J'ai offert un hafida à cellomis pour nos 1 an d'appartenance.
Un joli petit piercing du scrotum pour qu'il me sente toujours avec lui
Texte écrit par cellomis:
Ça pince ou ça pique ?
Ô Maîtresse Lady Dragonne vénérée, je ne sais pas où commencer tellement notre session d’aujourd’hui m’a marqué, au sens propre et au sens figuré.
Une momification stricte et serrée comme je les rêve, la tête complètement emballée dans un bandage, puis sentir la cellophane se dérouler sur mon torse et mes bras, je retiens mon souffle et je rentre le ventre au maximum pour être bien serré, puis encore la tête entièrement plastifiée avec juste un orifice pour respirer. Puis, une fois couché sur Votre table, les jambes sont emballées elles aussi.
Puis les sangles (j’adore les sangles), mon corps est maintenant complètement immobilisé et ma respiration est restreinte. Déjà je me sens partir en transe, mon corps flottant dans l’espace.
La libération des tétons de leur prison plastique est toujours un moment délicieux. Pincera ? Pincera pas ? Si un peu, mais cela n’est que le présage des attouchements et des pincements que Vous allez leur infliger. Mes seins sont si sensibles qu’un effleurement m’excite déjà. Alors Vos doigts et les pinces … c’est un délice et une douleur si intense qu’elle me transporte à un niveau supérieur de ma transe.
Vous m’avez prévenu que Vous alliez utiliser des aiguilles, cela m’a rendu fébrile. Et quand Vous avez commencé à jouer avec mon sexe et ma bourse, il m’était très difficile de discerner entre des pinces ou des aiguilles, des douleurs fulgurantes, très courtes, d’autres plus profondes et plus longues. J’ai particulièrement aimé les moments où Vous serriez mon sexe entouré de pinces, de plus en plus fort et de plus en plus longtemps. Les douleurs le long de ma verge m’ont déjà presque amené à la jouissance.
Et aussi le moment où Vous m’avez masturbé alors que mon gland était entouré de pinces, cette douleur incroyable mélangée au plaisir du va-et-vient de Votre main sur mon sexe, plusieurs fois je me suis retrouvé au seuil, à l’ultime seuil, de l’orgasme.
Puis, libéré des pinces, par trois fois, Vous m’avez amené au bord du précipice de l’orgasme. Je sentais mon corps vaciller, le premier spasme, puis stop, pas d’explosion. Ces orgasmes ruinés sont délicieux, je sens une sorte de pression monter dans mon ventre, prête à jaillir et à m’exploser les entrailles. Et quand Vous stoppez, c’est comme un tsunami à rebours, je me prends une vague gigantesque qui me retourne de l’intérieur.
Et quand enfin, Vous m’amenez encore une fois au bord de cette falaise et que cette fois, Vous me permettez de jouir, toutes ces vagues refoulées explosent, traversent mon corps et me transforment en un pantin disloqué, secoué et brassé par les spasmes successifs, mon cerveau se déconnecte, un voile blanc couvre mes yeux et il ne reste plus que la sensation des flux brûlants à travers mon sexe. L’extase totale.
Mais cela ne s’est pas arrêté là … Une surprise m’attendait après le déballage et le retour à la réalité. Ô Maîtresse !!! Quel cadeau !!! Et là je me remémore une des douleurs
particulièrement intense et profonde. Un bijou, un joyau, un piercing, un Hafada. Pour moi un symbole de ma soumission, un présent dont je me sens très honoré et dont je suis très fier. Merci Maîtresse pour ce cadeau qui me touche, au sens propre et au sens figuré, et merci pour cette incroyable session qui restera à jamais gravée dans mon corps et ma mémoire.
Votre petit cellomis, reconnaissant et dévoué.