bavardé un brin, revenant de
temps à autre pour augmenter le volume électrique.
De retour, Dame commença
par introduire dans mon urètre un distandeur, qui s’avéra en
réalité être un piment rouge. Le picotement fut léger. Elle se
prépara alors à réaliser un de mes phantasmes. L’introduction
d’une cigarette allumée, la cendre incandescente devant me brûler
le bout de mon pénis. Hélas je rendis les armes et elle dut se
résoudre à abandonner pour cette fois l’affaire…
Bravo mesdames et merci
humblement pour ces délicieux sévices, dommage que le maso ne fut
pas à la hauteur de la fête.
Bises
Masolife
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