dimanche 27 janvier 2019

Rainbow needles



Une petite performance à la soirée munch&play Kinky Night
 organisée par La Comtesse de Bathory à Lyon.








jeudi 17 janvier 2019

Rien de plus normal que l'envie de domination ou de soumission au lit


Rien de plus normal que l'envie de domination ou de soumission au lit.

Malheureusement, les études sur le sujet ont trop tendance à considérer ces fantasmes comme pathologiques.



En matière de sexualité, les fantasmes et les pratiques riches en subordination sont très courants. Dès les premiers soubresauts de la sexologie scientifique, les fameux rapports Kinsey trouvaient ainsi que 24% des hommes et 12% des femmes manifestaient une quelconque réaction érotique au sadomasochisme. Des travaux plus récents et mieux représentatifs de la population générale estiment que de tels fantasmes titillent une personne sur cinq en moyenne et suivent une nette distribution genrée –les hommes étant davantage portés à la domination et les femmes à la soumission. Mais malgré la fréquence de ces désirs, les études cherchant à les expliquer –c'est-à-dire à savoir s'ils ont une fonction– sont des plus rares.


Pour Menelaos Apostolou et Michalis Khalil, psychologues à l'université de Nicosie, à Chypre, le fait que la grande majorité des études sur le sujet considèrent a priori l'envie de domination ou de soumission comme pathologique est un premier écueil à la compréhension du phénomène. Dans un article en passe d'être publié dans la revue Archives of Sexual Behavior, les deux chercheurs soulignent ainsi que les questionnaires utilisés ont trop souvent tendance à concerner plusieurs paraphilies à la fois –certaines étant tout bonnement criminelles, comme la pédophilie–, ce qui peut nuire à la sincérité des participants et participantes et les inciter à sous-déclarer leurs préférences.

«Une variation normale du désir sexuel»

Après avoir identifié treize pratiques et fantasmes agressifs et/ou humiliants, Apostolou et Khalil ont demandé à 573 femmes et 453 hommes de juger leur désirabilité. Il en ressort que 70% des sondés déclarent désirer au moins un item, quand près de la moitié se dit excité par trois et plus. Les résultats montrent aussi que l'envie de domination est généralement plus courante que l'envie de soumission, mais que cette dernière est significativement plus forte chez les femmes.

L'un dans l'autre, les chercheurs concluent que l'envie sexuelle d'agression et d'humiliation «constitue une variation normale du désir sexuel» et que la prévalence relativement élevée de ces désirs est un solide indice de leur fonction évolutive. Du côté féminin, les fantasmes de soumission pourraient notamment s'expliquer par la «théorie de la préparation», déjà formulée par plusieurs scientifiques. Selon cette théorie, la sexualité féminine intègre une dimension consciente et active à tout un module réactif, hérité des temps où elles n'avaient pas beaucoup de possibilités d'éviter un rapport non-consenti et où le mieux (ou le moins pire) était encore de se protéger contre des blessures parfois mortelles.


Repéré sur Archives of Sexual Behavior

mercredi 16 janvier 2019

10 ans d’écart




Pour rigoler et suivre le buzz du moment, le «#tenyearchallenge». 

Une photo de moi à mes débuts et une à ce jour.

Des commentaires?

samedi 12 janvier 2019

Des hommes expliquent pourquoi ils envoient des photos non sollicitées de leur pénis


Des hommes expliquent pourquoi ils envoient des photos non sollicitées de leur pénis.

La pratique s'appelle du «cyberflashing».



Avez-vous déjà reçu, que vous soyez une femme ou un homme, une photo non sollicitée d’un pénis, en érection ou non? À en croire un sondage YouGov réalisé aux États-Unis, quatre femmes sur dix âgées de 18 à 36 ans ont reçu ce genre de photo. De l'autre côté, seuls 5% des hommes de la même tranche d’âge ont admis avoir déjà envoyé une «dick pic».

Ce procédé –envoyer une image de ses organes génitaux à des gens qui ne l’ont pas demandé– s’appelle le «cyberflashing». Il peut se faire par le biais de sites ou applications de rencontre, de forums de discussion, et tout particulièrement via la fonction AirDrop d’Apple. Ce dernier permet au «flasher» d’envoyer des images au contenu inapproprié à n’importe quelle personne à proximité dont l'AirDrop est activé. Vous pouvez donc réceptionner, dans le train, au restaurant en famille, ou dans un parc avec vos enfants, une photo de pénis.

Moya Sarner, journaliste pour le quotidien britannique The Guardian, s’est demandé ce qui poussait les hommes à «cyberflasher» des femmes. Elle a donc posé la question sur Reddit et reçu plus de 500 réponses en quelques heures, avant que les modérateurs ne ferment le fil.

Complexes et sexualité

Qu’apprend-on dans ces réponses? Certains anonymes ont expliqué ne pas avoir confiance en eux et souhaiter simplement qu’on les complimente sur leur pénis: «Je l’ai fait plusieurs fois dans le passé et je pense que c’est surtout pour avoir une validation. Bien que la plupart des hommes ne l'admettent jamais, nous ne sommes pas très sûrs de nos corps, et surtout de cette partie-là. Donc, inconsciemment, nous voulons juste que quelqu'un dise que nous sommes beaux ou attirants», confie Jake.

Certains s’amusent aussi à décompter le nombre de femmes qui ont répondu de la même manière, contre celles qui ont ignoré ou rejeté l’image non sollicitée: c’est le «jeu du chiffre», le définissent-ils.

 Lorsque les femmes reçoivent positivement ses clichés, Jake se sent bien car cela booste l'image qu'il a de lui-même et ouvre le champ des possibles: «C’est désormais acceptable pour elles de répondre cordialement ou d’orienter la conversation sur des voies plus sexuelles».

«Je me suis rendu compte que c'était offensant, une intrusion indésirable, même si c'était sur internet et sous anonymat»

Pour Dave, c’est plus direct: «Si la conversation avait du potentiel, mais ralentissait ou devenait ennuyeuse, j’envoyais parfois une photo de ma bite. Soit la personne cessait de m’envoyer des textos
ou me bloquait, soit j’arrivais à coucher».

John a la soixantaine, et il y a dix ans, il faisait partie de ces «flashers». Il compte une centaine de «dick pics» à son actif. À présent repenti, il donne son point de vue sur cette pratique: «Maintenant que je suis plus vieux, franchement, cela me semble être une combinaison d'impolitesse, de bêtise et de vide. Je me suis rendu compte que c'était offensant, une intrusion indésirable, même si c'était sur internet et sous anonymat. Même en ligne, c'est une violation à mon avis peu différente de ce que fait l’exhibitionniste de rue stéréotypé dans son trench-coat».

L’envoi de ces images a des significations différentes pour chaque homme, et des significations différentes pour un même homme à différents moments de sa vie. Stephen Blumenthal, psychologue clinicien consultant et psychanalyste, propose des thérapies spécialisées, à long terme, aux patients aux comportements sexuels perturbants. D’après lui, «avec ce genre de problèmes, on a toujours tendance à fournir une explication universelle. En réalité, les gens ont des motivations nombreuses et variées, dont certaines sont peut-être plus troublantes que d’autres».


Repéré sur The Guardian

Source: http://www.slate.fr/story/172089/cyberflashing-hommes-envoient-photos-penis


mercredi 9 janvier 2019

Infiltration

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samedi 5 janvier 2019

Au club LePrivé




En plein « pourparlers » ;) 



mardi 1 janvier 2019

Belle entrée en 2019





Nous voici au club le Privé à Frontignan (qui soit dit en passant le douzième club BDSM différent visité en 2018) pour passer le Nouvel-An en excellente compagnie. 

Un club très sympathique avec un accueil irréprochable. 

Merci à Bruno et Océane de nous avoir ouvert leur appartement pour y dormir et "squatter" avec toute l’équipe jusqu’à plus de 16h00 le lendemain!